SMALLVILLE
SCRIPT VF
SAISON 1 ÉPISODE 04
« LE SOSIES »
Lex Luthor ente dans la banque avec un sac à dos rouge.
LE BANQUIER : Bonjour monsieur Luthor. Est ce que je peux vous aider ?
LEX : Oui, je veux solder tout mes comptes chez vous.
LE BANQUIER : Euh… puis-je savoir pourquoi ?
LEX : Ça pause un problème ?
LE BANQUIER : Euh, non, non,non, bien sûr que non. Seulement… écoutez nous sommes la banque de la famille Luthor depuis plus de 12 ans et j'avoue que c'est un choc.
LEX : Et je voudrais tout en liquide.
LE BANQUIER : Ah … Nous ferons l'impossible pour vous satisfaire. Euh, je peux avoir votre signature ?
LEX : Bien entendu.
Lex signe le formulaire et le banquier va vérifié dans le classeur la correspondance avec la signature. Mais cette dernière ne correspond pas.
LE BANQUIER : Euh, monsieur Luthor. Puis-je avoir une pièce d'identité ?
LEX : Pourquoi ?
LE BANQUIER : Euh, cette signature ne correspond pas à celle de nos dossiers, et je dois vérifié votre identité.
LEX : Vous me voyez devant vous en chaire et en os. Qu'est ce qu'il vous faut de plus ?
LE BANQUIER : Vous m'excuserez, je respecte la procédure.
LEX : (En sortant une arme) Donnez moi l'argent et en vitesse ! Remplissez le sac !
L'alarme de la banque sonne et Lex s'enfuit. Il percute une jeune femme et croise Clark.
CLARK : Lex ? Qu'est ce qu'il t'arrive ?
LEX : Dégage de mon chemin.
Lex a jeté violemment Clark dans une vitrine. Clark visionne le corps de Lex au rayon X. Des traces verts apparaisse sur le squelette de Lex.
BOUTIQUE D’ANTIQUITÉ
Rose Greer montre les escaliers.
ROSE : Tina, où es tque tu as trouvé ça ?
TINA : Je t'avais promis que je résoudrais tout nos problèmes.
ROSE : Rassure moi. Tu n'as pas dévalisé la banque hier.
TINA :Rassure toi, j'y suis pour rien. C'est Lex Luthor.
ROSE : Arrête ça tout de suite. Ça suffit Tina tu m'as promis que tu ne le referais plus.
TINA : Je l'ai fait pour nous !
ROSE : Tu aurais pu faire du mal à quelqu'un.
TINA : Tout c'est bien passé et on va enfin pouvoir mener la vie parfaite dont je rêve.
ROSE : C'est n'existe pas une vie parfaite !
TINA : Si, celle de Lana.
ROSE : Voler, ce n'est pas une façon de résoudre les problèmes. Je vais rendre cette argent et je dirais que je l'ai trouvé dans une poubelle.
TINA : Non, maman ! Je t'en pris !
ROSE : Non ! Lâche ce sac !
TINA : Non maman !
ROSE : Arrête Tina !
Soudain Rose bascule dans les escaliers.
TINA : Maman ! Non ! Maman ? Non !
Tina descend vers sa mère mais il est trop tard, elle réalise que sa mère est morte. Tina prend le combiné du téléphone et compose le numéro de la police, mais elle se ravise.
TINA : Désolé c'est une erreur.
GÉNÉRIQUE SMALLVILLE
FERME DES KENT
MARTHA : (lit le journal) C'est incroyable ! Pourquoi est ce que Lex Luthor aurait dévalisé une banque ?
JONATHAN : J'ai déjà vu des choses bizarre dans ma vie, mais là, je dois reconnaître que c'est vraiment le pompon. Enfin presque.
MARTHA : Il s'est enfuit avec plus de 100 milles dollars.
CLARK : Je connais Lex, c'était pas lui.
JONATHAN : Bon, écoute, je sais que c'est un de tes amis, mais tu l'as bien vu de tes propres yeux, non.
CLARK : J'ai des doutes sur ce que j'ai vu.
MARTHA : Il y a sans doute une explication raisonnable à ce genre de chose. Enfin j'espère.
LEX : Moi aussi. Je déteste l'idée d'avoir un frère jumeau.
MARTHA : Lex, on ne s'attendait pas à vous voir, quelle surprise.
LEX : Je peux entrée ? Je vous promets que je n'ai pas de flingue.
CLARK : Pourquoi tu n'es pas en prison?
LEX : Parce que je présidais une réception pour 200 de nos distributeurs d'engrais à Métropolis, au moment du vol.
JONATHAN : Est ce que la police a des indices ?
LEX : Non, aucun. C'est pour ça que je voulais te voir. Ton nom est sur la liste des témoins. C'est vrai que tu as vu cette personne ?
CLARK : Oui, cet homme te ressemblait vraiment.
LEX : Sauf que ses empreintes et sa signature ne sont pas les miennes. Tu es sûr que tes yeux ne t'ont pas joués des tours.
CLARK : Qu'est ce qu'il va se passer, maintenant ?
LEX : Il faut espérer que l'argent va réapparaître. Pendant ce temps tout les journaux à scandale, vont s'en donner à cœur joie. Je pari que ça ne va pas améliorer, l’opinion de certaines personnes sur les Luthor.
JONATHAN : J'y vais, j'ai du travail.
LEX : Je suis désolé que tu sois passé à travers de cette vitrine. Je te promets que je ne suis pas un super braqueur de banque.
CLARK : Ouais, je le sais. Un super braqueur de banque aurait eu un masque.
LYCÉE DE SMALLVILLE
En sport.
LE PROF DE SPORT : Allez on se bouge. On tire sur les bras, oui, plus haut les genoux. Allez, allez on fait un effort. Ouais, on y est presque, on va y arriver. C'est ça oui, on tire sur les bras et on remonte les genoux. C'est mou tout ça, on se réveil. Tire sur tes bras Patrick. Allez, allez, allez, oui, c'est bon, on y est. Vous pouvez mieux faire.
PETE : A ta place je ne la regarderais pas.
Clark a soudainement mal à la tête.
LE PROF DE SPORT : Kent tu t'ennuies à ce point avec nous.
CLARK : Non, mais, j'ai... j'ai mal à la tête.
LE PROF DE SPORT : C'est parce que tu ne fait pas suffisamment d'exercices. Toi et Ross vous êtes les suivant, ça tombe bien. Allez on se sert de ses muscles. Si Ross te bat, tu fera 10 tours de piste. On se bouge Kent. Allez un peu de nerf.
PETE : J'en connais un qui va faire des tours de piste.
Clark regard fixement Pete un peu perturbé, car il voit les muscles dans le visage de Pete.
PETE : Qu'est ce qu'il t'arrive? Ça va pas mon pote ?
Clark perd son emprise sur la corde et tombe sur le sol.
LE PROF DE SPORT : Kent tu t'es fait mal ? Mais qu'est ce qu'il t'est arrivé ?
Clark est assis et regarde le mur de la salle de gym, il arrive à voir, ce qu'il se passe dans le vestiaire des filles. Lana se promène avec une serviette autour d'elle. Elle tourne le dos à Clark, puis elle laisser tomber sa serviette. Clark sourit.
CHEZ LE KENT
MARTHA : Donc, quand tu as ces espèces d'éblouissement, tu vois à travers n'importe quoi ? Même les gens, les objets ?
CLARK : Parfois je vois à travers les choses et d'autre fois, je les radiographie.
JONATHAN : Et ça arrive d'un seul coup, sans prévenir ?
CLARK : D'abord, j'ai mal à la tête et ensuite ça arrive. La première fois j'ai pensé que c'était une hallucination et ça c'est reproduit.
MARTHA : Bon, écoute, à mon avis, tu peux essayer de le contrôler
CLARK : Hé, oui, c'est ça ! Je vois a travers toutes les matières. Comment voulez vous que je contrôle ça ?
MARTHA : Mais tu peux t’entraîner, Clark. Tes yeux ont aussi des muscles, comme tes jambes.
JONATHAN : Ta mère à raison. Je crois qu'il faut que tu essaies de trouver un moyens de...de les conditionner, pour éviter d'avoir ces visions par hasard.
CLARK : C'est une idée géniale. Comment il faut faire ?
CHEZ LANA
NELL : Lana tu as de la visite.
TINA : Salut Lana.
LANA : Salut Tina. Tu n'étais pas en cours ce matin. Est ce que ça va ?
TINA : Oui. Ma mère était malade. Mais elle va mieux maintenant. Alors tu as quitté le club des supporters et Nell t'a bannis au fond du garage.
LANA : Ce garage est un vrai capharnaüm, je l'aide un peu a s'y retrouver.
TINA : Elle t'a pardonné d'avoir quitté les supporters ?
LANA : Pas encore.
TINA : Au moins, maintenant tu as plus de temps pour ton amie impopulaire.
LANA : Tu n'es pas impopulaire. Mais enfin qu'est devenu la fille qui se fichait pas mal de ce qu'on pensait d'elle.
TINA : Elle est entrée au Lycée.
LANA : Au moins ta mère a arrêté de régenter ta vie.
TINA : Tu sais que tu as de la chance que Nell tienne tellement à toi. C'est vrai si ma mère mourait subitement, je connais personne qui voudrais s’occuper de moi. On m'enverrait probablement dans un orphelinat ou un machin comme ça.
LANA : Merci de cette explosion de gaîté.
TINA : Qu'est ce que tu veux que je te dise ? Je trouve que ta vie est parfait.
LANA : Tu la veux ? Je te la laisse.
TINA: Je suis prête à essayer. Ce serait vraiment cool, si on était sœur. S'il arrivait un malheur à maman, tu crois que Nell voudrait m’adopter ?
LANA : Tina arrête, il n'arrivera pas de malheur à ta mère.
DANS LES RUES DE SMALLVILLE
Clark se promène sur le trottoir, lorsqu'un nouvelle fois, un mal de tête le prend. Il croise des personnes et les radiographies. Il aperçoit un squelette avec des tâche vertes, il s'agit de Tina qui rentre dans le magasin antiquité.
MARTHA : Ça à recommencer, c'est ça ? Viens on va rentrer.
CLARK : Non ? C'est passé. Tu voulais pas allé chez l'antiquaire ?
CHEZ L'ANTIQUAIRE
MARTHA : Il y a quelqu'un ?
ROSE : Madame Kent. Je veux dire Martha. Comment ça va ?
MARTHA : Bien et comment marche les affaires.
ROSE : Ça marche vraiment fort, j'ai bien travaillé sur les successions à Métropolis. Je pense vendre ce magasin.
MARTHA : Ce serait dommage. Vraiment. Je croyais que vous l'adoriez ?
ROSE : Pas du tout. Je n'ai jamais voulu de cette vie. Tout est arrivé par hasard.
CLARK : Est ce que Tina est là ? Je pensais l'avoir vu entrée.
ROSE : Non, elle est allée chez Lana. Elle sont inséparable ces temps ci.
CLARK : C'est vrai, j'aurais juré que c'était elle.
ROSE : Vous avez mal regardé.
CLARK : Je crois que j'ai besoins de prendre l'air.
MARTHA : Oui, c'est bon. J'en ai pas pour longtemps. Est ce que je peux récupérer la lampe ?
ROSE : La lampe ?
MARTHA : Celle que vous deviez restaurer pour Jonathan.
ROSE : Oh, oui, excusez moi. Elle est dans la remise.
Pendant que Rose va chercher la lampe, Martha fait le tour du magasin. Elle contemple un miroir dans le quel elle aperçois sous une commode une liasse de billet.
ROSE : Elle n'est pas tout à fait fini.
MARTHA : J'ai trouvé cette liasse sous la commode.
ROSE : Vraiment ? Je suis d'une distraction. C'est un client qui m'a payé en liquide et je l'ai chercher partout toute la journée.
MARTHA : C'est une grosse somme, vous ne devriez pas la laisser traîner.
ROSE : Ah, c'est vrai. Merci. Si vous revenez la semaine prochaine, votre lampe sera prête. D'accord.
MARTHA : Très bien.
Avant de lui rendre le sac, Rose a subtilisé les clés de la camionnette des Kent.
ROSE : Euh… Madame Kent ? Vous avez oublié votre sac.
MARTHA : Oh, vous n'êtes pas la seul à être distraite.
ROSE : Au revoir.
MARTHA : Au revoir.
Rose ferme le magasin à clé, puis elle se transforme de nouveau en Tina.
DANS LA RUE
Martha, marche sur le trottoir, lorsqu'un pic-up lui fonce dessus, il semble que celui qui est au volant soit Clark.
MARTHA : Oh, Clark !
Clark arrive en courant auprès de sa mère qui est allongé sur le trottoir.
CLARK : Maman ! Est ce que ça va ?
MARTHA : Clark ? Mais…
CHEZ LES KENT
JONATHAN : La police a trouvé la voiture, abandonné prêt de chez Stewart.
CLARK : Est ce que quelqu'un a vu le conducteur ?
JONATHAN : Non.
MARTHA : J'aurais pu jurer que c'était toi, Clark.
CLARK : Je ne suis peut-être pas le seul à avoir des visions anormale.
JONATHAN : J'y comprend rien. Comment cette personne a-t-elle eut tes clés ?
MARTHA : Mais, je n'en ai aucune idée. J'ai été seulement chez l'anti…
CLARK : Qu'est ce qu'il y a maman ?
MARTHA : Euh, non, rien… J'ai constaté que Rose Greer, avait une attitude très étrange, et j'ai trouvé 5000 Dollars en liquide sous un meuble, avec la bande d'une banque de Smallville autours des billets neufs et elle m'a dit qu'un client l'avait payé, mais...
CLARK : C'est peut-être l’argent dérobé à la banque.
MARTHA : Oui ? Bien sûre j'y ai pensé…
JONATHAN : Attendez, un peu, Rose à volé tes clés, s'est transformé en Clark pour essayer de t'écraser ?
MARTHA : Tu as raison, c'est insensé.
CLARK : Pas temps que ça.
JONATHAN : Pourquoi ?
CLARK : J'ai eu une vision du squelette de Tina Greer, il était bizarre avec des tâches verts. Ce n'était pas tout à fait un squelette humain. Ça ressemblait aux planches des livres d'anatomies.
MARTHA : C'est probablement, parce que Tina a une maladie des os depuis sa naissance. La pauvre petite a subit des injections à titre expérimental. Je crois que les médecins lui donnait très peu de chance de survivre.
JONATHAN : Ça s'est amélioré lorsqu'elle a eu environ trois ans.
CLARK : C'était juste après la pluie de météorite ?
JONATHAN : Ouais.
MARTHA : Qu'est ce que tu crois que Tina veut faire ?
CLARK : J'en sais rien. J'ai aussi eu une vision du squelette bizarre, juste après le vole à la banque. Enfin je crois. Je voudrais pourvoir contrôler ses visions.
MARTHA : Tu peux essayer de faire le point, comme avec un télescope.
JONATHAN : Oui, tu peux commencer avec quelque chose de petit. Tu vas essayer de me dire ce que j'ai dans la main en te concentrant.
CLARK : Ton petit canif.
JONATHAN : Tu vois à travers les mains alors.
CLARK : Non, je sais qu'il est toujours dans ta poche.
CHEZ LANA
Lana souffle sur un carton afin d'enlever la poussière, puis elle ouvre doucement le carton. Elle trouve une boule à neige qu'elle secoue. Elle découvre un livre qu'elle ouvre sur une page et commence à la lire. Elle se précipite ensuite dans la cuisine de tante Nell, qui est entrain de finir un gâteau.
NELL : Qu'est ce qui t'arrive ?
LANA : Je sais que tu m'as mentis à propos de maman !
DANS LES RUES DE SMALLVILLE
Lex est avec un café à la main, lorsqu'il voit qu'un homme est appuyé sur sa voiture.
LEX : Ne vous gênez pas.
ROGER : Roger Nixon du Métropolis de l'inquisitor.
LEX : Levez vous de ma voiture.
ROGER : C'est une photo géniale , Lex. Elle a vraiment fait grimpé nos ventes.
LEX : J'ai lu des bandes dessinés, plus prêt de la réalité que votre torchon.
ROGER : Qu'est ce que vous pensez de ça ? C'est de la fiction. C'est votre casier judiciaire, fascinante lecture. Il a dû falloir un camion plein de fric à votre cher père, afin que personne ne propage tout ça.
LEX : Ses dossiers sont sellés.
ROGER : Je suis pleins de ressources, vous savez. Écoutez, j'ai vu cette photo hier et j'ai tout de suite pensé qu'il fallait en tirer parti. Genre, la folle jeunesse de Lex Luthor à Métropolis. Un nom comme le club zéro ça vous rappel rien.
LEX : Si vous parlez de ça, je vous attaque en justice !
ROGER : Ce genre de procès dure des années. Le génie sera sorti de la lampe et tout le monde pourra voir le nouveau visage de Lex Luthor, n'est rien de plus qu'une façade.
LEX : Vous savez ce que je crois Roger ? Si vous vouliez publier ça, vous l'auriez déjà fait imprimer. Mais ce que vous voulez c'est du pognon.
ROGER : Je vous fait une proposition. Cent milles dollars et ses dossiers disparaîtrons pour de bon.
LEX : Je pourrais douter de votre intégrité, mais vous êtes journaliste.
ROGER : Votre père était certain d'avoir effacé votre passé. Vous avez 24 heures avant que se soit en première page.
CHEZ LANA
Lana rentre chez elle et Nell est sous le perront à l'attendre.
NELL :Lana je ne t'ai pas menti. Je t'ai dit que ta mère aurait été fière de toi et c'est la vérité. Elle t'adorait.
LANA : Tu as inventé un beau conte de fée, au sujet d'une fille qui avait une vie merveilleuse. Mais ce n'était pas vrai. Tu as dit qu'elle aimait être pom-pom girl, en fait elle détestait ça ! Mais elle n'osait pas arrêter. Elle ne voulait pas resté à Smallville, elle voulait voir le monde.
NELL : Que voulais-tu que je te dise ? Qu'elle était mal dans sa peau.
LANA : J'aurais préférer la vérité.
NELL : Je t'ai dit ce que je te croyais que tu étais capable d'entendre. Comme tout les adolescents de son âge, elle avait des hauts et des bas.
LANA : C'est comme si j'avais passé ces années à essayer de me mesurer à une Lana Lang qui n'a aucune réalité.
NELL : Ce journal que tu as lus, c'est celui d'une adolescente de 17 ans, c'est une sorte de photographie d'un moment précis de sa vie.
LANA : Mais c'est comme si c'était moi qui l'avais écrit.
NELL : La vérité c'est que ta mère était très brillante , et la plus belle des filles de sa classe. Elle a été choisie pour faire me discours lors de la remise des diplômes. Tu le savais ? Il me semble qu'elle avait arrêtée de tenir son journal depuis quelque temps. Tu aurais dû l'entendre parler ce jour là.
LANA : Qu'est ce qu'elle a dit ?
NELL : Toutes les choses qui avaient bouillonné dans sa tête pendant 18 ans. Elle a dit qu'elle étouffait à Smallville.
LANA : Est ce que tu en as un copie ?
NELL : Hélas non. Mais il y a une phrase dont je me souviens. « Je n'ai rien pu changer ici, mais j'espère que mes enfants le feront »
LYCÉE DE SMALLVILLE
Dans le couloir du Lycée, Tina est adossée contre le mur, Clark est au loin et la surveille.
CHLOÉ : Salut Clark. Coucou.
PETE : Hé, reste avec nous.
CLARK : Vous n'avez rien trouvé d’étrange chez Tina Greer.
CHLOÉ : Rien qui nécessite une concentration aussi intense que lorsque tu la regarde.
PETE : La seule chose d'étrange chez Tina c'est que rien ne l’intéresse à part idolâtré Lana.
CHLOÉ : Ouais, c'est pratiquement son clone. Allez on y va.
Lana et Whitney sortent d'une classe.
TINA : Lana.
WHITNEY : C'est dingue, cette fille te tourne autour sans arrêt.
TINA : Tu as vu ce nouveau gilet.
LANA : Il est génial. J'ai le même moi aussi.
TINA : Je sais, il vient de la même boutique, j'ai passé une journée entière à faire du shopping. Regarde j'ai trouvé aussi une émeraude en fouillant chez un antiquaire.
WHITNEY : C'est bizarre, je ne suis pas étonné. Bon à tout à l'heure.
TINA : Alors ça va mieux ? Je suis passé chez toi tout à l'heure et Nell m'a dit que tu n 'étais pas de bonne humeur.
LANA : Ah, c'est fini. Ne t'inquiète pas.
TINA : Bon, j'ai un truc à te demander. Maman va déménager à Métropolis dans peu de temps, mais elle ne voudrait pas me changé d'école, alors j'ai pensé à… à venir habiter avec toi et Nell.
LANA : Mais pour combien de temps ?
TINA : J'en sais rien, deux mois, et maman payera les frais bien sûr. L'argent ne posera aucun problème. Vous fixerez votre prix. J’achèterais aussi un cheval et on se baladera toute les deux. Ce sera super cool.
LANA : Oui ! Donne moi un peu de temps pour y réfléchir. Est ce que tu es sûre que ta mère est bien d'accord ?
TINA : Oui, bien sur. Parce qu'elle sait que tu es mon amie. Et d'ailleurs c'est elle qui a eut cette idée.
LANA : Mais… bon je vais en perler à Nell. Elle est assez particulière.
TINA : Elle m'aime bien. Je croyais que ça te ferait plaisir. J'avoue que j'ai du mal à comprendre. La plupart des gens trouve que l'on se ressemble, on pourrait être deux sœurs.
LANA : Je ne suis pas sûr que ce soit une idée si géniale.
TINA : Ah, oui ? Je vois, c'était encore des mensonges tout ça. C'est vrai tu fais semblant d'être ma meilleurs amie et quand j'ai vraiment besoins de ton aide, il n'y a plus personnes.
LANA : Tina calme toi, tu veux.
TINA : Non, tu aurais dû dire oui Lana ! Ça aurait été vraiment merveilleux.
Tina se dirige vers son casier en colère elle l'ouvre et y jette le collier qu'elle avait acheté. Clark qui était caché dans une salle de classe voisine du cassier de Tina en sort. Il se présente devant le cassier de Tina et essaye de voir ce qu'il y a à l’intérieur. Il y découvre d'abord, le sac à dos rouge dans le quel il découvre les billets de banque. Il est interrompu par Tina.
TINA : Clark ! Qu'est ce que tu trafiques, hein ? Pourquoi tu me regarde comme ça ?
CLARK : Euh… j'en sais rien. Pardon.
FERME DES KENT
Clark arrive dans la grange où se trouve ses parents..
MARTHA : Clark ? Mais pourquoi tu rentre aussi tôt ?
JONATHAN : Tu as eu encore des visions bizarre ?
CLARK : Je les ai contrôlés. Une fois seulement, j'ai réussi à me concentrer très très fort et ça à marché.
MARTHA : Oh, c'est génial.
JONATHAN : Sur quoi tu t'es concentré.
CLARK : Sur le casier de Tina.
MARTHA : Et qu'est ce que tu as vu ?
CLARK : Les billets dérobé à la banque.
DANS LA BOUTIQUE D’ANTIQUITÉ
Tina s'entraîne à faire la signature de Lana Lang. Lorsqu'elle lève la tête elle voit deux policiers venir en direction de la boutique. Elle prend alors l’apparence sa mère et sort du magasin.
ROSE : Oh, justement j'allais fermer, le magasin. Qu'est ce que je peux faire pour vous ?
LE POLICIER : Nous cherchons votre fille.
ROSE : Elle n'est pas à la maison. Il y a un problème ?
LE POLICIER: Une banque de Smallville a été dévalisé et on a retrouvé l'argent au Lycée dans son casier.
ROSE : Vous voulez rire ? Ma fille ? C'est insensé. Comment aurait-elle fait ça ?
LE POLICIER: C'est ce qu'on voudrait qu'elle nous dise. Accompagnez là au poste, dés qu'elle rentrera.
ROSE : Bien entendu, nous coopérerons, ça va de soit, oui. Est ce que je peux savoir qui vous a dit que ces billets était dans son casier ?
LE POLICIER : Un appel anonyme d'un lycéen.
CHEZ LE KENT
Dans la grange Clark est assit avec sa tirelire dans les mains, lorsque Lana arrive.
LANA : Clark qu'est ce que tu fait ?
CLARK : Oh, j'essaye de savoir combien j'ai de pièces dans cette tirelire.
LANA : Ce serait plus facile de l'ouvrir et de les compter.
CLARK : Ce ne serait pas drôle.
LANA : Tu a appris ce qui est arrivé à Tina ? Il on trouvé l'argent dans son casier.
CLARK : C'est vrai ?
LANA : En plus elle a réussie à me coincer pour savoir si elle pouvait venir vivre avec moi et Nell.
CLARK : Une locataire qui dévalise une banque, il manquait plus que ça.
LANA : Je trouvais que ce n'était pas une bonne idée et je lui ai dit. J'ai déjà assez de problèmes avec Nell, c'était pas la peine d'en rajouter.
CLARK : Je croyais que vous étiez très proche toute les deux ?
LANA : Elle m'accepte pas vraiment comme je suis. C'est comme si j'avais deux identités. Il y a la personne que tout le monde voit et la personne que je suis vraiment.
CLARK : C'est ce que je ressens.
LANA : Je suis venu te voir pour cette raison. Parce que tu es la seule personne qui comprenne qui je suis réellement. C'est vrai. Je t'en suis très reconnaissante.
Soudain Lana embrasse Clark sur la bouche.
CLARK : Tu n'ai plus avec Whitney ?
LANA : On en a rien à faire de lui. Il y a un moment que je craque pour toi. Toi aussi, je sais que tu craque pour moi.
Lana embrasse de nouveau Clark sur la bouche, lorsque Tina reprend sa forme original.
TINA : J'ignore de quel façon tu as trouvé les billets, mais tu aurais mieux fait de rester en dehors de mes affaires, Clark.
Tina jette violemment Clark à travers une des parois de la grange, Clark tombe sur la voiture dont le pare-brise se casse.
Jonathan vient de patrouillé avec une lampe troche sans rien trouver.
JONATHAN : Je ne vois aucune trace de Tina ou de Lana, ou...
MARTHA : Tu es vraiment sûr de l'avoir vu se transformer en Tina ?
CLARK: Son organisme à dû être affecté par les météorites.
JONATHAN: Et elle peut changer d'apparence à volonté.
CLARK : ça lui donne de la force, grâce à ça, elle m'a éjecté de la grange.
MARTHA : Qu'est ce qu'on va dire à la police.
CLARK : Rien. Elle a le dont de changer en qui elle veut. Il n'y a que moi qui puisse faire la différence.
A LA TORCH
CHLOÉ : Pete, si tu jettes encore ce scorpion en caoutchouc, je me venge avec mon agrafeuse .
LANA : Est ce que je peux entrée ?
CHLOÉ : La fille qui écrit sur les Pom-pom girls est de tout façon à court d'inspiration.
LANA : Tu fais ton éditorial ?
CHLOÉ : Mon article bisannuel ; sur quel sont les priorité du journal.
LANA : En tout cas je trouve que cette année grâce à toi, il est vraiment bien ce journal.
CHLOÉ : Une opinion qui est partagé par toi seul. Désolé pour le Pom-pom girls. Quand j'ai décidé de m'attaquer à quelque chose, on a du mal à me faire décrocher.
LANA : En fait, je t'admire. Tu sais qui tu es. Tu es une fonceuse.
CHLOÉ : Merci. J'apprécie ce compliment. Enfin bon, je suis sûr que tu n'es pas venu pour me remonter le moral.
LANA : Est ce que la Troch publie le discourt de la cérémonie de fin d'année ?
CHLOÉ : Après avoir tapé, le discours soporifique de l'an dernier, je peux dire que oui ? Quelle années ?
LANA : C'était en 77.
CHLOÉ : Ça c'est P.O.
LANA : P.O c'est quoi ?
CHLOÉ : Pre ordinateur. Quand le disco régnait sur terre. Tout ce qui date de ce temps là est sur support ordinaire.
LANA : Sur du papier.
CHLOÉ : Tu vois, tu saisie vite. Bon voyons un peu ça. 1977. Ah, Le thème du bal de pro, c'était la fièvre du samedi soir. Styx était élu groupe du siècle. Oh, tient on s'en ai prit à l'administration, j'y j'en crois cette phrase.
LANA : « Contenu de la nature controversé du discours entendu cette année , les éditeurs ont préféré renoncé à l'inclure dans cette édition de laTorch. »
CHLOE : Ça veut dire que c'est sûrement le plus intéressant qui est jamais eu à lire. Je peux peut-être faire des recherches pour toi. Tu sais par qui il a été prononcé ?
LANA : Oui. Par ma mère.
AU MANOIR
Lex est dans le salon à boire un verre d’alcool, lorsque Roger Nixon arrive.
LEX : Je vous sert quelque chose ?
ROGER : Si ça ne vous dérange pas , je vais prendre mon pognon et filer.
LEX : Je vous en prit allez y.
ROGER : Ce n'est pas utile que je recompte ?
LEX : J'ai même le sac pour les billets. Vous devez vraiment être fière de vous, en ce moment. Hein ? C'est curieux avec tout le fric que mon père a dépensé, il aurait pu détruire ces document, non ?
ROGER : Apparemment il n'est pas si futé que ça. Les originaux. Profitez bien de votre avenir.
LEX : Si vous franchisez cette porte, je vous ferais disparaître.
ROGER : De quel façon ? Vous allez me faire descendre ?
LEX : Non. Je préfère que vous restiez vivant. Mais il n'y aura plus aucune preuve que vous existez.
ROGER: De quoi est ce que vous parlez ?
LEX : Permis de conduire, passeport, sécurité sociale, compte en banque, tout sera effacé pour de bon. Un coup de fils et je assure qu'on ne trouvera plus aucune trace de votre passage sur cette terre.
ROGER : Vous bluffez.
LEX : Essayez d'appeler, et vérifiez si votre compte en banque existe toujours… si votre téléphone n'est pas déjà coupé, bien sûr.
ROGER : Qu'est ce que vous avez fait ?
LEX : Faut pas vous inquiéter, je vous donnerais une nouvelle identité. Un peu moins respectable, évidemment. Celle par exemple d'un meurtrier, ou bien d'un dealer. En fait vous perdrez tout, job, maison, famille.
ROGER : Écoutez. Je vous rends l'argent, et on oublie tout.
LEX : Je ne crois pas, non. Parce que je sais aussi que votre frère travail au tribunal pour enfant. Qu'est ce que vous lui avez dit ? Vole ces dossiers, il y a pleins de pognons à la clé. On va en taule pour ça.
ROGER : Ne l'impliquez pas là dedans.
LEX : Mais je ne l'ai pas impliqué Roger,c'est vous. Vous avez fait irruption dans ma vie en croyant pouvoir me rançonner, parce que je suis un foutu gosse de riche, qui a besoins que son père le protège ! Croyez moi, quand je veux qu'une chose disparaisse, elle disparaît.
ROGER : Qu'est ce que vous voulez de moi ?
LEX : Un coup de pousse. Mon père ne veut entendre parlé que du journal Daily Planèt. Mais je sais que l'inquisitor est lu par beaucoup de gens. Ce sont ces électeurs qui m’intéresse. Je vous fournirais des articles que vous publierez, mais si il y a des infos négatives sur moi, censurez les ! Vous serez à ma disposition 24 heures sur 24. Maintenant suivez moi.
Ils entrent dans une grand pièce ou se trouve la Porsche accidenté de Lex.
ROGER : Qu'est ce qui est arrivée à cette voiture ?
LEX : Je suis tombé d'un pont à 100 Kilomètre à l'heure.
ROGER : Comment se fait-il que vous soyez encore en vie ?
LEX:C'est un mystère, que je vous demande de résoudre.
CHEZ LE KENT
Clark, est assit sur le perron de la maison, il tient dans ses mains la boite en plomb et la regarde fixement. Lana arrive.
LANA : Qu'est ce qu'il ne va pas ? Pourquoi tu me regarde comme ça ?
CLARK : Oh ? Désolé c'est rien. J'étais pas sûr que c'était toi.
LANA :Je ne t'es pas dérangé j'espère.
CLARK : Non !
LANA : Je faisais du jogging, je ne voulais pas rentrer chez moi et j'ai décidé de venir ici.
CLARK : Tu t'es accroché avec Nell.
LANA : Comment tu le sais ?
CLARK : Euh… Je suis perspicace.
LANA : Ma mère tenait un journal. J'ai découverts qu'il y avait des tas de chose que j'avais ressentis et qu'elle ressentait aussi.
CLARK : C'est génial. Non ?
LANA : C'est génial, c'est frustrant, c'est effrayant à la fois. C'est comme si elle avait tout su de moi. Tu n'as jamais ressenti ça ?
CLARK : Plus souvent que tu crois.
LANA : Quand j'ai lu les mots qu’elle écrivait à mon âge. J'ai eus l'impression qu'elle s'adressait à moi. Mais elle n'est plus là.
CLARK : Tu as de la chance. Au moins tu as quelque chose d'elle.
LANA : Tu n'as jamais essayer de retrouver tes parents ? Tes parents biologiques, bien évidemment.
CLARK: Non, jamais. Mais ils sont sûrement à des années lumières de ma vie.
LANA : Si tu pouvais leur poser une question. Tu poserais laquelle ?
CLARK : Que s'est-il passé ? Pourquoi cet abandon ? Qu'est ce qui peut donner un sens à… à l'étrangeté de mon destin.
LANA : Je crois qu'on aura jamais de réponse, ni l'un, ni l'autre.
CLARK : J'espère que tu trouvera ce que tu cherche.
LYCÉE DE SMALLVILLE
Lana est appuyé contre le mur, quand Whitney arrive a côté d'elle.
WHITNEY : Lana ? Je croyais que tu travaillais sur un projet.
LANA : Oui, mais je viens de finir. J'avais envie de passer un peu de temps avec le petit ami le plus chouette du monde.
WHITNEY : Je voudrais bien, mais j'ai une interro demain. Tu n'as pas oublié ?
LANA : Exact, j'avais oublié.Ça fait rien, on a toute la vie devant nous.
WHITNEY : Oh, oh, qu'est ce qu'il t'arrive ?
LANA : Est ce que ça te plaît, que je change ?
WHITNEY :Ah,ouais, je crois que je m'y ferais sans difficulté. Tu veux que je te ramène chez toi ?
LANA : Euh, non merci. Prête moi ton blouson Whitney, j'ai un petit peu froid.
WHITNEY : Ouais, ouais, bien sûre. On se voit demain.
Elle met le blouson de Whitney et Tina reprend son apparence.
DANS LES RUES DE SMALLVILLE
Pete et Clark, marche sur le trottoir.
PETE : Donc, tu veux dire que Tina, peut contrôler son corps et qu'elle lui fait prendre la forme de qui elle veut ?
CLARK : Je l'ai vu de mes propres yeux.
PETE : Ah ,Ah, tu m'excuseras, mais c'est le domaine réservé de Chloé. J'enquête sur les filles, le football, et les trucs de garçon. Elle, elle s'occupe des affaires inexpliquées. Il fallait faire appel elle.
CLARK : Je l'ai fait, elle m'a dit qu'elle s'occupait d'autre chose.
PETE : C'est comme si, t'avait rembarré par un journal national.
CLARK : Redis moi, pourquoi on est ami ?
PETE : Parce que même quand je te trouve cinglé, je suis là, prêt pour la bagarre. Génial, c'est fermé. Hé mec, tu as déjà vu travailler des flics ? C'est évident que Tina ne va pas se caché dans le magasin de sa mère.
Clark radiographie l’intérieur du magasin et aperçoit un corps enfermé dans un placard.
PETE : La terre appel Clark. Tu es sûr que ça va ?
CLARK : Faut qu'on entre.
PETE : Pourquoi ?
CLARK : J'ai... j'ai une intuition.
Clark suivie de Pete entre par l'arrière du magasin.
PETE : Qu'est ce qu'on cherche à la fin ?
Clark ouvre le placard, le corps de Rose tombe au sol.
PETE : Whaou… Qui est-ce ?
CLARK : C'est sa mère.
PETE : Ça craint. Comment t'as su quelle était là ?
CLARK : Parce que j'ai le don de voir à travers les portes.
PETE : Ah, t'es drôles Sherlock. Comment tu crois qu'elle est morte ?
CLARK : En se cassant la nuque. Enfin j'imagine.
PETE : Je pari que Tina est déjà dans le bus pour Métropolis.
CLARK : Ça m'étonnerai.
Clark et Pete se dirige vers le comptoir ou ils trouvent les essaies de signatures de Lana.
PETE : Pourquoi, elle imite la signature de Lana ?
CLARK : Tu disais que Tina était obsédé par Lana. Elle doit déjà en être à l'étape suivante.
PETE : Tu...tu veux dire qu'elle va la tuer ?
CLARK : Pire que ça. Elle veut devenir Lana.
AU CIMETIÈRE
Lana est sur la tombe de ses parents.
LANA : J'ai trouvé ton journal, maman. Celui que tu tenais quand tu étais au lycée. Finalement toutes ces réflexions ne me semble pas si partiale que ça. J'ai essayé de trouver ton discours de fin d'étude, mais il ne l'ont pas édité. Chaque fois que je me rapproche de toi quelque chose me repousse loin de toi.
WHITNEY : Lana ?
LANA : Whitney ? Qu'est ce que tu fais là ?
WHITNEY : Ta tante m'a dit que tu montais à cheval. Le sentier passe par ici.
LANA : Je suis venu parler à mes parents.
WHITNEY : Ils sont mort Lana. Tu as une vie de rêve et tu n'en as pas conscience. Tu n'as pas le droit d'être malheureuse. Ils ne revivront pas. C'est clair ! Il faut-y faire !
LANA : Qu'est ce que tu racontes ?
WHITNEY : Je pense que tu ne mérite pas cette vie de rêve.
Tina reprend son apparence.
TINA : Moi si !
Tina prend Lana par la gorge jusqu’à ce qu'elle perde connaissance, puis lui retire son collier.
DANS UN CAVEAU
Lana se réveille dans un cercueil. Clark arrive en courent au cimetière.
WHITNEY : Clark. Qu'est ce que tu fais ici ?
CLARK : C'est la question que je voulais te poser. Où est Lana ?
WHITNEY : J'en sais rien. Je sais qu'elle est venue ici, mais je ne l'ai pas trouvé.
Whitney a dans sa main le collier de Lana, lorsqu'il s'approche de Clark, celui-ci faiblit.
WHITNEY : Ça n'a pas l'air d'aller ? Tu te sens mal.
Whitney frappe Clark avec une barre de fer, il s'écroule.
CLARK : Tina, dis moi ou est Lana ?
TINA : Tait toi, Tina n'existe plus !
Whitney frappe de nouveau Clark, qui est envoyé sur une pierre tombale.
CLARK : Je sais ce que c'est de vivre avec un secret. Je sais ce que tu as fait à ta mère.
WHITNEY : C'est déjà loin derrière moi. Ne te fait pas de soucis pour Lana, tu vas bientôt pouvoir la rejoindre. Je croyais que j'avais réussis à te tuer. Je ne vais pas commettre la même erreur deux fois.
Whitney veut frapper Clark une nouvelle fois, mais ce dernier se retirer avec sa super vitesse et se met derrière Whitney.
CLARK : Où est Lana ?
Whitney, se retourne pour frapper Clark avec sa barre de fer, mais Clark, le prend et le colle contre une pierre tombale.
WHITNEY : Qui es-tu ?
Whitney pousse Clark sur un pierre tombale et Clark le repousse à terre.
CLARK : Où est ce qu'elle est ?
WHITNEY : Je l'ai tué !
Clark attrape la barre de fer que tient Whitney et l’envoie contre un arbre, assommant légèrement Whitney. Tina reprend alors son apparence.
CLARK : Lana !
Clark radiographie le cimetière et trouve le caveau ou se trouve Lana. Il se précipite pour la sauvé. Il casse lors la tombe et sort Lana du cercueil.
Clark se tient devant la maison de Lana, ou la police et une ambulance s'y trouve, Chloé arrive.
CHLOÉ : Je viens d'apprendre ce qu'il s'est passé.
CLARK : Tu es venue voir comment j'aillais ?
CHLOÉ : Je reconnais, que je suis toujours concerné par tout ce qui peut t'arrivée, mais je ne suis pas venue à cause de toi. Lana ? J'ai remuer ciel et terre… tient.
LANA : Oh, merci. Où es-ce que tu l'as trouvé ?
CHLOÉ : Si je te le disait, il faudrait que je te tues, et je crois que tu as déjà été assez traumatisé, aujourd'hui.
LANA : Merci du fond du cœur.
CHLOÉ : Il n'y a pas de quoi.
CLARK : (S'adressant à ses parents) Comment va Tina ?
MARTHA : Elle ne fera plus de mal à qui que ce soit.
JONATHAN : Je n'arrive pas à comprendre, pourquoi cette fille a fait ça.
CLARK : Je la comprend. Quand tu dois vivre avec un don, que tu dois garder secret, que tu vois autour de toi que les autres sont normaux, tu deviens jaloux. Tu veux devenir comme les autres.
Whitney arrive auprès de Lana. Clark les regarde fixement.
MARTHA : Tu es très attaché à elle.
Clark regarde les deux amoureux rentrée à l'intérieur de la maison et les radiographies et les vois s'enlacés et s’embrassés tendrement.
CLARK : Si tu pouvais voir tout ce que tu veux. Qu'est ce que tu ferais ?
MARTHA : J'apprendrais à fermer les yeux.
Lana est assise dans un camion devant sa maison sous la pluie. Elle met la cassette dans le lecteur.
VOIX DU PRINCIPAL : En tant que principal du lycée de Smallville. Je suis heureux de vous présenter le major de promotion de 1977. Mademoiselle Laura Hokins. E
LAURA : Mesdames et monsieur, élèves de terminal, bonsoir. Ces par ses mots familiers que commence tout les discours le jour de la remise des diplômes, et je les utilises délibérément, parce que la suite de mon allocution ne vous paraîtra peut-être pas rassurante. Je n'ai rien pu changer ici, mais j'espère que mes enfants le feront. Quand je suis rentrée au lycée de Smallville, j'étais pleine d'espoir. Je pensais que j'allais pouvoir réalisé mon rêve et travailler à construire un monde meilleurs...
FIN