SMALLVILLE
SCRIPT VF
SAISON 1 ÉPISODE 11
«UNE POIGNE DE FER »
A Métropolis dans un bureau d'un immeuble, un homme regarde par la fenêtre, lorsqu'un autre homme Bob Rickman entre dans le bureau.
RICKMAN : Vous avez une vue d'enfer.
PAUL : Bonjour monsieur Rickman. Merci d'être venue.
RICKMAN : Alors que puis-je faire pour le centre de protection de l’environnement.
PAUL: J'ai entendu dire que vous faisiez des relevés dans la région de de Smallville et je voulais savoir quelle sont vos attentions.
RICKMAN : Construire une usine évidemment. C'est quoi ?
PAUL : L'eau dans la dernière ville dans laquelle vous, vous êtes implanté.
RICKMAN : J'ai du mal à croire à une chose pareil. Rickman industrie a toujours eu d'excellente relation avec le CEP. Paul, je peux vous appeler Paul.
PAUL : Non. Demain j'aurais une ordonnance du tribunal qui vous empêchera de vous installé à Smallville, jusqu’à ce que les procès en cours contre vous soit terminé.
RICKMAN : C'est dommage. J'aurais aimé m'installer à Smallville. Cette ville tient une place particulière dans mon cœur. Rien ne pourra vous faire changer d'avis, j'imagine.
PAUL : Vous ne pourrez jamais réussir à m'acheter comme mes collègues.
RICKMAN : Je n'ai jamais acheté personne, je peux vous l'assurer. Les gens m'écoutent parce qu'ils savent que j'ai raison. Quand ils le font, ils en tirent bénéfice.
PAUL : Pas en ce qui concerne les 93 affaires d'empoisonnement par chlorure de vinyle lier à vos usines de pesticides.
RICKMAN : Très bien. Je vois qu'il n'y a rien n'a faire. En tout cas j'apprécie votre sincérité. Alors bonne chance. Écoutez Paul. Je vous appel Paul, d'accord ?
PAUL : Oui, d'accord.
RICKMAN : Il me semble que vous êtes un homme passionné, Paul. La passion ça fait souffrir. La plupart des gens n'ont aucune idée de ce que vous faites pour la bonne cause, et je paris que vous avez peur. Vous mettez tant de passion dans un job qui n'intéresse personne. Non ?
PAUL : Oui.
RICKMAN : Oui. Regardez le monde qui nous entours. Vous sentez vous en accord avec ce que vous voyez ? Non. Cette souffrance que vous ressentez, il n'y a qu'un moyen d'y mettre fin.
Rickman quitte le bureau, prend l’ascenseur.
RICKMAN : Vous descendez ? (S'adressant à une femme)
Lorsque l’ascenseur atteint le rez de chaussez, il tient la porte à la femme.
LA FEMME : Merci.
Rickman compose un numéro de téléphone, mais avant que la personne ne décroche, Paul c'est jeté par la fenêtre et a atterrit sur un taxi qui était stationné devant le hall d'entrée.
RICKMAN : Venez avec la voiture. Nous allons à Smallville.
GÉNÉRIQUE SMALLVILLE
Chloé, Lana et Clark, font une balade à cheval en foret.
CHLOÉ : Doucement, bien sage. Oh là, oh là. Oh, c'est pas vrai. Je trouvais ça difficile d'apprendre à conduire la voiture de mon père, mais au moins quand on accélère on avance.
CLARK : Tu t'en sort bien pour une première fois. Comment va Whitney ?
LANA : Son père est toujours à l'hôpital, donc il est obligé de travailler souvent au magasin.
CLARK : C'est dur de travailler en famille.
LANA : Au font il rêve que son père vende son affaire. Il ne veut pas la reprendre à la fin de ses études.
CLARK : Ça je peux le comprendre, je ne veux pas être paysan, en tout cas ça c'est évident.
LANA : Qu'est ce que tu veux faire ?
CLARK : Je ne sais pas encore. Un métier où je n'aurais pas de costume à mettre et pas d'avion à prendre.
CHLOÉ : J'ai fait tomber ma caméra.
CLARK : Pourquoi tu as prit cette caméra, Chloé ?
CHLOÉ : Je ne suis pas venue faire du tape cul avec vous pour le plaisir. C'est le triangle des Bermudes de la région, cette foret. Non mais sans blague. Les gens viennent se promener ici et ils ne se souviennent plus de ce qu'ils ont fait. Il y a eut des dizaines d'incidents depuis dix ans.
LANA : Je vais chercher ta caméra.
CHLOÉ : Merci.
CLARK : Ces histoires remontent au moins à la guerre civile.
CHLOÉ : Non, je m'intéresse à ce qu'il c'est passé la semaine dernière. Des géomètres de Rickman industrie sont sorti de cette foret en hurlant. Ils ne souvenaient pas de ce qu'il s'était passé.
CLARK : Je pari que tu as ta propre théorie.
CHLOÉ : Kyle Tippet.
CLARK : Celui qui vend des sculptures bizarres en ville ?
CHLOÉ : Oui. Tu ne trouve pas étrange qu'il vive tout seul, loin de tout dans la foret.
CLARK : Thoreau l'a fait.
CHLOÉ : Oui, et aussi ce cinglé de bombe humaine.
Soudain Lana hurle.
CLARK : Lana. Reste là avec les chevaux.
CHLOÉ : Oh, oh, bien sage. C'est bien, c'est bien.
Clark court en super vitesse pour rejoindre Lana. Celle-ci est allongé sur le sol et un homme la secoue légèrement pour la réveiller. Clark arrive.
CLARK : Laissez là tranquille !
L'homme sen fuit.
CLARK : Ça va Lana?
LANA : Oui, je crois que ça va.
CHEZ LES KENT
Clark ramasse la caméra qui elle était en fonction. En rentrant chez lui, son père et lui visionne les images enregistrées par la caméra de Chloé.
JONATHAN : Qu'est ce qu'il s'est passé à ton avis ?
CLARK : Je sais pas, mais j'ai pas eu l'impression qu'il voulait lui faire du mal, en tout cas.
MARTHA : (Au téléphone) D'accord Nell. Merci. Oui. Au revoir.
CLARK : Comment va Lana ?
MARTHA : Elle est un peu secoué, autrement ça va.
JONATHAN : Et Nell ?
MARTHA : Ça c'est une autre histoire. Elle veut que Clark aille à la police et dise qui l'a vu Kyle faire peur au cheval de Lana et qu'il a agressée.
CLARK : C'est pas ce que j'ai vu.
MARTHA : D'après le tour de Nell, on en a pas finie avec cette affaire.
JONATHAN : Est ce que Kyle, t'a semblé être quelqu'un de dangereux ?
CLARK : Il semblait plutôt effrayé. Chloé m'a dit que quelqu'un a fait peur à des géomètres la semaine dernière dans la foret. Aujourd'hui, c'était à nous. Est ce qu'il y aurait un lien ?
MARTHA : Jonathan tu devrais aller voir Kyle pour éclaircir tout ça.
JONATHAN : Oui.
CLARK : Non, je vais y aller.
JONATHAN : Je ne pense pas que ce soit une bonne idée.
CLARK : Je ne risque rien, moi.
JONATHAN : Clark, il ne s'agit pas de ça.
CLARK : Papa. Je sais ce que c'est d'être en marge, du reste du monde. Fais moi confiance.
JONATHAN : D'accord. Est ce que tu sais où vie Kyle.
CLARK : Je suivrais le sentier où il y a ses sculptures.
SMALLVILLE
Réception, Victoria regarde une affiche lorsque Bob Rickman arrive auprès d'elle.
RICKMAN : Mademoiselle Hardwick, je m'étonne de vous voir à Smallville.
VICTORIA : Plus on y vient plus et on l'apprécie.
LEX : Ne l'encourage surtout pas Victoria. Le faite est, que je me demandais, si cette ville avait besoins de plus de pesticide dans l'eau de sa nappe phréatique.
RICKMAN : Oh, ça ne vous ennuie pas j'espère de partager votre terrain de jeu avec quelqu'un d'autre.
LEX : Si lorsque ça pollue. Bonjour Bob.
RICKMAN : Bonjour Lex.
VICTORIA : Je préféré vous laisser discuté entre homme.
LEX : Les photos sont un petit peu voyantes, mais vous avez bien tiré parti de cet endroit.
RICKMAN : Tout ça est provisoire. Tenez voilà un badge.
LEX : Si vous en faites circulé assez peut-être qu'ils ne verront pas que vous rendez la ville inhabitable.
RICKMAN : Je fait comme vous Lex. Le gouvernement définie un niveau de pollution et je m'y tient. Vous avez des objections ?
LEX : Disons que j'ai des intérêts. Je vis à Smallville maintenant.
RICKMAN : Oh, c'est vrai , oui. Lionel à dû mentionné qu'il vous avait exilé ici. J'ai dîner avec lui il y a peu de temps.
LEX : Ah, ouais. Comment ça se fait ? Quelqu'un de plus important c'était désisté ?
RICKMAN : Ne craignez rien, je ne vais empiéter sur le terrain des Luthor. J'ai un lieu parfait pour mon projet. C'est un peu à l’écart, assez prêt de la rivière.
LEX : La ferme des Kent ? Et vous les avez déjà contacté ?
RICKMAN : Ce n'est qu'une formalité.
LEX: C'est fou comme les autorisations et les permissions sont toujours des formalités pour vous Bob. Je connais les Kent. Même vous, vous ne leur ferez pas vendre leur ferme.
RICKMAN : Je pourrais vous étonner.
LEX : Croyez moi Bob, vous n'avez pas tant de charme que ça.
CARAVANE DE KYLE
CARAVANE DE KYLE
Clark arrive chez Kyle et frappe à la porte de sa caravane.
KYLE : C'est une propriété privé.
CLARK : Comment vous avez fait ?
KYLE : Mystère. On a dû vous parler de Kyle le cinglé, qui vit seul au font de la forêt. C'est un curieux mélange entre big foot et le projet Blaire Wicht.
CLARK : Je suis …
KYLE : Clark Kent, le fils de Martha et Jonathan.
CLARK : Comment vous le savez ?
KYLE : Je vis dans une caravane pas dans une grotte.
CLARK : Je voulais vous parler de ce qui s'est passé cette après midi.
KYLE : Avec cette fille ? Son cheval l'a désarçonné, je suis allé voir si elle avait rien.
CLARK : Donc vous n'avez pas l'habitude d'effrayer les gens dans la foret et de faire peur à leur chevaux ?
KYLE : Si je voulais m'expliquer à tout bout de champ, je travaillerais dans une boite. J'ai mes raisons, pour m'être retirer du monde. Au revoir !
CLARK : Pourquoi êtes vous si hostile ?
KYLE : Parce que je n'ai pas envie d'avoir des amis.
CLARK : On a tous besoins d'amis.
KYLE : Bien sûr que non. Parce qu'ils finissent tous par vous trahir un jour.
AU BEANERY
CLARK : Comment ça va ?
LANA : Mieux je te remercie. Nell dit que tu vas aller voir la police.
CLARK : Je suis aller discuter avec Kyle.
WHITNEY : Tu es aller discuté avec ce cinglé ?
CLARK : Ouais. Il a dit qu'il voulait seulement voir si tu n'avais rien.
LANA : Et tu pense que c'est vrai ?
CLARK : Oui, je crois.
WHITNEY : Moi, si j'avais été là, j'aurais fait quelque chose.
CLARK : Tu ne te souvient de rien ?
LANA : Non, rien du tout.
CLARK : Il faut que je rentre, mais je suis content que tu ailles bien.
LEX : Ben, ça avait pas l'air facile.
CLARK : Non.
LEX : Dis moi, est ce que Bob Rickman est passé à la ferme ?
CLARK : Pourquoi, il s'intéresserait à nous?
LEX : Il s'intéresse surtout à vos terres.
CLARK : Tu connais mon père, hein. Pourquoi tu t'inquiète ?
LEX : J'ai déjà vu Rickman convaincre des gens de vendre tout ce qu'il avait. C'est un être nuisible. Il s'introduit partout, et trahie tout ceux qui lui font confiance. Dit à ton père de se méfié de lui.
CLARK : D'accord.
SMALLVILLE SALLE DE RÉCEPTION
RICKMAN : Salut Kyle. Je me demandais quand est ce que tu viendrais ?
KYLE : Je croyais qu'on avait fait un pacte. Tu faisais ce que tu voulais dans le monde entier, mais cette ville tu l'as laissait tranquille !
RICKMAN : On a fait ce pacte il y a déjà un sacré bout de temps. Le monde change Kyle.
KYLE : C'est peut-être le moment que le monde sache toute la vérité sur le Bob Rickman.
RICKMAN : A mon avis, le monde croira ce que je voudrais. J'ai passer ses 9 dernières années à peaufiner mes dons, pendant que tu te cachais dans la foret parce que tu avait peur.
KYLE: Tu n'as qu'a prendre ma main et tu verras si j'ai peur. Je t'aurais prévenue.
AU BEANERY
Whitney sort du café Beanery et voit sur le trottoir d'en face Clark discuter avec Kyle.
CLARK : Kyle. Qu'est ce que vous faites là ?
KYLE : Je suis venue, disons déposer plainte.
CLARK : Vous reprochez quoi à Rickman ?
KYLE : Les gens s'occupaient de leur propre affaire autrefois…
WHITNEY : Hé ! Tipet.
KYLE : Oui, c'est quoi votre problème ?
WHITNEY : C'est vous. Si vous touchez encore à Lana, vous aurez à faire à moi.
CLARK : Whitney ! Arrêt !
WHITNEY : Je vous préviens, je vous ai à l’œil.
KYLE : C'est pour ça que je ne vient pas en ville.
CLARK : Je vous reconduit chez vous ?
KYLE : Pourquoi, vous êtes si gentil avec moi ?
CLARK : Je ne crois pas que soyez si mauvais que ça. Vous êtes un peu misanthrope.
KYLE : Qu'est ce qui vous fait croire ça ?
CLARK : Je vous ramène, d'accord ?
KYLE : Oui, mais je dois passer à l'épicerie
CLARK : Pas de problème.
RICKMAN: Excusez moi ! Je suis désolé, j'ai surpris votre conversation. Vous avez des ennuies avec Kyle Tipet ?
WHITNEY : Ouais, il a agressé ma copine.
RICKMAN : Bob Rickman. Je peux peut-être vous aider.
CARAVANE DE KYLE
Clark ramène Kyle chez lui.
KYLE : Merci de m'avoir ramené. C'est sympa.
CLARK : Ne soyez pas si bavard la prochaine fois. Dites. Pourquoi étiez vous chez Rickman ?
KYLE : Et vous, vous y étiez pourquoi ?
CLARK : J'ai entendue dire qu'il voulait acheter notre ferme.
KYLE : Méfiez vous de ce type.
CLARK : Est ce que ça vous manque de mener une vie normale ?
KYLE : Certaines personne ne sont pas faites pour une vie normale. Merci. Bonne nuit.
Clark repart et Kyle est sur le point d'ouvrir la porte de sa caravane lorsqu'il voit sur la vitre Whitney, prêt à l'attaquer avec une batte de base ball. Kyle se retourne et Whitney l'agresse avec sa batte. Clark est sur la route du retour, quand il croise la voiture de Whitney garé sur le côté. Il s’arrête et descend de la voiture pour rejoindre Kyle.
CLARK : Whitney.
Whitney est toujours entrain d'attaquer Kyle, ce dernier reçois un coup dans le ventre. Kyle réplique en assignant un coup à Whitney. Kyle prend en se relevant, la batte de Whitney et se défend, pendant que Whitney attrape un morceau de bois enflammé, avec lequel il essai de l'atteindre, mais Kyle donne un coup de pied dans le ventre de Whitney, ce dernier se pli en deux, Kyle en profite pour lui porter un autre coup, mais Clark arrive avant que celui ci atteigne Whitney. Au contacte de Clark la batte se brise. Clark jette violemment Kyle contre sa caravane. La police emmène Kyle.
JONATHAN : Ils ont arrêté Kyle pour agression. Bon. Qu'est ce qui s'est passé ?
WHITNEY : J'ai vu Kyle en ville. Clark ne m'a pas laissé lui parler. Donc je suis venue le voir.
JONATHAN : Et tu as roulé jusqu'ici en pleine nuit ?
WHITNEY : Ouais, je voulais lui dire, de ne plus agresser Lana. Quand je suis arrivée il m'a attaqué par derrière.
JONATHAN : C'est ce qu'il c'est passé ?
CLARK : Je n'ai pas vu Kyle attaquer Whitney, mais…
JONATHAN : Mais quoi ?
CLARK : Kyle dit que c'est Whitney qui l'a agressé.
WHITNEY : C'est dingue, pourquoi j'aurais fait ça ?
CLARK : J'en sais rien. Ça n'a pas de sens cette histoire.
WHITNEY : Bien sûr que si ! D'abord il agresse Lana, ensuite il s'en prend à moi ! Ce type est dangereux ! Il faut l'enfermer !
JONATHAN : Whitney, on a tous eu une nuit difficile. A présent il faut te calmer. D’accord ?
WHITNEY : Tu l'as vu de tes propres yeux toi aussi ! Cet enfoiré à essayé de me tuer! Et maintenant tu dis que c'est de ma faute !
LYCÉE DE SMALLVILLE
LA TORCH
CHLOÉ : Tipet n'a pas interrompu sa vie d’ermite depuis des années, et d'un seul coup c'est l'homme le plus recherché de la ville.
PETE : Quelque chose, l'a peut-être fait craqué.
CLARK : Je crois que c'est Bob Rickman.
CHLOÉ : D'accord, mais qu'est ce que notre Rodin local à contre ce Rickman ? A part le faites qu'il va pollué l'environnement. Hein ?
CLARK : Ça je n'en sais rien du tout. Est ce que tu pourrais chercher, si il y a un lien entre eux ?
CHLOÉ: Ouais je peux le faire. Cette histoire à l'aire intéressante. L'ermite qui aime les arbres, contre le magna des pesticides.
PETE : Qu'est ce qu'ils ont en commun ?
CHLOÉ : En tout cas, c'est pas la façon dont ils s'habillent.
Lana arrive.
CLARK : Lana ? Qu'est ce qu'il y a ?
LANA : Vous nous laissez seul une minute.
CHLOÉ : Oui.
LANA : Whitney, dit que tu l'accuses, d'avoir attaqué Kyle.
CLARK : J'ai accusez personne. Mais j'ai soulevé des questions.
LANA : Quelles questions ?
CLARK : Qu'est ce qu'il faisait là ?
LANA : Il voulait essayer de discuter avec Tipet. Tu sais bien que Whitney à toujours tendance à faire du zèle. Mais c'est un garçon qui à bon cœur.
CLARK : Oui, mais je ne crois pas que Kyle ferait du mal à quelqu'un. Il n'a pas l'air violent.
LANA : Mais, tu as réussi à comprendre tout ça, en deux jours. Il vit dans la foret, tout seul depuis plus de 10 ans.
CLARK : Bon, il est bizarre, pas dangereux.
LANA : Whitney, n'aurait jamais, agressé quelqu' un.
CLARK : Pourtant il m'a bien mit en croix.
LANA : C'est de ça qu'il s'agit, bien sûr. Tu ne lui pardonnera jamais.
CLARK : Je crois qu'il y a quelque chose d'autre, là dessous.
LANA : Ouais, tu as raison. Tu cherche le moyens de dévaloriser Whitney. Tu sais pourtant les problèmes qu'il a en ce moment, avec son père. Et si tu ne l'aime pas, tu n'as qu'a le dire. Ne te fait pas passé pour son ami.
CHEZ LE KENT
Jonathan travail dans l'étable, quand Rickman arrive pour discuter avec lui.
JONATHAN : Dans une étable, on ne porte pas ce genre de chaussure.
RICKMAN : Je ne les aimes pas de toutes façon. Bob Rickman, Rickman industrie.
JONATHAN : Je sais qui vous êtes.
RICKMAN : Bon, donc vous savez pourquoi je viens.
JONATHAN : Oui, on dit que vous, vous intéressez à notre ferme, et votre réputation, fait de vous une personne très persuasive. Mais je tiens à vous prévenir, il n'y a vraiment aucune chance que je me décide à vendre. Spécialement à Rickman industrie.
RICKMAN : Vous êtes contre le progrès, monsieur Kent ?
JONATHAN : Non, seulement septique sur les gens qui veulent résoudre mes problèmes avec de l'argent.
RICKMAN : Et pourquoi ?
JONATHAN : Parce que si c'était l'argent qui m'intéressait, je ne serais pas paysan. Excusez moi, mais j'ai encore beaucoup de travail.
En partant, Rickman simule une blessure.
JONATHAN : Vous, vous êtes fait mal ?
RICKMAN : Je crois que je me suis tordue la cheville. Vous aviez raison, pour ces chaussures.
JONATHAN : Ouais.
RICKMAN : Est ce que vous pouvez m'aider ?
Jonathan prend alors la main de Rickman pour l'aider et celui-ci profite de son pouvoir, pour lui faire signé la vente de la ferme.
RICKMAN : Êtes vous toujours sûr que rien ne vous fera changer d'avis.
Dans la cuisine des Kent, Martha est sous le choc de cette vente.
MARTHA : Comment as-tu pu faire ça sans en discuté avec moi. C'est toi, qui disait que cette terre était notre héritage.
CLARK : Qu'est ce qu'il vous arrive ?
MARTHA : Ton père, vient de vendre la ferme à Bob Rickman.
CLARK : Quoi ?
MARTHA : Et oui.
CLARK : Qu'est ce qui t'a prit ?
JONATHAN : Je n'en sais rien. D'abord je l'ai prévenue qu'il n'avait aucune chance et ensuite je me suis trouvé avec ce contrat dans les mains.
CLARK : J'ai téléphoné à l'avocat, il a dit qu'il ne pouvait rien faire, sans avoir vu le contrat et que la court ne croirais jamais que le diable ait avoir quelque chose la dedans.
JONATHAN : J'arrive pas à croire que j'ai signé ça !
CLARK : Qu'est ce que Rickman à fait ?
JONATHAN : Rien, il a expliqué ce qu'il voulait et il m'a serré la main, c'est tout.
CLARK : Ça ne peut pas être aussi facile
JONATHAN :Alors comment tu explique que ma signature soit sur ce contrat ?
LEX : Je vais demander de l'aide à un ami.
JONATHAN : Non, je ne veux devoir quoi que ce soit à Lex Luthor.
MARTHA : Et si tu devais quelque chose, tu le rendrais comment maintenant ?
AU BEANERY
Lana et Whitney discute, lorsque Clark passe devant eux avec deux tasses de café.
LANA : A quelle heure tu vas au magasin aujourd'hui ?
Clark rejoint Lex à une table.
LEX : C'est dur ça. Qu'est ce qu'il s'est passé ?
CLARK : J'ai refusé de changer d'opinion sur Kyle Tipet, et on s'est brouillé avec Lana.
LEX : Tu es un Atticus. Atticus finch, dans alouette je te plumerais.
CLARK : J'ai pas lu ce livre.
LEX : Tu devrais. Vous avez des tas de choses en commun. Des héros d'une petite ville, qui croit en la vérité, qui refuse de revenir sur leur position.
CLARK : Comment ça fini ?
LEX : Ce n'est pas la fin qui compte, mais le voyage.
CLARK : Ce qui est le plus dur, c'est que je sais que j'ai raison. Si j'arrivais à leur faire comprendre.
LEX: Ça mon vieux c'est la clé du succès. Il ne suffit pas d'avoir raison, mais d'en convaincre les autres. Si tu y arrive, le monde est à toi.
CLARK : Je voudrais juste récupérer notre ferme, pour l'instant.
LEX : La bonne nouvelle, c'est qu'il l’achète trois fois plus cher que sa valeur. La mauvaise c'est qu'il a bétonné le contrat. Ça veut qu'il vous faut une douzaine d'avocats. Par chance j'en ai largement assez.
CLARK : Pour une fois je crois que mes parents seront content que tu puisses les aider.
LEX : J'adorerais savoir comment Rickman a convaincu ton père. Il est endetté bien sûr, mais il va tout bétonné, ça va devenir un terrain vague. Il aurait mieux fait d'accepter mon offre.
CLARK : Je sais que mon père n'aurait jamais vendu la ferme.
LEX : Oui, mais il l'a fait ! Rickman est connu pour sa façon de contourner les défense des gens, il sait conclure de bonne affaire. Sauf si c'est pas seulement une question de talent. Où tu vas ?
CLARK : A la prison.
BUREAU DE RICKMAN SMALLVILLE
Rickman fait venir un officier de police.
OFFICIER DE POLICE : Vous avez des problèmes, monsieur Rickman.
RICKMAN : Oui, c'est gentil d'être passé si vite.
OFFICIER DE POLICE : C'est normal.
RICKMAN:(En serrant la main du policier) Je voudrais vous confier à un vieil ami.
CELLULE DE KYLE TIPET
UN GARDIEN : Debout là dedans, il y a de la visite pour toi.
Le gardien ouvre la porte de la prison, Tipet sort et en profite pour saisir la main du policier afin que celui-ci lui donne ses habits. Tipet est sortie de sa cellule habillé en policier, il longe les voitures garé dans la rue, lorsque Clark l'appel.
CLARK : Kyle !
Un policier qui se trouvait derrière Clark tire sur Kyle
CLARK : Non !
Clark cours pour écarter Kyle de la balle, mais il arrive trop tard, Kyle est touché et le policier continue de tirer.
AU MANOIR
Clark emmène Kyle chez Lex, afin qu'il se fasse soigner.
LEX : C'est grave ?
LE DOCTEUR : C'est pas pire que quand ce crétin d'Azir avait sniffé à en crevé dans le Queensland.
CLARK : C'est un vrai médecin ?
LEX : S'en était un. Les gens font appel à lui dans les cas particulier. Il soigne des acteurs, des stars de la chanson et des fils de millionnaire.
CLARK : Tu l'as connue où ?
LEX : C'est une longue histoire.
LE DOCTEUR : Pour boire un coup, qu'est ce qu'il faut que je fasse ?
LEX : Fini de la recoudre. Ne craint rien, Tobby apprécie la discrétion et personne ne saura que Kyle est venu.
CLARK : Merci.
LEX : Dis moi une chose. Qu'est ce qui t'a fait croire que je pourrais abriter un évadé ?
CLARK : Je savais que mes parents s'affoleraient et que si je l’amenais à l'hôpital il le remettrait en taule. Tu es le seul en qui j'avais confiance.
LE DOCTEUR : Finalement, c'était plus facile que le coup de couteau que vous avez reçue. Au Club zéro, vous vous en souvenez hein ? Il y avait plein de sang dans ma bagnole.
LEX : On peut parler avec lui, maintenant ?
LE DOCTEUR : Je lui ai donné des calments. Il ne se réveillera pas avant demain matin. Mon tarif habituel.
LEX : Le paquet brun sur mon secrétaire. Salut Tobby.
LE DOCTEUR : Salut Lex.
LEX : Rentre maintenant, il est tard, Hé Atticus ? Tu pourrais aussi te changer.
AU LOFT
Lana est assise et attend Clark. Lorsque ce dernier arrive il est étonne de la voir là.
LANA : Salut Clark.
CLARK : Je ne m'attendais vraiment pas à te voir ici.
LANA : Je sais que Kyle Tipet c'est échappé et j'étais un peu inquiète.
CLARK : Il n'y a pas de quoi, il ne s'en prendra plus à personne.
LANA : Qu'est ce qui te faire dire ça ?
CLARK : Je le sais c'est tout.
LANA : Ahh, je ne voulais pas te déranger.
CLARK : Si tu étais inquiète pourquoi tu n'as pas téléphoné, au lieu de venir ici ?
LANA : J'en sais rien, en fait. J’espérais que tu aurais peut-être changé d'avis.
CLARK : Si tu voulais que je te fasse des excuses et ben c'est raté.
LANA : Clark. Il s'est échappé de la prison ! Tu devrais admettre que ça se présente mal.
CLARK : Tu ne sais pas tout de cette histoire.
LANA : Alors dis moi, dis moi ce qu'il c'est passé.
CLARK : C'est pas encore très clair. Mais tu as une opinion toute fait sur Kyle, ça n'y changerait rien.
LANA : J'étais venue clarifier les choses, en espérant sauver notre amitié. Maintenant je vois que ça ne valait pas le coup.
AU BEANERY
Lex se fait servir un cappuccino au bar, lorsque Rickman se présente derrière lui.
RICKMAN : (en présentant sa main pour lui serrer, mais Lex refuse) Salut Lex. Oh, voyons Lex. Je trouve votre attitude plus que puéril.
LEX : C'est pas ça. Je ne vous aime pas, c'est tout !
RICKMAN : Mon avocat, m'a indiqué que l'achat de la ferme des Kent était contesté.
LEX : Je vous avait dit que ce serai difficile avec eux.
RICKMAN : Je sais reconnaître un avocat de votre famille quand j'en vois un. Pourquoi, vous êtes vous impliqué ?
LEX : J'habite à Smallville et je suis ami avec les Kent.
RICKMAN : Les Kent ont beaucoup de chance.
LEX : Ne me touchez pas ! Puisqu'on parle d'ami, j'ai entendu dire que Tipet s'était enfuit de prison.
RICKMAN : Qu'est ce qu'il vous fait pensé qu'on est ami ?
LEX : Les bruits qui cours.
RICKMAN : Vous l'avez vu ?
LEX : Je ne l'ai jamais vu, mais je vous promet de lui passer vos salutations, quand je le verrais.
CLARK : Comment avez vous fait signer ce contrat à mon père ?
RICKMAN : Oh, vous êtes le fils Kent, je paris. Disons que je suis doué, pour les affaires. Alors sans rancune.
Rickman serre la main de Clark, mais rien ne se produit, si ce n'est que Clark lui broie la main, Rickman enlève sa main et se la frotte.
CHLOÉ : j' ai passé la matinée plongé dans le monde exotique du matériel agricole et j'ai découvert que Tipet et Rickman travaillait ensemble dans les années 80.
LEX : Ils étaient représentant ?
CHLOÉ : Ouais, et il ont été élu meilleurs vendeurs trois ans de suite. En 89, 90, et 91. L'année suivante Rickman a fondé son entreprise et Kyle a rejoint la forêt.
CLARK : Qu'est ce qu'il c'est passé ?
CHLOÉ : Je sais pas, mais j'ai trouvé cette histoire dans le Smallville Ledger .
CLARK : Deux représentant piégés sous les météorites.
CHLOÉ : A mon avis, quelque chose à changé en cette journée d'Octobre, il y a 12 ans de ça.
LEX : Interrogeons Kyle.
CHLOÉ : Quoi ? Vous savez où il est ?
AU MANOIR
LEX : Où est Kyle ?
L’INFIRMIÈRE : Qui ?
CLARK : Je sais où il est allé.
CARAVANE DE KYLE
Kyle, sort de sa caravane lorsque Chloé et Clark arrive.
KYLE : Je vous remercie de votre aide, Clark, mais je m'en vais d'ici.
CLARK : On sait que Rickman était votre partenaire.
KYLE : C'est arrivé il y a des siècles.
CHLOÉ : Qu'est ce qu'il c'est passé sous la pluie de météorite ? Croyez moi, vous n'êtes pas le seul à avoir été affecté.
CLARK : Qu'est ce qu'il y a entre vous et Rickman ? Comment il a fait pour acheter notre ferme ?
KYLE : Vous savez avant ce jour là, ont étaient les pires vendeurs de matériel agricole de la terre… et tout a changé quand ils nous ont sortis de la voiture, avec une seule poignée de main, on a découvert qu'ont pouvait faire, faire n'importe quoi aux gens. Achetez un tracteur, ou dansez la valse.
CLARK : Vous aviez un grand pouvoir de persuasion.
CHLOÉ : Est ce que ça durait longtemps ?
KYLE : Jusqu’à ce qu'il ai fait ce qu'on demandait. Parfois deux minutes ou deux heures. Ensuite ça s’effaçait de leur mémoire.
CLARK : Et si il ne pouvait pas faire ce que vous vouliez ?
KYLE : Il recommençait. Sauf si quelque chose les forçait vraiment à laisser tomber, comme votre ami Whitney.
CHLOÉ : Bon. Ça à l'air vrai en théorie, mais j'aimerais des preuves.
CLARK : Chloé.
CHLOÉ : Quoi ? Il vit dans une caravane minable au font de la forêt. S'il avait autant de pouvoir, il l'utiliserait au moins pour vendre ses sculptures.
KYLE : C'est dangereux.
CHLOÉ : J'ai l'habitude de côtoyer le danger.
Kyle prend la main de Chloé.
KYLE : Vous êtes attiré par Clark. N'est ce pas Chloé ? Vous le regardez et vous avez envie d'être dans ses bras, depuis longtemps. Vous cachez vos sentiments. Maintenant vous pouvez les montrer.
Lorsque Kyle relâche la main de Chloé, celle-ci embrasse Clark sur la bouche.
CHLOÉ : Oh, oh, c'est bon, je suis prête. Quoi? Pourquoi, vous me regardez comme ça ? C'est quoi ce goût de mente sur ma bouche ?
CLARK : Disons qu'il a apporté des preuves.
CHLOÉ : Oh, non, est ce que j'ai…
CLARK : T'inquiète pas… c'était… bien.
KYLE : Bon maintenant que les tours de magie sont fini, j'ai de la route à faire.
CLARK : Vous avez aussi ce don. Alors pourquoi vous restez dans la forêt ?
KYLE : Parce que je ne suis pas sûr du tout, d'être capable de le contrôler. Je crains de finir comme Bob.
CLARK : Qu'est ce qu'il c'est passé entre vous et Rickman ? Pourquoi, il veut vous tuer ?
KYLE : Il sait que je connais son secret et je l'ai menacé d'en parler s’il implantait une usine ici.
CHLOÉ : Oui, mais il sème la destruction partout depuis des années. Comment avez vous pu le laisser faire si longtemps.
KYLE : Moi je voulais, qu'on me laisse tranquille. Tant que ce n'était pas ici, ce n'était pas mon problème.
CLARK : Mais à cause de votre silence on a vendue notre ferme.
KYLE : Vous savez ce que c'est de devoir ce cacher à cause de ce qu'on est ?
CLARK : Oui , je sais ce que c'est. Quand on a un don, ça ne sert à rien de se cacher en espérant qu'il disparaisse.
AU MANOIR
Bob Rickman arrive dans le bureau de Lex.
LEX : Comment êtes vous entrée ?
RICKMAN : Oh, disons que votre gardien m'a laissé entrée. C'est un type sympa.
LEX : J’ignorai qu'on avait prit un rendez vous.
RICKMAN : On en a pas ! Je suis venue faire la paix. Je voulais seulement vous dire que vous pouvez décommander vos avocat, je ne suis plus intéressé par la ferme des Kent.
LEX : Qu'est ce qui se passe ? C'est plus l'état de grâce.
RICKMAN : Non, j'ai réalisé qu'ici à Smallville je n'aurais que des ennuies.
LEX : Ah…
RICKMAN : C'est clair qu’on ne veut pas de moi.
LEX : Ok, dans ce cas, je vous remercie d'être passé.
RICKMAN : Vous avez gagné. Si on faisait la trêve. (En présentant sa main vers Lex.)
DANS UNE STATION SERVICE DE SMALLVILLE
Depuis une cabine téléphonique, Clark contacte Lex.
LEX : Allo.
CLARK : Lex c'est moi.
LEX : Qu'es ce qu'il y a ?
CLARK : Oh, je suis avec Kyle, il veut aller témoigné contre Rickman.
LEX : Sans blague. Qu'est ce qu'il s'est exactement ?
CLARK : Il faut le conduire à Métropolis.
LEX : C'est bon je passe vous prendre. Où est ce que vous êtes ?
Lex rejoint Clark et Kyle.
LEX : J'ai appelé des journalistes de planet et de l'inquisitor. Vous direz tout ce que vous savez ?
KYLE : Oui, il faut l'empêcher de nuire.
LEX : Montez. Je vais faire le pleins pour aller à Métropolis.
CLARK : Merci Lex.
Lex passe sa carte dans le lecteur et verrouille les porte de la voiture et asperge la voiture d’essence.
CLARK : Lex ? Qu'est ce que tu fais ?
Lex mettre le feu à la voiture.
KYLE : Rickman lui a serré la main.
Clark défonce alors une des portes de la voiture et sort Kyle du véhicule. Ils ont juste le temps de s’enfuir avant que la voiture n'explose. Clark porte Kyle et part à grande vitesse, sous les yeux de Lex.
LEX : Clark, il va falloir que tu m'expliques certaine chose.
Rickman rejoint Lex.
RICKMAN : Bon sang, mais qu'est ce qu'il s'est passé ?
LEX : Ça confirme les soupçons que j'avais.
RICKMAN : Je suis étonné de voir que vous avez échoué dans votre mission.
LEX : Détendez vous. Échouez ce n'est pas mon genre.
Rickman donne une arme automatique à Lex en prenant soins d’effacé ses empreintes.
RICKMAN : Tenez au cas ou.
Lex avance lentement dans le hangar, pour y chercher Clark et Kyle.
LEX : J'ai toujours soupçonné que tu avais des secrets pour moi, Clark. Mais je n'aurai jamais cru, qu'ils étaient si intéressant.
Lex a trouvé Kyle et le tire vers lui.
KYLE : Non.
LEX : Clark? Je tiens ce type que tu fais tout pour protéger. Je vais le descendre maintenant.
CLARK : Arrête !
LEX : Ah, le voilà.
CLARK : Ne fait pas ça. Je suis ton ami.
LEX : Oh, je t'en prit. Tu crois que je ne sais pas ce que tes parents disent de moi ? Ce que la moitié des gens de la ville dise de moi, Tu es exactement comme eux. Quant à l'amitié ce n'est qu'un leurre. Le respect et la peur, c'est le mieux que tu puisses espérer.
CLARK : C'est Rickman qui t'a envoyé.
LEX : Qu'est ce que ça change ?
CLARK : Tu détestes Rickman.
LEX : Il y a des tas de chose à apprendre des gens qu'on déteste.
Lex charge son arme automatique et tire sur Clark. Ce dernier évites les balles mais pas toute ; il tombe alors sur le sol et Lex le rejoint, pour lui tire une dernière balle. Clark jette Lex avec ses pied et envoie Lex à plusieurs mètre. Lex est alors assommé par une étagère. Rickman attend dans sa voiture, il en sort avec un pistolet, lorsque derrière lui, Kyle l'attrape et sert de son don de persuasion, Kyle l'oblige à se suicider
KYLE : Salut Bob.
Dans le hangar, Clark va voir si Lex va bien, lorsqu'il entend alors un coup de feu.
CLARK : Lex ?
Il se précipite dehors et voit Rickman allongé sur le sol.
KYLE : J'ai toujours été le meilleur vendeur.
CLARK : Est ce que ça va ?
KYLE : Hum hum. J'ai vu quand il vous a tiré dessus.
CLARK : Oh…
KYLE : Ne vous inquiété pas. Ne vous cachez pas au fond d'une forêt, comme moi. Vous avez aussi un don, utilisez le, pour faire de grande chose. Je vais essayer d'en faire autant avec le miens.
FERME DES KENT
Martha soigne les bleus de Clark
MARTHA : Je ne peux pas croire que tous ces bleus soit des impactes de balles.
CLARK : Aah.
MARTHA : J'ai bientôt fini.
JONATHAN : Je crois que le problème est résolu avec le suicide de Rickman.
CLARK : C'est bizarre que je me fasse tiré dessus et que les balles soit tirées par mon meilleurs ami.
JONATHAN : Tu sais où est passé Kyle ?
CLARK : Je n'en ai aucune idée. Mais il doit essayer de changer le monde à sa façon.
Quelqu'un frappe à la porte.
LANA : Salut. J'espère que je ne vous dérange pas ?
CLARK : Non. Tu peux entrer.
JONATHAN : Bon, et bien on vous laisse.
CLARK : Je ne savais pas si on était encore fâché.
LANA : Je ne suis plus très sûr de ce qu'il s'est passé avec Kyle et ce n'est pas si important que ça, parce que, je crois que notre amitié compte plus qu'une dispute.
CLARK : Ouais moi aussi. J'ai crus qu'entre nous c'était fini.
LANA : Toi et moi ont sera ami pendant très longtemps je crois. On pourra avoir des hauts et des bas, mais c'est la vie qui veut ça. Est ce que c'est vrai que Chloé t'a embrassé ?
AU LOFT
Lex arrive au Loft de Clark.
LEX : Clark.
CLARK : Salut.
LEX : Tu peux dire à ton père que j'ai parlé avec mes avocats. Étant donné que Rickman a mit fin à ses jours, le projet d'usine est annulé. Ils ont déchiré l'acte de vente.
CLARK : Merci.
LEX : Les amis ça sert à quoi ?
CLARK : Comment tu te sens ?
LEX : Je ne sais toujours pas ce qu'il s'est passé. Je ne t'ai pas touché, tu est sûr ? Je voudrais bien savoir où est Kyle.
CLARK : Ça je l'ignore. C'est étrange de pensé que lui et Rickman était très ami autrefois. Tu crois que ça finira comme ça entre nous ?
LEX : Crois moi Clark, notre amitié entrera sûrement dans la légende.
FIN