SMALLVILLE
SCRIPT VF
SAISON 1 ÉPISODE 06
« PRÉDICTIONS »
Clark et Pete marchent dans un long couloir. Un vieil homme avec un déambulateur passe devant eux.
PETE : Bonjour. Comment ça ce fait que tu as réussis à me traîner ici.
CLARK : A Smallville tout les lycéens doivent faire 30 heures de travaux d’intérêt général.
PETE : Ouais, mais on aurait aussi bien servit la communauté en surveillant des jeunes filles à la piscine, au lieu de venir distraire des vieillards. Qu'est ce qui a pu t'attirer là ?
LANA : Salut Clark. Salut Pete.
CLARK : Lana ? Je savais pas que tu étais bénévole ici.
PETE : Ouais, je vois.
LANA : Ça fait deux semaines que je viens. Tu fais aussi partie de ce programme ?
CLARK : Je vais faire la lecture à Cassandra.
LANA : C'est une vielle dame intéressante. Les infirmières disent qu'elle sait prédire l'avenir.
PETE : Toi…
Dans une chambre une vielle dame aveugle glisse son doigt qui illumine au passage des lignes du de son livre.
CASSANDRA : Il faut que vous soyez deux pour me faire la lecture, maintenant ? Ne restez pas planté dans le couloir. Entrez, donc.
CLARK : Comment savez vous qu'on est deux ?
CASSANDRA : Je suis aveugle, je ne suis pas sourde. En réalité j'ai entendu couiner les chaussures de votre ami tout le long du couloir.
PETE : Alors vous prédisez l'avenir ?
CLARK : Quelle délicatesse, je te félicite.
CASSANDRA :Quel est votre nom jeune homme ?
PETE : Pete Ross.
CASSANDRA : Monsieur Ross si vous voulez que je prédise votre avenir, allez donc dans un cirque. Oh, mince alors.
Pete ramasse le livre que Cassandra a fait tombé et le donne à Cassandra, cette dernière en profite pour prendre la main de Pete.
CASSANDRA : Vous en avez pour un moment pour rentrée chez vous à pied, monsieur Ross. Regardez dans vos poches.
PETE : Oh, c'est pas vrai. J'ai laissé mes clé dans la voiture. Je dois te laisser.
CASSANDRA : Alors vous vous appelez comment ?
Dans une autre chambre, un vieil homme écoute de la musique. Lana entre.
LANA : Monsieur Mr. Bollston? C'est Lana Lang.
MR BOLLSTON: Lang? Les Lang sont venu à Smallville en 1938. Ils ont rachetés quelques ferme en décrépitude, ils avaient bien vue qu'il faisait une affaire.
LANA : Vous connaissez l'histoire de toute la ville.
MR BOLLSTON : Oui, c'est un peu une obsession. Enfin bon. Êtes vous ma prochaine victime ?
LANA : Vous n'avez pas l'air si terrifiant.
MR BOLLSTON : Il aurait fallut que vous me voyez quand j'étais jeune.
LANA : Je suis sûre que vous étiez un vrai bourreau des cœurs.
MR BOLLSTON: Si on faisait petit tour dans le jardin et que vous me disiez ce que la famille Lang est devenue, depuis 1938.
DANS LE JARDIN
Sur un pont au dessus d'un étang, Lana pousse le fauteuil d'Harry.
LANA : C'est un endroit magnifique. Je ne sais pas pourquoi, les gens n'y vienne pas plus souvent.
MR BOLLSTON: C'est parce qu'ils sont trop occupés à regarder la télévision. Lana,vous voulez bien aller dans ma chambre et me rapporter mon écharpe ? Je ne voudrais pas attraper froid.
LANA : Bien sûre.
MR BOLLSTON: Vous êtes un ange.
Pendant que Lana est parti cherche ce que Mr Bollston lui a demander, ce dernier en profite pour fumer une cigarette, mais en prenant son briquette dans sa poche, celui-ci lui échappe des mains et tombe sur le pont.Harry, se penche alors pour le ramasser.
CHAMBRE DE CASSANDRA
Cassandra tousse.
CASSANDRA : De l'eau s'il vous plaît.
Lorsque Clark donne le verre à Cassandra, celle-ci touche la main de Clark, le jeune lache alors le verre, qui tombe au sol.
Sur le pont Mr Bollston cherche à reprendre le briquet qui est tombé au sol, mais il n'y parvient pas. Pendant ce temps dans la chambre de Cassandra le verre continue de chuté vers le sol, lorsqu'il le touche, il se brise au même moment ou Mr Bollston tombe dans l'étang. Des éclaires vertes se produisent dans l'eau. Cassandra voit alors quelque chose dans un flash, horrifié par ce qu'elle vient de voir, elle pousse un cri. Pendant ce temps Mr Bollston à rajeunie et sort de l'eau.
DANS LA CHAMBRE DE CASSANDRA
CLARK : Qu'est ce qu'il y a ?
CASSANDRA : Une personne de votre entourage va mourir. Dans très peu de temps.
GÉNÉRIQUE SMALLVILLE
FERME DES KENT
Jonathan coupe du bois à la scie circulaire. Martha est auprès de lui.
CLARK : Quand il y a ce genre de travail à faire, laissez le moi, je m'en chargerais.
MARTHA : On peut savoir ce qu'il t'arrive ?
CLARK : Rien, je trouve juste, qu'il ne faut pas négliger la sécurité. Je vous signal que cet engin est super dangereux.
JONATHAN : On travail dans une ferme, ça fait parti des risques du métier. Bon, je t’écoute. Qu'est ce que t'as ?
CLARK : J'ai rencontré une aveugle à la maison de retraite. Je sais que ça à l'air dingue, mais elle prédit l'avenir.
MARTHA : Qu'est ce qu'elle t'a raconté ?
CLARK : Qu'un de mes proches allait bientôt mourir.
JONATHAN : Il ne faut pas se laisser influencer par une vieille aveugle et ses prédictions à la petite semaine. Elle fait ça sûrement pour effrayer les infirmières.
CLARK : Elle a dit à Pete qu'il devrait marché pour rentrer chez lui et il a réalisé qu'il avait enfermer ses clés dans sa voiture.
MARTHA : Personne ne peut connaître l'avenir.
CLARK : Et si c'était vrai ? Et si elle l'avait dit, parce que je suis capable d'intervenir.
MARTHA : Dans ce cas, elle aurait dû te donner plus d'information, un nom, une heure, un lieu.
JONATHAN : Même si elle peut prédire l'avenir. Elle n'a aucun moyen de le contrôler. C'est impossible.
MAISON DE RETRAITE
Un jeune homme descend les escaliers, c'est Monsieur Bollston. Il est dans sa chambre et sort d'une enveloppe des vieux articles de journaux.
HARRY : « Poursuite du procès pour meurtre. » Le destin t'accorde une secondes chance, a ce qu'il paraît. Et cette fois, ils vont payer.
AU CAFE BEANERY
Un pendentif d'une tête de licorne est présenté au cou d'une personne, celui-ci appartient à Zoé une serveuse, elle apporte le repas de Harry.
HARRY : C'est fou, je n'en ai pas mangé depuis des années. Depuis qu'ils ont fait la déviation. Non, c'était une blague.
ZOÉ : Vous êtes orignal. Comme boisson, vous voulez quoi ?
HARRY : Combien coûte le café ? Celui qui est moulu.
ZOÉ : Deux dollars soixante quinze.
HARRY : Ils l'ont apporté à pied d'Amérique du sud.
ZOÉ : On croirais mon grand père.
HARRY : Assurez vous qu'il soit chaud.
ZOÉ : Oui, évidemment.
Chloé, Clark et Lana entre au café.
CHLOÉ : Bonjour.
CLARK : C'est pas ta faute Lana.
LANA : Tu connais beaucoup de gens qui on perdu un vieillard dans un fauteuil roulant.
CHLOÉ : Non, c'est vraiment impressionnant et pourtant à Smallville on en a vu d'autre.
CLARK : Il a peut-être été kidnappé ?
LANA : Pourquoi kidnappé Harry, c'est un vieux bonhomme inoffensif.
CHLOÉ : Un poisson chat a pu se transformer en un piranha et le manger. Quoi, vous m 'avez demandé de l'aide, je dis ce qu'il me vient à l'esprit.
HARRY : J'aime bien votre théorie.
CHLOÉ : Pour écouter aux portes, vous avez encore des progrès à faire.
HARRY : Désolé. D'après ce qu'on m'a dit, les jeunes gens de Smallville se réunissent ici.
CHLOÉ : Oui, les jeunes gens se réunissent souvent ici.
CLARK : Salut, je suis Clark. La blonde taquine, c'est Chloé et l'autre c'est…
HARRY : Lana Lang. C'est marqué sur son badge. Bon et bien bonne chance pour retrouver cette personne disparue.
ZOÉ : J'espère que vous apprécierez ce café, ils l'ont apporté à dos de mulet en fin de mâtiné.
HARRY : Merci. Vous êtes un ange.
MAISON DE RETRAITE
Harry joue du piano.
CASSANDRA : Vous jouez merveilleusement bien.
HARRY : J'ai faillie rentrée au conservatoire de Métropolis.
CASSANDRA : Vous avez un voix très jeune. Le conservatoire a fermé ses portes dans les années 70.
HARRY : Je veux dire, que j'aurais aimé suivre des cours, si j'avais eus le choix de vivre une autre époque.
CASSANDRA : Oui. Oh, seriez vous assez gentils, pour aider une vielle dame à regagner sa chambre.
HARRY : Je connais déjà mon avenir.
AU MANOIR
Lex arrive en zigzaguant avec sa ferrari noire, alors que Clark livre des cagettes de légumes.
CLARK : Tu pourrais envisager de ne pas conduire comme si tu voulais franchir le mur du son.
LEX : Tu crois que ce serait amusant.
CLARK : Je suis sérieux. C'est dangereux.
LEX : Pourquoi ce regain d’intérêt pour ma santé, hein ?
CLARK : A la maison de retraite, j'ai rencontré une vielle dame qui peut prédit l'avenir.
LEX : Est ce qu'elle t'a prédit le siens ?
CLARK : Non, pas vraiment. Mais elle m'a dit que quelqu'un de mon entourage allait…
LEX : Mourir ?
CLARK : Écoute je sais que ça à l'air idiot, mais on a vraiment l'impression qu'elle dit la vérité.
LEX : Tu plaisantes, elle fait ça pour attirer l’attention.
CLARK : Tu réagis comme mes parents.
LEX : Ah, ben, c'est une première.
CLARK : Je crois que cette femme vaut vraiment le coup.
LEX : Il y a une question que tu devrais d’abord te poser. Est ce que tu veux connaître l'avenir ?
CLARK : Tu n'as pas envie de savoir ce qui va t'arriver ?
LEX : La vie est un voyage et j'ai pas besoins de carte routière pour le faire.
CLARK : En tout cas, tu devrais conduire moins vite.
LEX : Pourquoi ? Tu es mon ami, non ? Tu as déjà changé mon avenir une fois.
CLARK : J'ai mes livraisons à terminer.
LEX : Tu ne m'as pas dit le non de cette femme.
CLARK : Je croyais que ça ne t’intéressais pas.
LEX : Je pourrais la consulter pour mes actions en bourses.
CLARK : Cassandra Carver.
MAISON DE RETRAITE
Dans le couloir, Lana regarde des affiches, quand Clark arrive auprès d'elle.
CLARK : Je ne pense pas que ça nous aidera à retrouver Harry.
LANA : Qu'est ce que tu fais ici, à une heure pareille ?
CLARK : Je suis venue voir Cassandra, si elle, ne dort pas. Où est passé la photo de Harry adolescent ?
LANA : Je ne sais pas.
CLARK : Est ce que ça va ?
LANA : J'ai parlé à l'administrateur pour lui dire ce que je savais sur Harry. La police est venue.
CLARK : Pour une disparition ça n'a rien d'extraordinaire.
LANA : Il y a une autre raison. Harry Bollston, s'appelait en fait Harry Volk. Il avait commis un meurtre.
CLARK : Un meurtre ?Pourquoi, ils l'ont laissé revenir ici ?
LANA : Parce que ça c'est passé il y a 60 ans. Il avait 17 ans. Après avoir purgé sa peine, il ont pensé qu'il ne pouvait plus faire de mal et qu'il pouvait revenir mourir dans sa ville. Dans les années 40, il voulait devenir pianiste de concert, il avait demandé une bourse d'étude pour pouvoir faire le conservatoire. Mais son professeur a recommandé quelqu'un d'autre.
CLARK : Donc il l'a assassiné ?
LANA : Non. Il a dit que son prof avait tué son rêve, c'est pourquoi il avait tué le rêve de son prof. Son propre fils.
DANS UNE MAISON
Un homme assit à une table et regarde un match de football à la télévision.
LE COMMENTATEUR TV : C'est la 3éme et dernière tentative.
JIM : Allez les mec ! Allez c'est bon ! Vas-y, fait une passe ! Fait une passe ! Oui ! Oui ! Tu les as eus !
Soudain il n'y a plus de courent.
JIM : Ah c'est pas vrai ! Mais pourquoi ça à disjoncté.
Jim prend une lampe torche dans un tiroir, il est sur le point de téléphoner, lorsque une jeune homme se présente à la porte d'entrée. C'est Harry.
HARRY : Bonsoir. Excusez moi de vous déranger, on a une ligne qui vient de tomber près de chez vous et je venais voir si votre installation n'avait pas été touché.
Jim fait entrée Harry chez lui, ce dernier examine l'électricité.
HARRY : Vous vivez seul ?
JIM : Oui, je suis divorcé.
HARRY : J'ai vu votre nom sur mon fichier. Jim Gage. Vous avez des liens avec Randolph Gage ?
JIM : A c'est le cas de le dire, c'était mon père, il est mort en 1993.
HARRY : Je l'avais lu dans le journal, je me souviens premier concessionnaire de voiture à Smallville.
JIM : Ouais, c'était en 35, vous avez de la mémoire.
HARRY : J'ai souvent tué le temps en lisant des journaux.
JIM : On a trois magasins, dans trois autres contés, maintenant.
HARRY : Apparemment votre père vous a laissé de quoi voire venir.
Harry sort de sa caisse a outils un fils de fer.
CHAMBRE DE CASSANDRA
CASSANDRA : Est ce que vous allez franchir cette porte, oui ou non, monsieur Kent ?
CLARK : Comment faites vous ?
CASSANDRA : Lorsque l'on perd un de nos sens, en général les autres s'intensifient. Oh, je suis obligé d'admettre qu'après ce qu'il s'est passé hier. J'étais certaine de ne jamais vous revoir. Asseyez vous.
CLARK : Je n'arrive pas à oublier ce que vous m'avez dis.
CASSANDRA : Vous j'imaginez, ce que moi je peux ressentir. La première fois que ce genre de chose m'est arrivée, j'avoue que j'ai crus que c'était une malédiction. J'avais des espèces de visions, comme des photographies sur les quelles je n'avais aucun contrôle.
CLARK : Ça a commencez quand ?
CASSANDRA : J'ai perdue la vue de façon brutal. Et c'est vraiment curieux, je me suis levé ce matin là, comme tout les autres jours et les météorites sont tombées. Il y en a une qui s'est écrasée dans le champs derrière chez moi, une lueur énorme a brûlé mes yeux en profondeur.
CLARK : Je suis désolé.
CASSANDRA: Ce n'est pas votre faute. C'est étonnant de constater qu'une seconde seulement a le pouvoir de changer la vie de quelqu'un pour toujours.
CLARK : Mes amis et ma famille, disent que vous êtes…
CASSANDRA : Un charlatent, hein ? Il faut reconnaître que les gens ont peur de l'inconnu en général. Ils veulent seulement s'entendre dire que dans leur vie avenir tout va bien se passer et ça je ne peux en aucun cas leur garantir. En revanche ce que je peux vous monter ce sont des sortent de panneaux pour vous guider dans votre voyage. Ce que vous en ferez ensuite ne dépendra que de vous.
CLARK : J'ai tellement de question sans réponse et de choses que j'ai besoins de savoir.
CASSANDRA : Venez là. Venez. Allons-y. Votre main Clark.
Clark donne sa main à Cassandra, soudain dans un flash, Clark se voit dans un cimetière sous une pluie d'orage en pleine nuit ou tout ses proches et ami sont mort.
FLASHBACK DE CLARK
CLARK : Non ! Noooonnn… Nooonnnn…
RETOUR AU PRÉSENT
CLARK : Non !
CASSANDRA : Vous aussi vous avez vu ça ? Clark.
Clark a prit la fuite en super vitesse.
FERME DES KENT
MARTHA : Mais enfin, c'était peut-être simplement une hallucination.
CLARK : Non, ce n'était pas une hallucination. J'ai entrevue l'avenir. Mon avenir.
JONATHAN : Et tu as vu un gigantesque cimetière.
CLARK : C'était comme si, il n'y avait plus que moi sur terre.
JONATHAN : Écoute mon grand, je ne sais pas ce que tu as vu en réalité, mais il faut tenir compte de tes sources.
MARTHA : Oui, il a raison, on ne sait pas grand chose de cette femme.
CLARK : Elle a perdue la vue à cause d'une météorite.
JONATHAN : Ah… et cette pour cette raison qu'elle prédit l'avenir.
CLARK : Qu'est ce qu'il y a de si étrange ? Une voiture m'a fauché sans me tuer. Je travers le feu sans dommage. Et puis quoi ensuite ?
MARTHA : Ne laisse pas ce genre d'images, quelque ce soit son sens, avoir prise sur ta vie.
CLARK : Et si c'était ma destinée de survivre à tous ce que j'aime. Je n'ai aucune envie de me retrouver seul.
JONATHAN : Clark. J’ignore ce que l'avenir te réserve…
CLARK : Je crois que cette femme, sait quelque chose.
JONATHAN : Non ! La seule personne qui peut contrôler ta destinée, c'est toi.
CLARK : Pour l'instant, j'ai l'impression que je ne contrôle rien du tout.
MAISON DE RETRAITE
Cassandra lit le journal Daily planet , elle passe son doit sur le brail de la page, quand Lex Lutor arrive auprès d'elle.
LEX : Cassandra Carver ?
CASSANDRA: A qui cette jolie paire de luxe, appartient-elle ?
LEX : Lex Luthor.
CASSANDRA : Oh, hum… de chez Luthor. Société à profit illimité.
LEX : C'est un peu ça oui.
CASSANDRA : Et bien. Qu'est ce que le sauveur de Smallville peut attendre d'une vieille dame qui est aveugle ?
LEX : Vous avez fait une forte impression sur mon ami Clark.
CASSANDRA : Donc vous êtes passé voir si ce qu'il dit est vrai ?
LEX : Clark n'est pas stupide, s'il dit que vous avez des dons, il a apparemment de bonnes raisons pour le croire.
CASSANDRA : Oh, mais qu'est qui me donne l'impression que vous n'êtes pas venu pour vos actions en bourses, monsieur Luthor.
LEX : S'il vous plaît appelez moi Lex. En fait j’espérais que vous pourriez m'éclairé sur Clark.
CASSANDRA : Et vous dites que c'est votre ami. C'est bien ça ?
LEX : Il m'a sauvé la vie, il y a peu de temps. Mais ce garçon est un mystère.
CASSANDRA : Comme la plupart des gens. C'est ça qui les rend plus intéressant.
LEX : Écoutez, je suis prêt a vous rémunérer pour vos services.
CASSANDRA : Ne gaspillez pas votre argent Lex. Je n'ai rien n'a vous dire à propos de Clark. Je ne peux pas, même si je voulais. En réalité, je ne sais voir l'avenir que des personnes que je touche.
LEX : Je n'aie pas besoins de le connaître.
CASSANDRA : Pourquoi ? Parce que votre père a sans doute déjà, planifier votre vie pour vous.
LEX : Je pense qu'on est maître de notre destinée !
CASSANDRA : Ah, ah, vous ne voulez même pas avoir une petite idée, de ce que vous allez accomplir. Il est possible que je vois aussi votre ami Clark ou je peux peut-être voir des choses plus intéressante.
LEX : Au revoir Madame Carver. C'était très instructif.
CASSANDRA : Revenez me voir un jour. Quand vous vous sentirez près.
LYCÉE DE SMALLVILLE
A la Torch, Clark cherche Chloé, mais y trouve Lana.
CLARK : Chloé, qu'est ce que tu...
LANA : Elle n'est pas arrivée.
CLARK : Lana, qu'est que tu fais ici ?
LANA : Chloé m'a téléphoné. Elle m'a dit qu'elle avait des infos sur Harry. En attendant, j'ai un peu visité les lieux, et j'ai vu ça.
CLARK : Chloé l'appel le mur des bizarreries. Elle pense que tout ce qui se passe d'étrange ici, a commencé avec la chute des météorites.
LANA : Tu en pense quoi, toi ? Tu crois que c'est vrai ?
CLARK : Oui, je crois que c'est vrai.
LANA : Tu crois que j'en fait partie ? Au même titre que le veaux à trois têtes et le monstre du Lac Crater ?
CLARK : Ces événements étranges n'ont rien à voir avec toi.
LANA : Tu m'avais dis que les gens, font tout pour se cacher leur secret. Tu t'en souviens ?
CLARK : Hum…
LANA : Je vois que le miens n'a plus rien d'un secret. Quand la tragédie que tu as vécue est connu de tous, c'est dure, les gens te vois autrement, comme si tu allais t’effondré.
CLARK : Je suis sûre qu'il ont de la peine, ils ne veulent que t'aider.
LANA : Oui, je sais. Mais ils ne me font que me rappeler les moments les plus pénibles de toute ma vie. Et toi, tu éprouve quoi, face à ça ?
CLARK : Je voudrais pouvoir remonter dans le temps pour effacer ces moments difficiles.
LANA : Je croyais que ce serait différent au Lycée, que j'arriverais à me débarrasser du passé. Mais où que j’aille, il est toujours là. Je devrais peut-être accepter mon destin. Je serais toute ma vie une petite fille déguisé en princesse qui vient de voir mourir ses parents.
CLARK : Je ne te vois pas comme ça.
LANA : Oui, je sais, Clark. Tu es bien le seul dans ce cas.
CHEZ LES KENT
Clark est dans la grange. Chloé et Pete arrivent.
CHLOÉ : Clark ont a eu ton message.
PETE : Où est ce que tu étais ? Qu'est ce qu'il se passe ? On avait prévu de se retrouver au journal.
CLARK : Désolé, je voulais pas vous faire faux bond.
CHLOÉ : Est ce que la jolie miss Lang, va nous rejoindre ?
CLARK : Non, je crois qu'elle en a vu assez pour aujourd'hui. Quoi de neuf ?
PETE : Il vienne de trouver un cadavre. Il avait les yeux bandés et on l'a étranglé avec une corde de piano.
CHLOÉ : Oui, ça ressemble tout à fait à un meurtre commis en 45 par Harry Volk.
CLARK : L'assassin a voulu l'imiter.
CHLOÉ : Quoi, il aurait reproduit un meurtre commit il y a 60 ans, deux jours après que le coupable disparaisse ? Ah, ça m'étonnerait
CLARK : Harry est en fauteuil roulant, c'est clair qu'il n'est pas vraiment en état de commettre un crime pareil.
CHLOÉ : J'ai trouvé une photo de Harry dans les années 40.
CLARK : Il ressemble au type qu'on a vu au bistro.
PETE : Il a peut-être un petit fils qui lui ressemble.
CHLOÉ : Ou alors, c'est peut-être Harry.
CLARK : Je ne crois pas qu'il est inventé la machine à remonter le temps.
CHLOÉ : Bon d'accord, par où on commence, alors ?
CLARK : Si quelqu'un est un admirateur de Harry, il lui a peut-être envoyé du courrier.
AU BEANERY
Harry joue du piano.
ZOÉ : On ferme à neuf heures, Mozart.
HARRY : Oh, il est mal accordé ce piano.
ZOÉ : C'est parce que il y a des années que personne n'en joue plus.
HARRY : Hum…
ZOÉ : Vous allez vous décider à partir ?
HARRY : Est ce que je peux avoir un autre café ?
ZOÉ : Vous ne savez pas ou dormir ?
HARRY : Oh, vous pouvez nettoyer pendant que je joue du Chopin.
ZOÉ : Bien sûr.
MAISON DE RETRAITE
CHLOÉ : Qu'est ce qu'on fait si on nous voit fouillé sa chambre ?
CLARK : On va éviter de se faire voir.
CASSANDRA : Clark? Est ce que c'est vous ?
Cassandra fait signe à Clark.
CLARK : La chambre est au fond du couloir. Je vous y retrouve.
CASSANDRA : La nuit dernière, vous êtes parti beaucoup trop vite. Mais asseyez vous. Euh, voilà. En fait j'espérais que vous reviendriez.
CLARK : Je suis désolé. Vous l'avez vu aussi, ce que j'ai vu ?
CASSANDRA : Clark, je vois toujours ce genre d'image. La question intéressante c'est comment avez vous fait ?
CLARK : Je n'en sais rien. Je ne devrais pas les voir ?
CASSANDRA : Jamais ce n'était arrivé.
CLARK : Pourquoi moi ?
CASSANDRA : Parce que nous savons bien tous les deux … que vous n'êtes pas tout à fait comme tout le monde.
CLARK : Mais si.
CASSANDRA : Je sais que non. Je vous avais déjà vu, bien avant que nous nous rencontrions. Plusieurs fois, lorsque j'ai touché de mes mains des gens, j'ai ressentis avec force, leur malheur et leur désespoir, mais lorsque je vous ais rencontré le malheur a disparu. Je pense que c'est votre destiné Clark. D'aider vos semblables, de les délivrer de la peur et des ténèbres.
CLARK : Mais comment ?
CASSANDRA : Ça, je crois que c'est à vous de le découvrir. Vous pouvez avoir peur de l'avenir ou le prendre à bras le corps. A vous de le décider.
Cassandra tend sa main vers Clark. Il accepte et met sa main dans celle de Cassandra.
FLASHBACK
Des images se succède, une petit fille cris par une fenêtre dont la maison est en feu. La petite fille hurle Papa, Maman au secours. Un pendentif d'une tête de licorne autour d'un cou.
RETOUR AU PRÉSENT
CLARK : Qui est ce ?
CASSANDRA: De brave gens qui on besoins que vous les aidiez un peu.
CLARK : Et comment je peux les aider, sans savoir où ils sont ?
CASSANDRA : Je ne sais pas une radio. Je ne peux pas recevoir des ondes en permanences. Désolez c'est tout ce que j'ai à vous donner.
CLARK : C'est bon je trouverais.
CASSANDRA : Clark, votre secret ne craint rien avec moi.
CHAMBRE D'HARRY
Chloé et Pete sont entrain de fouiller la chambre d'Harry. Clark les rejoints.
CLARK : Vous avez trouvé quoi ?
CHLOÉ : Aucun courrier d'admirateur, mais des infos sur Smallville découpé dans de vieux journaux. Rubrique nécrologique, articles.
PETE : Il était obsédé par Smallville depuis 50 ans.
CHLOÉ : Qu'est ce qui ne va pas Clark ?
CLARK : C'est elle.
CHLOÉ : Qui ça ?
CLARK: Il faut que j'y ailles.
AU BEANERY
Au café, Harry écrit un mot sur une serviette en papier jaune.
ZOE : Je vous remercie pour ce concert, mais si vous avez l'intention de dormir ici, faut pas y compter. Bon, ben moi je m'en vais. Qu'est ce que c'est ?
HARRY : On enseigne plus le Grec à l'école. C'est d'Euripide. Les enfants seront punis pour les péchés de leur père.
ZOÉ : Vous jouez du Beethoven et vous parlez le Grec. Ah vous êtes très doué. Qu'est ce que ça avoir avec moi.
HARRY : En réalité, Zoé Garfield, ça ne vous concerne plus que vous le croyez. Votre grand-mère, Eva Garfield, est morte l'année dernière, n'est ce pas ? J'aurais pu jouer dans toutes les capitale, dans les plus grandes salles de concert, si j'avais suivie ma destiné. Mais votre grand-mère a contribuer à tuer mon rêve. Et maintenant je vais vous tuer.
Clark arrive au moment ou Harry attaque Zoé.
CLARK : Lâche là !
HARRY : Ah, ah, surtout n'approche pas !
Harry traîne Zoé dans la rue, Clark se met juste devant.
CLARK : Lâche là tout de suite !
ZOÉ : On ne t'a jamais dit de respecter les anciens.
Dans la rue, un camion arrive, Harry pousse Zoé juste devant le camion, Clark intervient en protégeant Zoé, le camion passe alors sur Clark et Zoé. Le chauffeur s’arrête et descend de son camion.
LE CHAUFFEUR : Oh mon dieu. Mais...
CLARK : Occupez vous d'elle.
Clark part à la recherche d'Harry, celui se trouve derrière lui avec un couteau, lorsque Clark se retourne Harry, plante le couteau dans la poitrine de Clark, le couteau se brise en plusieurs morceau. Clark prend alors Harry par la poignet et le jette violemment sur une voiture. Harry est enfin neutralisé.
CHEZ LE KENT
MARTHA : Zoé est remise de ses frayeurs. Mais le chauffeur du camion est prêt à jurer qu'il ta roulé dessus. Ne t'inquiète pas, il ne se pose pas de question.
JONATHAN : Le gamin est en prison ?
MARTHA : Non, il est à l'hôpital, il a été mit en observation.
CLARK : Zoé c'est pourquoi il voulait la tuer ?
MARTHA : Non. Mais elle bénit le ciel que tu sois passé par hasard.
JONATHAN : C'est ça que tu as dis à la police.
CLARK : Dire que j'avais eus une vision avec un vieille aveugle, c'était mieux tu crois ?
MARTHA : Je ne sais plus quoi penser de Cassandra.
CLARK : Maman, c'est mon ami. Elle m'a dit que mon destin, c'est d'aider mes semblable.
JONATHAN : Tu ne crois pas qu'elle connaît ton secret… Alors je préfère que tu ne la vois plus.
CLARK : Si je n'étais pas allé voir Cassandra, Zoé serait morte.
JONATHAN : Peut-être que tu dois protéger tes semblables, mais nous on doit te protéger, toi et c'est ça qui est le plus important.
AU MANOIR
CLARK : Maman m'a dit que tu avais appelé. C'est la voiture avec laquelle tu… je comprends pas pourquoi tu l'as gardé.
LEX : J'ai lu un jour, l'histoire d'un homme riche qui avait survécu à l' incendie d'un hôtel. Il est resté pendu une heure à une saillie avant que les pompiers arrivent à le secourir. A la suite de quoi, il a décidé de racheter l'hôtel. Il vivait dans la même chambre. Lorsque les gens lui demandaient pourquoi, il disait qu'il croyait que le destin ne pouvait pas le frapper deux fois.
CLARK : Je pensais que tu ne croyais pas au destin.
LEX : C'est vrai. Mais chaque fois que je vois cette voiture, je doute. J'ai dis à des spécialistes d'en étudier les moindres détails et ils m'ont dit que l'impact n'aurait jamais arraché un morceau de toit de cette façon.
CLARK : Ils se sont peut-être trompés.
LEX : Tu ne te rappel rien, au sujet de l'accident.
CLARK : Juste que je t'ai attrapé et que je t'ai tiré.
LEX : Je croyais tu pourrais m'en dire un petit peu plus.
CLARK : Je suis désolé.
LEX : Ça me fait drôle d'être là bien vivant, alors que tout tend à prouver que j'aurais dû mourir. C'est encore un mystère à résoudre.
CLARK : Peut-être que le destin a d'autre projet pour toi.
LEX : Il me semble que tu passe un peu trop de temps avec Cassandra.
CLARK : Elle, elle ne ressasse pas le passé. Tu es vivant Lex. C'est l’essentiel. Maintenant, il faut te demander ce que tu vas faire de ta vie.
A L'HÔPITAL
Le sheriff Ethan arrive à l'hôpital pour voir Harry. Il s'adresse à un docteur qui se trouve dans le couloir.
ETHAN : Je viens chercher le garçon qui a tenté de commettre un meurtre, pour l’incarcéré.
LE MÉDECIN : Ah ! oui, celui qui n'a pas été identifié. Il est à vous, il est enfermé depuis hier. Je suis passé le voir ce matin, il dormait comme un bébé.
Le médecin ouvre la porte et découvre à la place du jeune homme un vieillard.
HARRY : Aider moi.
A L’ÉTANG DE LA MAISON DE RETRAITE
LANA : La police a interrogé Harry toute la mâtinée. Il dit qu'il a été Kidnappé par un jeune homme obsédé par sa vieille affaire de meurtre.
CLARK : En somme en pleine journée, il aurait enlevé ses menottes, il aurait amené Harry à l'hôpital et il l'aurait mit à sa place.
LANA : Oui, c'est la version officiel.
CLARK : C'est peut-être officiel, mais ça n'a pas de sens.
LANA : Tu l'ajoutera sur le mur des bizarreries.
Soudain Clark affaiblie à cause de la kryptonite qui se trouve dans l'étang.
LANA : Est ce que ça va ?
CLARK : Pas vraiment non. Je crois que je vais rentrer et aller voir Harry.
MAISON DE RETRAITE
Harry est dans sa chambre, allongé sur son lit, il écoute un disque de musique classique. Clark vient lui rendre visite et coupe la musique.
CLARK : On a trouvé une photo de Zoé Garfield dans une boite dans votre chambre.
HARRY : Qui êtes vous ?
CLARK : Clark Kent, mais on s'est déjà vu.
HARRY : Qui vous a autorisé à fouiller dans mes affaires.
CLARK : Pourquoi avez vous cette photo ?
HARRY : Qu'est ce qui m'oblige à vous répondre ?
CLARK : Vous savez Harry. Je crois que vous et ce garçon vous êtes la même personne.
HARRY : Je dois reconnaître que vous avez une imagination extrêmement fertile.
CLARK : J'ignore comment vous faites, mais je sais que c'est vous.
HARRY : Vous dites que vous, vous appelez Kent ? Nom du grand-père Hiram, père de Jonathan. C'est curieux, je ne me souviens pas de votre place dans la famille Kent.
CLARK : Je vais vous surveiller.
HARRY : Ça suffit ! Infirmière ! Aidez moi s'il vous plaît. Infirmière. Ah, j'en ai assez. Ce garçon me harcèle. Aidez moi. Vous ne croyez pas que j'ai déjà assez souffert comme ça.
L’INFIRMIÈRE : Vous devriez vous en aller, jeune homme.
CLARK : Vous en faites pas je m'en vais.
Harry est de retour sur le pont au dessus de l'étang, il tombe de nouveau dans l'eau pour retrouver sa jeunesse.
A LA TORCH
Chloé apporte des dossiers sur Harry.
CHLOÉ : Voilà tout ce que j'ai trouvé sur Harry Volk. Un tas d'article de journaux sur le procès, le meurtre et l'enquête. Il n'y a plus qu'a choisir.
PETE : Est ce que quelqu'un surveille ce type ?
CLARK : Lana le surveille. Je vous ai vu.
PETE : Qu'est ce qu'on cherche exactement.
CLARK : Je sais pas. Il y a sûrement quelque part un lien entre les gens que poursuit Harry.
CHLOÉ : Quand Zoé a été interrogé par la police, elle a dit que Harry accusait sa grand-mère d'avoir tuer ses rêves d'avenir.
Lana arrive à la Torch
LANA : Harry s'est enfuit. On a retrouvé son fauteuil roulant prêt de la pièce d'eau, il y a une demi heure.
CLARK : J'ai vu des météorites là bas.
CHLOÉ : On c'est au moins comment il fait pour rajeunir.
LANA : Je comprends pas.
CLARK : Je t'expliquerais. Il faut trouver sa prochaine victime.
CHLOÉ : Tient regarde ça.
CLARK : Qu'est ce que c'est ?
CHLOÉ : C'est la liste des jurés qui était à son procès.
CLARK : Rudolph Gage, Eve Garfield. Il assassine les descendants des jurés qu'ils l'ont jugé coupable.
PETE : Il va pas s'arrêter là, c'est sur.
LANA : Qu'est ce qu'il y a ?
CLARK : Regarde le numéro 11.
LANA : Hiram Kent. C'était pas ton grand-père ?
CLARK : Il va tuer mon père.
CHEZ LE KENT
Martha ouvre la porte à Harry qui prétend à une fuite de gaz.
MARTHA : Je peux vous aider ?
HARRY : Oui, je crois que vous avez une fuite de gaz. Ça ne vous dérange pas que je vérifie ?
MARTHA : Une fuite de gaz ? Je ne sens pas d'odeur de gaz.
HARRY : C'est votre mari qui a appelé tout à l'heure. Est ce qu’il est là ?
MARTHA : Il va bientôt rentrer… Où est Kurt, c'est lui qui vient d'habitude ?
HARRY : En vacances.
MARTHA : Ah, oui, je vois. Bon excusez moi, je reviens.
Martha referme la porte et prend le combiné du téléphone, lorsqu'elle essaye le téléphone celui-ci grésille. Pendant ce temps Harry a trouvé une autre entrée dans la maison.
HARRY : Kurt est une de vos inventions,j'imagine, madame Kent.
MARTHA : Qu'est ce que vous voulez ?
HARRY : Je veux tuer votre mari.
MARTHA: Qu'est ce que Jonathan vous a fait ?
HARRY : Rien du tout. Mais son père m'a fait quelque chose.
Martha, prend une vase et le casse sur la tête d'Harry. Elle s'enfuit en prenant les clés de la voiture.Mais Harry a crevé les pneus. Martha s'est ensuite dirigé dans un silo à grain. Harry l'a suivie et la recherche.
HARRY : Ça suffit madame Kent ! Je suis trop vieux pour jouer à cache-cache.
Harry attaque Martha avec une machette.
MARTHA :Jonathan !
Harry ouvre la porte du silo et entre, puis referme la porte.
HARRY : Vous ne pouvez pas le sauver madame Kent. Et oui, c'est trop tard.
Pour se défendre Martha tire alors la chaîne et d’éclanche la tombé des grains de maïs. Martha essaie de s'en fuir, mais Harry la retient par la Jambe. Jonathan arrive en voiture, Clark se poste juste devant le véhicule. Jonathan freine.
JONATHAN : Clark !
CLARK : Ça va papa ?
JONATHAN : Oui, mais qu'est ce qui se passe ?
CLARK : Tu sais où est maman ?
JONATHAN : J'en sais rien. Qu'est ce que tu as ?
CLARK : Quelqu'un veut te tuer.
JONATHAN : Hein ? Quoi ?
CLARK : Il est déjà ici.
Dans le silo, les grains de maïs tombe toujours, Martha commence à étouffé. Quand à Harry il est totalement enfouie dans les grains de maïs. Clark cherche sa mère avec sa vison à rayon X.
CLARK : Non !
Clark ouvre le silo et commence à dégager les grain de maïs, pour accéder à sa mère.
JONATHAN : Martha ! Martha !
CLARK : Maman ! Maman !
JONATHAN : Elle est là.
CLARK : Maman, je t'en supplie ! Maman ! Respire maman !
JONATHAN : Martha.
Jonathan réanime sa femme, celle-ci revient à elle, essoufflé.
JONATHAN : Ça va ma chérie ?
MARTHA : Vous croyez que je vous aurais laisser tout seul ? Cassandra c'est trompé, tu vois Clark. Personne ne va mourir.
CHAMBRE DE CASSANDRA
Cassandra est assise et fait un puzzle , lorsque Lex lui rend visite avec un bouquet de fleur.
CASSANDRA : Ça alors. Vous êtes la dernière personne que je m'attendais à voir, franchir cette porte, Lex.
LEX : Et je vous ai apporté un cadeau.
CASSANDRA : C'est ce que faisait les Grecs, autrefois.
LEX : Je voulais savoir si votre offre tenait toujours ?
CASSANDRA: Je croyais que vous contrôliez votre propre destiné.
LEX : Bien sûr. Mais certaines choses de ma vie m'étonne, des signes que je ne peux pas ignorer.
CASSANDRA : Ah oui, quel genre de signe ?
LEX : Je devais mourir et j'ai vécu. Il doit y avoir une bonne raison à ça. Ce ne sont pas de bonnes actions que je veux faire. Je veux faire de grandes choses.
CASSANDRA : Vous n'avez pas besoins de moi pour ça, alors.
LEX : Que ce passe-t-il Cassandra ? Avez vous peur de ce que vous verrez ?
CASSANDRA : Asseyez vous. Vous êtes prévenus, n'est ce pas ?
Lex dépose sa main dans celle de Cassandra.
FLASHBACK
Lex est habillé d'un costume blanc, il est président des états unis. L'instant d'après il se retrouve dehors dans un champs de tournesol. Il sens et touche les tournesols qui se mettent à faner. Tout le champ meurt, laissant place à des squelettes qui jonche un sol, devenue désertique. Le ciel devient rouge, un orage approche, une pluie de sang tombe, transformant le costume blanc de Lex en rouge vif.
RETOUR AU PRÉSENT
LEX : Qu'est ce que vous avez vu ?
Suite à cette prédiction Cassandra meurt. Lex prévient une infirmière et s'en va.
LEX : Hé, j'ai besoins d'aide. Venez vite !
L’INFIRMIÈRE : Madame Carver ?
Clark arrive dans la chambre de Cassandra.
L’INFIRMIÈRE : Il n'y plus rien a faire. Je suis désolé.
CLARK : Elle l'a vu.
L’INFIRMIÈRE : Elle a vu quoi ?
CLARK : Son avenir.
FIN