SMALLVILLE
SCRIPT VF
SAISON 1 ÉPISODE 12
« UN HOMME ORDINAIRE »
Dans la foret les étudiants de Smallville font une excursion avec leur professeur, pour trouver des minéraux.
LE PROFESSEUR : Allez-y, vous disposez de 15 mins. une grosse tempête se lève, je n'ai pas envie d'être dehors quand elle éclatera.
PETE : Combien de roche il faut qu'on trouve encore ?
CLARK : Du quartz rose et des météorites.
PETE : D'accord. Le premier qui les trouve.
Clark scanne le sol au alentour et trouve le quartz rose.
CLARK : En voilà une pour moi.
PETE : Dés fois je me demande comment tu fais ?
Soudain Clark ne se sent pas bien, il regarde sa main dont ses veines ressortent, derrière lui se trouve Lana avec son collier.
LANA : Clark ?
CLARK : Lana ?
CHLOÉ : Quelqu'un peu me dire si on en a encore pour longtemps, avec cette chasse aux trésors géologique ?
PETE : Tu n'as pas eus la main heureuse ?
LANA : Pas étonnant quant-on se plain au lieu de fouiller.
CHLOÉ : Je suis désolé, mais je trouve la géologie encore plus inutile que l’Algèbre. C'est vrai quoi, il suffirait de commander des roches sur internet, pour les recevoir chez soi et emballé sous vide.
ERIC : Hé, Holly ! Tu veux un morceau de météorite ?
HOLLY : Oh, non ça va, j'en ai déjà pleins. Merci quand même.
ERIC : Je voulais simplement te rendre service.
BRENT : Hé ? Bouffon ! Je ne veux plus te voir draguer ma copine, d'accord ? Si tu recommence je te promets que je te renverrais joué au billes.
ERIC : Essaie toujours, on verra.
BRENT : Ah, ouais ! Tu as de la chance que ton père soit le professeur.
LE PROFESSEUR : Eric ? Combien d'échantillon as-tu ramassé ?
ERIC : Seulement deux, il y a de la buée sur mes verres.
LE PROFESSEUR : Qu'est ce que tu attends pour te remettre au travail ?
ERIC : Papa !
PÈRE D'ERIC : C'est monsieur Summers au lycée. Tu as dix minutes pour finir de ramasser ces roches. Je te conseil de ne pas en oublier.
ERIC : Oui.
PETE : Heureusement que ce n'est pas mon père.
Les élèves sont dans le bus prêt à partir.
LE PROFESSEUR: Quelqu'un a -t-il vu Eric ? Apparemment il n'a rien trouvé de mieux à faire que de se perdre.
CLARK : Je vais le retrouver.
Clark descend du bus, mais l'orage approche vite, Clark retrouve Eric sur le barrage ou il se tient debout collé à la balustrade, tenant dans sa main une météorite.
CLARK : Eric ? Eric ! Éloigne toi du bord. Eric !
Un éclair touche la balustrade ce qui fait basculer Eric, qui tombe dans le barrage, il est rattrapé de justesse pas Clark qui le retient par la bandoulière de son sac. Eric tient toujours la météorite dans sa main, et de l'autre la bandoulière de son sac, suspendu dans le vide, lorsque un deuxième éclair touche Clark en peine poitrine, une lumière verte se produit, Clark réussi difficilement à remonter Eric.
GÉNÉRIQUE SMALLVILLE
FERME DES KENT
Dans la cours Jonathan Kent est au volent de son pic-up, mais il est embourbé, il demande de l'aide à Clark.
JONATHAN : Clark ! J'ai besoins d'un coup de main. J'ai chargé tout le foin et … ça va ? Tout va bien ?
CLARK : Ouais, juste un peu fatigué.
JONATHAN : L'essieu de la camionnette s'est embourbé.
CLARK : Et les vaches ne vont pas se nourrir toutes seules. Oui, je sais.
JONATHAN : Oui. Tu peux m'aider s'il te plaît ? Tu es prêt ?
CLARK : Prêt ! Attend ! Allez !
JONATHAN : Clark tu pousse là ?
CLARK : Ouais.
JONATHAN : Clark ! Arrête de me faire marcher, on a pas la temps… Dis moi, Qu'est ce qu'il s'est passé ?
CLARK : J'en sais rien.
SUR LE PERRON DE LA MAISON
Martha apporte à Clark de quoi se changer.
MARTHA : Tient voilà je t'ai ramené un blouson propre. Tu te sens mieux maintenant ?
CLARK : Je n'arrive toujours pas à comprendre ce qu'il m'arrive ? Pourquoi je me met à saigner ?
MARTHA : Peut-être que c'est dû à ton développement ? Peut-être à ta vison aux rayons X ? Ou bien encore les éclairs y sont pour quelque chose ? Je ne sais pas.
CLARK : Je pense que ça va aller.
JONATHAN : Tu devrais aller à l'école maintenant. Et si jamais tu as d'autres problèmes appel nous, n'hésite pas.
CLARK : C'est étrange, ça ne m’inquiétait pas avant d'être malade.
MARTHA : Tu n'es pas malade, Clark, je t'assure. Tu es… tu es différent.
JONATHAN : Tu viens de rater le bus. Tu ferais mieux de courir… Qu'est ce qu'il se passe ?
CLARK : J'ai aussi perdu ma vitesse.
CHEZ LES SUMMERS
Eric descend les escaliers tout en mettant ses lunettes, mais il s'aperçoit qu'il n'en a plus besoins, sa vue s'est améliorée.
ERIC : Bonjour maman. Papa.
MR SUMMERS : Tu es en retard. Je ne peux pas d'attendre.
MÈRE D'ERIC : Accorde lui 5 minutes. Tu es si pressé ?
MR SUMMERS: J'ai une réunion à la faculté.
MÈRE D'ERIC : Bien, dans ce cas je l’emmènerais à l'école.
ERIC : Ah, merci… monsieur Summers.
MR SUMMERS : Tu prends un autre ton quand tu me parle. Je te rappel que ton exploit d'hier a faillit coûté la vie à un étudient.
ERIC : Je vais pas passer ma vie à m'excuser.
MR SUMMERS : Tu as agis comme un garçon stupide et égoïste.
ERIC : Pourquoi tu ne réserves pas ton discourt à tes étudiants ?
Mr Summers s’apprête à gifler sur son fils, lorsque celui-ci l'arrête.
MR SUMMERS : Comment tu as fait ça ?
ERIC : C'est toi le prof de science. Tu n'as qu'a deviner.
MR SUMMERS : C'est ta mère qui t'accompagne.
DANS LES VESTIAIRES DU LYCÉE
Clark semble souffrir.
PETE : T'es sûr que ça va ?
CLARK : Oui. Pourquoi ?
PETE : D'habitude tu sors de la gym sans une goûte de sueur. Et là on dirait que tu vas t'effondrer.
CLARK : Non, non, je vais bien. Ah, ah...ouf.
PETE : Quoi encore ?
CLARK : Ma cuisse, ça brûle.
PETE : Ce n'est qu'une crampe, ça passera en marchant… Tu as perdu tout tes moyens aujourd'hui.
CLARK : Eric ? Tu as une minute ?
ERIC:Ouais bien sûr. Qu'est ce qu'il y a ?
CLARK : On a… on a pas vraiment eu l'occasion de parler de ce qu'il s'est passé hier.
ERIC : Ah, je te remercie de m'avoir rattrapé, je reconnaîs que j'ai été stupide.
CLARK : Alors, comment tu te sens ?
ERIC : Ah, j'ai la super forme.
CLARK : Mais tu te sens pas différent ?
ERIC : Pourquoi, je devrais ?
CLARK : Non.. je… je suis content que tu ailles bien.
ERIC : Euh… Clark ? Tu… tu saigne du nez.
DANS LES RUES DE SMALLVILLE
Une camionnette rouge se gare le long du trottoir,Whitney et Lana en sortent.
LANA : Merci de m'avoir raccompagné.
WHITNEY : De rien.
LANA : Tu veux rentrer dire bonjour à Nell ?
WHITNEY : Non, non, je ne peux pas, il faut que j’aille au magasin. C'est le jour du réapprovisionnement.
LANA : Je te vois ce soir ?
WHITNEY : Je dois faire les comptes avec mon père, à l'hôpital.
LANA: Il ne devrait pas être en convalescence ?
WHITNEY : Si… il a besoins d'être tenu au courent.
LANA : Et toi comment tu te sens ?
WHITNEY : J'ai connus mieux. Je n'arrive pas à faire mes devoirs à temps, ni à m’entraîner. Autant dire tout de suite adieux à ma bourse.
LANA : Je pourrais t'aider si tu passais me voir ce soir.
WHITNEY: Hé ! Depuis quand vous avez mis la boutique en vente ?
LANA : Quoi ? Locaux à vendre.
DANS LA BOUTIQUE
LANA : Pourquoi tu me la pas dis ?
NELL : Désolé mon ange, mais, je me suis décidé ce matin.
LANA : Alors je peux savoir, quand tu comptais me m'annoncer ?
NELL : Lana, je ne comprends pas pourquoi tu es bouleversé, tu n'as jamais eu le moindre intérêt pour ce magasin, auparavant… et maintenant il faudrait que je te consulte.
LANA : Tu veux vendre le cinéma aussi ?
NELL : Oui, bien sûr il fait parti de l'ensemble.
LANA : Tu connais l'importance qu'il a pour moi.
NELL: Si j'avais pris mes décisions en fonction de mes sentiments, ça ferait longtemps que j'aurais déposé le bilan… en plus je te rappel que le cinéma est fermé depuis des mois. Je vais vendre l'ensemble et ouvrir un autre magasin plus petit.
LANA : Il doit y avoir un autre moyens.
NELL : Tout ce que je fais, je le fais pour nous.
FERME DES KENT
CLARK : J'ai fini le foin.
JONATHAN : ça va, tu tiens le coup.
CLARK : A part le fait que maintenant mes tâches me prenne deux heures au lieu de cinq minutes. Je vais bien.
JONATHAN : Après tout, tant que tu vas pas plus mal, je crois qu'on peut s'estimer heureux.
CLARK : Il vaut mieux que je répare la clôture avant dîner.
JONATHAN : Ah, laisse tombé cette clôture, je m'en occuperais demain matin.
CLARK : Non papa, je peux le faire.
JONATHAN : D'accord, mais rappel toi une bonne chose. Il t'a fallut douze ans pour t'habituer à tes facultés, personne ne te demande de te réadapter en 24 heures. Ferme derrière toi.
CLARK : Au fait…
JONATHAN : Oui.
CLARK : Ou tu trouve la force de faire ça tout les jours ?
JONATHAN : Des années de pratique.
DANS LE MANOIR DE LEX
Lex regarde sur son ordinateur la démonstration virtuelle de son accident.
LEX : C'est du très bon travail Roger.
ROGER : Toutes les preuves matérielles, mène à cette explication.
LEX : Vous avez dû consulter une armée de professionnels de la pire espèce ?
ROGER : Un journaliste ne révèle jamais ses sources.
LEX : Vous travaillez pour l'inquisiteur, pas pour le planète. Je veux vérifier les compétences de ces experts, chaque nom vous rapporta dix milles dollars.
ROGER : D'accord. C'est une bombe à retardement cette histoire.
LEX : Personne n'en entendra jamais parlé… et si par hasard elle s’ébruitait, nos relations seraient amenés à se dégrader sérieusement.
ROGER : Et nous perdrions l'avantage de cette confiance mutuelle qui nous lie actuellement.
FERME DES KENT
Il fait nuit et Clark s'active à réparer la clôture,lorsque Lex arrive dans sa voiture, afin de discuter avec Clark.
CLARK : Ah !Lex ? Mais qu'est ce que tu fais ici ?
LEX : J'avais envie de discuter. Tu as une minute ?
CLARK : Ouais, si tu me donne un coup de main.
LEX : Tu n'arrive pas à la lever tout seul ?
CLARK : Je viens de passé deux heures à porter des balles de foin, je peux à peine lever les bras. Alors qu'est ce que tu deviens ?
LEX : Nous sommes amis, pas vrai ?
CLARK : Ouais, autant que je le sache. Pourquoi ?
LEX : Je veux savoir ce qu'il s'est passé, après t'avoir percuté avec ma voiture sur le pont ?
CLARK : J'ai plongé et je t'ai sorti de la voiture.
LEX : Et c'est tout ?
CLARK : Lex ! Qu'est ce qui ne va pas, au juste ?
LEX : Je pense que tu ne m'as pas dit toute la vérité, je crois savoir pourquoi.
CLARK : D'accord. Bon, ben alors, c'est toi qui va me dire ce qui c'est passé.
LEX : Je sais que je t'ai heurté à plus de 100 kilomètres heure… Ensuite tu as défoncé le toit à main nue, tu m'as sorti de là et sauvé la vie. Tu es le seul véritable ami que j'ai jamais eus de toute ma vie. Je t'assure que tu peux tout me dire.
CLARK : Tu crois vraiment que je te cache quelque chose ? Attend ! Tiens prends ce marteau, frappe moi, n'importe où.
LEX : Pas question Clark.
CLARK : N'hésite pas ! Je ne crains même pas les voitures. Alors va-s-y !
LEX : Clark, c'est la vérité que je veux.
CLARK : La vérité, c'est que j’essaie seulement de faire ce que j'ai à faire ! Tu voulais savoir autre chose ?
DANS LES RUES DE SMALLVILLE
Eric boit une gorgée de son café, tout en surveillant Brent et sa copine qui s'apprête à monter dans la voiture.
CHLOÉ : Apparemment Clark n'a pas encore fini ses corvées. C'est pour ça qu'il nous a lâché.
PETE : En ce moment je le trouve vraiment bizarre.
CHLOÉ : Comment ça en ce moment ? Clark est toujours bizarre.
PETE : Ce matin il est tellement fatigué, qu'il a à moitié dormit en classe.
CHLOÉ : J'ai toujours pensé qu'il ne faisait pas assez de sport.
Soudain Chloé se fait volé son sac.
PETE : Hé ! Laissez la tranquille !
CHLOÉ : Mon ordinateur !
Eric intervient très rapidement en se postant devant le voleur.
ERIC : Donne moi le sac !
LE VOLEUR : Tu ferais mieux de dégager !
Le voleur sort un couteau qu'il plante dans la main d'Eric, mais celui-ci se casse à son contact. Eric en profite alors pour récupérer le sac et projette violemment le voleur a plusieurs mètre dans la rue.
CHLOÉ : Tu as vu ça c'est dingue.
PETE : Ouais, c'est pas croyable.
Eric est félicité par toutes les personnes qui sont à ce moment là dans la rue.
CHLOÉ : Je te remercie Eric. J'ai dû mal à le croire.
ERIC : De rien c'est normal.
FERME DES KENT
Martha est dans la cuisine assise à la table le journal entre ses mains.
MARTHA : « Le tout nouveau héro de Smallville » On sait ce que sont devenu tes pouvoirs maintenant.
JONATHAN : C'est sans doute à cause de la foudre. Tu as dis qu'Eric tenait une météorite. Peut-être qu'elle lui a transféré tes pouvoirs?
CLARK : J'ai toujours gardé le secret. Ça ne valait pas le coup on dirait. Tout le monde l'adore maintenant.
JONATHAN : Dit toi bien que ça ne va pas durer.
CLARK : Je voudrais savoir, si c'est permanent ou seulement temporaire.
JONATHAN : Tu sais ce qu'on dit ? La foudre ne frappe jamais deux fois au même endroit. Soit lucide Clark. A mon avis, il est possible que tu ne retrouve jamais tes pouvoirs.
CLARK : C'est peut-être pas si terrible d'être normal, toi et maman vous vous en sortez très bien.
MARTHA : Oh, merci.
CLARK : Je suppose que cela ne change rien pour vous ?
MARTHA : Clark… tu es notre fils, que tu sois capable de soulever le tracteur ou non.
CLARK : Comment je vais faire maintenant ?
JONATHAN: Et bien...tu sais la vie n'est facile pour personne… que tu sois normal ou que tu possède des pouvoirs, tu es toujours Clark Kent. Tu as été élevé d'une certaine façon et cela ça ne changera jamais. C'est vrai que tes capacités faisaient parti de toi, mais tu vaux plus qu'elle.
MARTHA : Regarde le bon côté des choses, tu n'aura jamais plus à te cacher, tu pourrais… essayer d'en profiter. Alors pour toi c'est un soulagement.
JONATHAN : Il a toujours dit qu'il voulait être comme tout le monde. Il a ce qu'il voulait.
COULOIR DU LYCÉE
PETE : Tu aurais du voir ça. Eric la lancé à au moins dix mètre.
CHLOÉ : Non seulement je n'ai pas perdu mon ordinateur, mais en plus j'ai publié mon premier article dans le journal local.
CLARK : Génial.
CHLOÉ : C'est tout ce que tu trouves à dire. Comment tu peux être aussi blasé ?
CLARK : Eric à arrêté un voleur à la tire, ce n'est pas si extraordinaire.
ERIC : Chloé. Attend, je voulais te remercier pour avoir écrit cet article dans le journal.
CHLOÉ : Merci à toi pour mon ordinateur, c'est toute vie. Holà, c'est pas trop ridicule, ce que je viens de dire.
ERIC : Et qui à eu l'idée de m’appeler « Superboy »
CHLOÉ : Devine ?
ERIC : Toi ? C'est gentil.
CHLOÉ : C'est rien.
CLARK : C'était d'un mielleux.
CHLOÉ : Je ne t'ai rien demandé à toi.
PETE : Laisse le, il est jaloux.
CLARK : Il ne fait pas qu'il attrape le grosse tête. Il doit resté prudent.
CHLOE : A la minute au tu lanceras des gens en l'air à plus de dix mètres, je te promets que j’écrirais un article sur toi.
ERIC : (signant des autographes) Gros baiser Superboy.
LANA : Salut
PETE: Salut.
LANA : Clark, ça va ?
CLARK : Très bien.
WHITNEY : J'organise une petite partie de basket dans le gymnase. Kent et toi contre Brent et moi. Qu'est ce que vous en dites ?
PETE : Clark ne joue pas à ces truc là.
CLARK : ça marche.
WHITNEY : Super. A tout de suite.
PETE : Depuis quand tu joues ?
CLARK : Depuis maintenant.
AU GYMNASE
WHITNEY : Les premiers qui ont 15 points ont gagné.
La partie de basket est engagée, les joueurs se défoulent sur le terrain.
WHITNEY : Hé, les gars, c'était super. Si cela vous intéresse on joue tous les jeudis au déjeuner.
PETE : C'était chouette, vraiment.
UNE VOIX FÉMININE : Trop mauvais Clark.
PETE : Pourquoi tu souris ? On s'est prit une raclée.
CLARK : Oui, je sais, mais c'était génial.
A MÉTROPOLIS
Lex attend sa rencontre avec Harry Hardwick et sa fille Victoria.
VICTORIA : Lex ? Tu te souviens de mon père ?
LEX : Sir Harry. Victoria, j'attends depuis 45 minutes.
HARRY : Nous mettions fin à une transaction.
LEX : Vous avez emporté le marché du recyclage à Métropolis ?
VICTORIA : Lex ? Tu semble contrarié.
LEX : Si voilà tout le respect que vous montrez à vos associés, je vais me demander si j'ai pris la bonne décision.
HARRY : Vous voyez Lex, cela n'a plus beaucoup d'importance, puisque notre accord ne tient plus.
LEX : Vraiment ? Je croyais que le but de votre vie était de ruiner mon père.
HARRY : Pas du tout, vous confondez, c'est le but votre vie, le miens c'est de racheter vote société Luthorcorp.
LEX : Vous croyez y parvenir sans mes actions ?
HARRY : Vous connaissez Catmus Labs?
LEX : Absolument, je cherche à les avoir depuis un an.
HARRY : Hé, bien votre recherche vient de prendre fin. Il sont à moi… depuis une heure.
LEX : Et avec les profits que rapporteront leur brevets, vous rachèterez Luthorcorp. C'est ça ?
HARRY : Mes amitiés à vote père. Au revoir jeune homme. Tu viens ma chérie.
LEX : Mes félicitations. Ça en valait la peine au moins ?
SMALLVILLE CINÉMA
Lana descend l’escalier du ciné, puis regarde autour d'elle, lorsque Clark arrive.
CLARK : Tu essaie de mémoriser le moindre détail, avant qu'il ne disparaisse.
LANA : Je suis sûr que cet endroit résisterait à une attaque nucléaire.
CLARK : Tu dois avoir un faible pour le son déformé et le mauvais pop corne.
LANA : Non, c'est pas ça. Mes parents ont fait connaissance ici. Mon père était caissier à mi-temps durant ses études. Ma mère était venu voir un film qui l’ennuyait, c'était rencontre du 3éme type.
CLARK : Comment on peut s'ennuyer en regardant « rencontre du 3éme type ? »
LANA : J'en sais rien. Peut-être qu'elle ne croyait pas aux extra-terrestres. Elle est allée dans le hall, elle a passée toute la nuit à discuter avec mon père. Ils avaient passés leur scolarité ensemble, mais c'est tout juste si faisait attention l'un à l'autre, et cette nuit là… ils se sont découvert. Je sais que cela peu paraître fou de dire ça de mes parents, mais j'ai beau avoir des preuves évidente de leur existence, j'ai l'impression que… qu'il s’éloigne peu à peu de moi.
CLARK : Parfois accepter son destin, c'est la seule façon d'avancer.
LANA : Tu as raison. De toute façon on y peut rien. Comment tu savais que j'étais là ?
CLARK : C'est Nell qui me la dit. Je voulais que tu me prête les notes d'anglais parce que... j'ai dormis en classe.
LANA : Bien sûr. Tu vas bien toi, ces derniers temps ?
CLARK : Ouais bien sûr. Pourquoi ?
LANA : Non, pour rien, on dirait que tu es moins… beaucoup moins coincé. Je trouve ça chouette. Tu as l'air plus détendu, oui comme si tu n'avais le monde sur les épaules.
CLARK : Disons que me suis réveillé un matin et j'ai réalisé que ma vie avait changé. J'ai décidé d'accepter le fait que je ne pouvais pas toujours tout contrôler.
LANA : Peut-être que je devrais adopter cette philosophie, moi aussi.
CHEZ LE SUMMERS
Eric rentre chez lui,
ERIC : Maman ? Maman ! Tu as lu le journal ?
Mme SUMMERS: Les gens ont téléphonés toute la journée. C'est merveilleux chéri.
ERIC : Qu'est ce qu'il y a ?
Mme SUMMERS : Rien je t'assure.
ERIC : Tu as peur de moi ?
MR SUMMERS : Eric? On est juste un peu inquiet, en ce qui concerne la grande forme que tu as acquise. A quoi est-elle dû ?
ERIC : Je pense que c'est la foudre.
MR SUMMERS : Nous avons prit rendez vous avec le docteur Lidvac.
ERIC : Papa, je ne suis pas malade. Je suis spécial.
MR SUMMERS : Une fois que tu auras fait un bilan de santé, nous irons à Métropolis.
ERIC : Mais, mais, qu'est ce qu'on va y faire ?
MR SUMMERS : J'ai un vieux collègue qui est professeur à l'université, il aimerait beaucoup de rencontrer.
ERIC : Ah, non, tu veux dire m'étudier. Je ne suis pas le sujet d'une de tes expériences papa ! C'est toi mon problème, papa, tu ne comprends toujours toi ! Même avec cette force ça ne va toujours pas !
MR SUMMERS : Tu es peut-être spécial comme tu dis, mais tu vies sous mon toit. Tu fera ce que je te dit dirait !
Eric s’énerve et prend son père par le cou et le soulève.
ERIC : Je ne suis pas un monstre, tu entends ! Et je n'irais nul part !
MR SUMMER : Eric. Repose moi tout de suite.
ERIC : Sinon qu'est ce que tu vas faire ? Tu vas me gronder, hein ? Plus jamais je ne t'écouterais ! Plus jamais ! Je peux faire ce que je veux ! Et sortir avec qui je veux ! Et rien ni personne peut m'arrêter !
LYCÉE DE SMALLVILLE
Eric marche devant le lycée une grosse radio qui diffuse de la musique, il se dirige vers Brent et sa copine Holly, qui sont assit à une table. Il pose sa radio sur la table et parle à Holly.
ERIC : Salut ! ça te dirait une balade ?
BRENT : Mais, qu'est ce que tu es entrain de faire là, Summers?
ERIC : J'invite Holly à sortir.
BRENT : Non, mais tu veux rire, tu es suicidaire ou quoi. Tu vas pas sortir avec ma petite amie. Est ce que tu as compris ?
ERIC : Tu vas voir.
BRENT : Hé ! Tu es devenu quelqu'un uniquement parce que tes fausses approbations ont fait la une des journaux.
HOLLY : Brent !
BRENT : Sois lucide Summers, tu ne vaux rien de rien.
Les paroles prononcées par Brent énerve Eric qui casse un rétroviseur.
BRENT : D'accord , laisse tomber.
Une bagarre éclate entre les deux jeunes, Brent cours sous une voiture, qu'Eric soulève.
ERIC : C'est quoi ton problème Brent ? Si je ne vaux rien , pourquoi tu as peur ?
Brent tente de s’enfuir mais Eric le rattrape facilement. Eric jette violemment Brent sur une table en bois qui se brise. Clark s'interpose et se met face à Eric.
CLARK :Eric ! Ne fait pas ça !
ERIC : Je vais me gêner.
CLARK : Non, je parle sérieusement, Eric. Tu pourrais le tuer, je suis sûr que tu ne veux pas avoir sa mort sur la conscience. Alors calme toi.
ERIC : Tu n'es pas mon père, Clark! Alors dégage de mon chemin !
HOLLY : Je t'interdit d'approcher ! Dégage, espèce de monstre.
HÔPITAL DE SMALLVILLE
LE DOCTEUR : un peu plus haut les bras !
CLARK : ça va faire mal encore longtemps, docteur ?
LE DOCTEUR : Vous irez mieux dans un peu plus de 15 jours.
CLARK : Plus de 15 jours ?
LE DOCTEUR : Ce qui ne vous tue pas vous rend plus fort.
MARTHA : Clark.
CLARK : Vas-y mollo maman.
JONATHAN : Comment va-t-il docteur ?
LE DOCTEUR : Pas trop mal. Je pense qu'il n'a rien de cassé. Mais, on devrait faire une radio pour être certain.
JONATHAN : Non, on va simplement le remmener chez nous.
LE DOCTEUR : C'est votre choix, mais je n'ai pas envie de le revoir aux urgences.
CLARK : Merci docteur.
JONATHAN : D'accord. Aide le à s'habiller, moi je vais m'occuper des papiers.
MARTHA :Que c'est-il passé ?
CLARK : Eric, m'a fait décoller et j'ai atterri sur une voiture.
MARTHA : Pourquoi a-t-il fallut que tu essaie de l'arrêter ?
CLARK : Je ne sais pas, il a beau avoir mes pouvoirs, je me sens toujours responsable.
LEX : Clark ? Je viens juste d’apprendre la nouvelle.
MARTHA : Bonjour Lex. Bon je vais rejoindre Jonathan. A bientôt.
CLARK : Tu es venu pour t'assurer que j'étais blessé ?
LEX : Non, je voulais juste m'assurer que tu allais bien.
CLARK : C'est la grande forme. Si on allait dans le parking, pour que tu me fonce dessus.
LEX : Clark. Je te présente mes excuses pour l'autre fois. Je suis désolé. Les apparences sont trompeuse ces dernier temps.
CLARK : Alors tu ne vas plus surveiller mes faits et geste.
LEX : Je n'ai aucune raison de mettre en doute ton honnête Clark, la seule chose que je puisse faire, c'est plaider la folie passagère et espérer que tu arriveras as oublier ce que je t'ai dis.
CLARK : Ta folie est passagère ?
LEX : Tu as besoins de mon aide ?
CLARK : ça va.
CHEZ LES SUMMERS
La mère d’Eric est au téléphone.
MME SUMMERS : Merci. Oui, d'accord.
Lorsque la mère d'Eric raccroche le combiné, celle-ci sursaute en voyant son fils dans la pièce.
MME SUMMERS : Eric ? Où étais-tu ?
ERIC : Maman, il faut que tu m'aides, je me suis attiré des ennuis.
MME SUMMERS : Ton père a parlé au principal. Nous avons appris ce qu'il s'est passé.
ERIC : Non, maman. C'était un accident. Je t'en pris n'est pas peur de moi.
MR SUMMERS : Ne t'approche pas d'elle, Eric.
ERIC : Papa ? Qu'est ce que tu fais ?
MR SUMMERS : Je t'ai déjà dis qu'un jour tu aurais à répondre de des actes devant la société, et bien ce jour est arrivée.
ERIC : Qu'est ce que vous avez fait ?
MME SUMMERS : Tu as besoins d'aide, mon chéri.
ERIC : Vous avez appelé la police ? Mais t'es censé me protéger, t'es mon père.
CHEZ LES KENT
JONATHAN : Je suis passé voir les parents d'Eric ce matin.
CLARK : Comment vont-ils ?
JONATHAN: Ils sont terrifiés.
CLARK : Tu as déjà eu peur de moi ?
JONATHAN : Oh, tes… quand tu étais jeune, tu as piqué quelques colères, on avait des trous dans les murs. Non, tu étais un enfant gentil.
CLARK : Je ne crois pas qu'Eric soit méchant.
JONATHAN: Sûrement pas. C'est juste un adolescent désorienté c'est tout.
CLARK : Quand j'ai perdu mes pouvoirs, j'étais déboussolé. Mais maintenant j'en profite. J'ai pu jouer pour la première fois au basket sans avoir peur de blesser une ou deux personnes. Je peux être à côté de Lana, sans me sentir brusquement malade. Je préfère avoir des gens plutôt que des météorites, pour amis.
MARTHA : Quelque chose est arrivée chez Eric. La police n'a pas réussie à le maîtriser.
CLARK : Je dois l'arrêter.
JONATHAN : Attend une seconde, je te rappel que tu es malade. Il pourrait te tuer si tu l'affrontait de nouveau.
CLARK : Mais s'il a ma force, il a peut-être aussi mes faiblesse.
MARTHA : Tu pense aux météorites ?
CLARK : Personne d'autre ne sait comment l'arrêter. Maman c'est comme ça que je suis, que j'ai mes pouvoirs ou non.
MARTHA : Mais comment tu vas trouver une météorite ? C'est pas comme si nous on en avait à porté de main.
CLARK : Je sais ou je peux en trouver une.
A MÉTROPOLIS
Lex arrive dans les bureaux d'Harry Hardwick ou se dernier semble bien contrarié.
LEX : J'ai reçu un appel urgent. Vous vouliez me voir ?
HARRY : Comment avez vous fait ?
LEX : Fait quoi ?
HARRY : Catmus labs. Il ne vaille plus rien.
LEX : Je sais. Peut-être que vous n'auriez pas dû vous précipiter pour les acquérir. Maintenant c'est vous qui êtes en position d’être racheté.
VICTORIA : Mais j'ai lu le rapport...je te jure.
LEX : Ah, oui , ce faux document que tu es allée voler dans mon ordinateur.
HARRY : C'est vous qui avez eu l'idée de falsifier.
LEX : Voilà ce que l'on gagne à faire confiance à ses enfants. Mon père et moi nous proposerons de racheter votre compagnie demain matin. Je lui transmets vos amitiés.
VICTORIA : Quelle raison tu avais de me trahir.
LEX : Tu t'es trahis toute seule Victoria, tu as cru que tu pouvais détruire mon père en me détruisant moi.
VICTORIA : Tu connais le monde des affaires.
LEX : Alors tu as couché avec moi que pour faire des affaires? Tu as conscience de ce que tu es devenue ?
VICTORIA : Nous aurions pu aller très loin tout les deux.
LEX : Je suis tout à fait capable d'aller extrêmement loin tout seul. Tu ferais mieux allez voir ton père, ça n'a pas l'air d'aller.
CINÉMA SMALLVILLE
Lana est dans le cinéma et range des posters, lorsque Clark arrive.
CLARK : Je passais en voiture… j'ai vu de la lumière ... je pensais que ça pouvait être toi.
LANA : Est ce que ça va ? J'ai téléphoné chez toi tout à l'heure, ta mère à dit que tu dormais. J'ai eus peur Clark.
CLARK : Je suis désolé.
LANA : D’où lui vient cette force extraordinaire?
CLARK : Je n'en ai aucune idée.
LANA : Tu t'imagine, te lever un matin en ayant ces pouvoirs.
CLARK : C'est terrifiant. Enfin j'imagine. Regarde Eric ça ne l'a pas beaucoup aidé.
LANA : Tu as raison. Moi j'ai toujours rêvé de voler
CLARK : ça doit -être sûrement merveilleux.
LANA : Qu'est ce que tu regarde ?
CLARK : C'est ton collier. J'avais jamais réalisé à quel point il est joli. Je sais que ça va te paraître étrange, mais tu peux me le prêter ?
LANA : Bien sûr. Qu'est ce que tu veux en faire ?
CLARK : C'est compliqué. Quoi qu'il m'arrive, je te promets que tu le retrouvera.
LANA : Qu'est ce qu'il va se passé Clark ? Tu me fait peur, tu sais.
CLARK : A bientôt Lana.
Clark quitte le cinéma.
DEMEURE DES SUMMERS
Clark arrive devant la demeure de la famille Summers, c'est un désastre, la police est sur place et discute avec les parents d'Eric.
MR SUMMERS : (Discutant avec le sheriff) On ne sait pas ce qu'il lui à prit.
UN POLICIER : N'approchez pas, la maison risque de s'écrouler.
LE SHERIFF: ( Discutant avec les parents d'Eric) Vous êtes conscient que votre fils est dangereux et qu'il faut le neutraliser.
MR SUMMERS : (Discutant avec le sheriff) Je ne comprends pas ce qu'il lui arrive.
UN VOISIN : Vous vous rendez compte des dégâts.
UN AUTRE VOISIN : Il n'y a qu'une tornade qui peut faire ça.
MR SUMMERS : Qu'est ce que vous faites là ?
CLARK : Je m’inquiétais pour Eric.
MR SUMMERS : ça regarde la police à présent, on ne peut plus le contrôler. Regardez ce qu'il a fait à la maison.
CLARK : Vous avez une idée de l'endroit où il est ?
MR SUMMERS : Eric a parlé de...de s'en débarrasser, je crois. Il a dit qu'il ne pouvait s'en débarrasser qu'a un seul endroit, quel qu'en soit les conséquences.
AU BARRAGE
Clark arrive au barrage en courant, essouflé. Eric est perché sur la balustrade.
CLARK : Eric ! Eric ! Non Eric !
Eric se jette dans le barrage.
CLARK : Eric !
ERIC : Tu aurais dû me laisser faire la première fois! Cela aurait mieux valut que de vivre comme ça.
CLARK : Eric ? Pourquoi as tu sauté de ce barrage ?
ERIC : Je me mettais à l'épreuve pour voir si j'avais des limites. Apparemment j'en ai pas.
CLARK : Écoute, tu dois te laisser du temps pour arrivé à contrôler ces pouvoirs énormes.
ERIC : Qu'est ce que tu en sais Clark ?
CLARK : Tout ce que je peux te dire, c'est que tu dois d'accorder du temps.
ERIC : Alors le temps va tout arranger. C'est ça ? Mes parents n'aurons plus peur de moi. La fille de mes rêves, ne pensera plus à moi comme à un monstre. Je ne sera plus rechercher par la police.
CLARK : Accepte mon aide.
ERIC : Je n'en veux pas de ton aide !
Eric prend Clark par son blouson et le jette violemment dans une clôture.
ERIC : S'ils veulent me traiter comme un criminel ! Je vais agir comme un criminel.
CLARK : Ce n'est pas la solution.
ERIC : Arrête Clark. Qu'est ce que tu ferais si tu pouvais faire ce que tu voulais ?
CLARK : Je me mettrais en travers de ton chemin.
ERIC : Il n'y a rien, ni personne qui puisse m'arrêter.
Eric projet une nouvelle fois Clark sur une borne de haute tension.
CLARK : Tu as tord !
ERIC : Très bien, on va voir ça.
Eric débranche une ligne à haut tension, Clark qui à le collier de Lana dans sa main, retient le bras d'Eric, la fusion de l'électricité et du collier, transfère les pouvoirs d'Eric vers Clark. Clark qui récupère ses pouvoirs, remet le collier de Lana dans sa boite.
CLARK : Eric ?
ERIC : J'ai froid. J'ai tellement froid.
Eric est emmené dans une ambulance.
CLARK : Je me demande ce qu'ils vont devenir, maintenant.
JONATHAN : Je ne sais pas. Hé, ils avaient des problèmes bien avant qu'Eric ai tes pouvoirs. Comment tu te sens ?
CLARK : Bof, je suis à nouveau normal.
JONATHAN : Clark, tes dons font, font parti de toi, mais tu vaux mieux qu'eux.
CLARK : Ouais, je suis tout à fait conscient. Mais il complique beaucoup trop notre vie à tous.
JONATHAN : Quand je pense à ce qu'ils ont fait, d'Eric, ça me rappel à quel point tu es spéciale Clark.
CLARK : C'est parce qu'Eric n'a pas ceux qui ont le plus de valeur. Maman et toi.
JONATHAN : Rentrons.
MANOIR DE LEX
LEX :(au téléphone avec don père) Salut papa, les affaires marches ?
LIONEL : Demain le Daily Planète annoncera que nous avons rachetés la compagnie de Sir Harry.
LEX : J'ai mérité une mention ?
LIONEL : Oui. Le troisième paragraphe. C'est ce que tu as gagné en faisant confiance à ta famille. Je suis fière de toi.
LEX : Merci papa. C'est beaucoup venant de quelqu'un comme toi.
Roger entre dans la pièce.
LEX : Vos sois disant experts a propos de Clark Kent. J'ai constaté moi même qu'il n'était pas différent.
ROGER : Mais c'est impossible. Vous avez peut-être une explication ?
LEX : Non, aucune. Mais je pense qu'il vaut mieux oublier cette histoire de pouvoir.
ROGER : Je vous dis qu'il y a quelque chose.
LEX : Je m'en moque ! On laisse cette famille en paix. C'est comprit ! Vous avez ce que je vous ai demandé ? Ces photos sont excellentes. Qui a organisé cette rencontre ?
ROGER :A votre avis ?
LEX : Victoria ?
ROGER : Votre père.
CINÉMA DE SMALLVILLE
Lana est sur le point de fermé le cinéma, lorsqu'elle rencontre Clark, qui est venu pour lui rendre son collier.
LANA : Ah, c'est toi. Tu es arrivée à temps, j'allais fermer.
CLARK : Ton collier, je te l'ai ramené.
LANA : Elle est très jolie. Où est ce que tu l'as eus ?
CLARK : C'est un cadeau, son métal est vraiment très résistant. J'aurais voulu te l'offrir. Elle protégera tes souvenirs.
Lana prend le petit coffret qu'elle ouvre, Clark recule, puis elle le referme.
LANA : C'est ta façon de me dire de ne plus porter mon collier.
CLARK : Il te rend prisonnière du passé.
LANA : C'est parfois aller de l'avant, que d'accepter son destin.
DANS LA RUE
LANA : ça va ? Tu as de nouveau l'air de porter le monde sur tes épaules.
CLARK : En quelque sorte. Je peux de raccompagner ?
LANA : J'ai rendez-vous avec Whitney à la boutique.
CLARK : Ah.
LANA : Une autre fois ?
CLARK : Une autre fois. Au revoir Lana.
LANA : Au revoir.
FIN