SMALLVILLE
SCRIPT VF
SAISON 1 ÉPISODE 10
« TRANSPARENCES »
LYCÉE DE SMALLVILLE
CLARK : Comment ça se fait qu'on t'est pas vu en gym.
LANA : En tant que organisatrice de la collecte de sang, j'ai obtenue deux jours de dispense.
CLARK : Je me souviens d'une fille en cinquième qui c'est égratigné le genou, évanouie à la vu du sang.
LANA : Moi qui me disait qu'avec le temps, tous le monde aurait oublié.
PETE : Clark ! Faut qu'on passe aux douches. Vient on va être en retard.
CLARK : Bon, salut.
DANS LE GYMNASE
AMY : Roy rend le moi.
TROY : Alors Emmy, voyons ce que tu écris sur moi, là dedans. Hé Jeff ! Tu sais que ta sœur écrit des lettres d'amour limite schizo à Lex Luthor. Elle cache bien son jeu, hein.
JEFF : Rend lui ce calepin.
TROY : J'y suis pour rien moi, si elle débloque ta frangine.
AMY : Oh, ce que tu peux être puérile. C'est à cause de garçon comme toi, que les filles aiment les hommes comme Lex Luthor.
TROY : Tu rêve ma pauvre. Tes parents lui servent de larbin. Tu vis peut-être au manoir, mais je vois mal Luthor s'en carcailler avec des domestiques
JEFF : Je te conseil de la lâcher.
TROY : Ah, ouais, sinon tu me fait quoi ? Bande de nul.
DANS LES DOUCHES DU LYCÉE
PETE : Tu as pris rendez vous pour donner ton sang ?
CLARK : Pas encore.
PETE : Ne te défile pas. Le don de soi par pur altruisme pour sauver autrui. Les filles adorent ça.
Clark a soudain eut un petit étourdissement.
PETE : ça va ?
CLARK : Ouais ça va .
Dans les vestiaires, Troy, s'essuie les cheveux lorsque une de ses chaussures tombent du banc, il la ramasse, il se retourne pour voir que la porte de son casier s'ouvre toute seule.
TROY : Bravo les mecs, très drôle.
Une de ses chaussure vole sur un des vestiaire.Soudainement il reçoit la porte du cassier dans le visage. Quelques secondes plus tard, il est agressé par des petits poids d’haltères.
TROY : Arrêtez, je vous en pris.
CLARK : C'est quoi ces cris ? C'est toi, Troy ? Qu'est ce qu'il c'est passé ?
TROY : On m'a, on m'a agressé. Un truc dingue, une sorte de fantôme.
GÉNÉRIQUE SMALLVILLE
AU BEANERY
CHLOÉ : Donc tu n'as rien vu ?
CLARK : Au moment où je l'ai rejoins, Troy était à moitié K.O.
CHLOÉ : Et cette voix qu'il a entendue ?
CLARK : Tu crois qu'un fantôme hante les vestiaires ?
CHLOÉ : Non, sauf si on pense que les météorites ont le pouvoir d'invoqué les spectres de tout les shorts de sport qui on rendue l'âme là bas.
CLARK : Ça me fait plaisir de voir que tu as toute ta raison.
Clark remarque une discutions entre Lana et Whitney, à l'entrée du café.
WHITNEY : Là tout de suite, je n'ai pas le temps.
LANA : Écoute, si tu n'as pas envie de faire cette collecte avec moi, dis le moi, franchement.
WHITNEY : C'est pas ça.
CHLOÉ : Scène de ménage.
LANA : Alors dis moi ce que c'est.
WHITNEY : J'ai pas envie qu'on en parle maintenant. J'ai le droit, non ?
LANA : Et moi j'ai le droit de savoir. Depuis une semaine, tu me fuis comme la peste. Chaque fois que je te demande ce qu'il ne va pas, tu m'envoie baladé. Je me fait du soucis pour toi.
WHITNEY : C'est pas la peine. J'ai besoins d'être un peu seul.
LANA : Bon, si c'est, ce que tu souhaites. Mais si tu n'es pas fichu de te confier à moi, je ne vois pas à quoi ça sert qu'on sorte ensemble.
CHLOÉ : Fait comme si on avait rien vu.
CLARK : Ah, Lana. Ça va ?
LANA : Pas terrible. Mais merci d'avoir la délicatesse de faire comme si ça ne se voyait pas.
CHLOÉ : Si on vient te donner notre sang, ça te remontrait le moral ?
LANA : On peut essayer. Il me reste une place demain à neuf heures quarante.
CHLOÉ : Parfait.
LANA : Je me sens déjà mieux. Et toi, Clark, il y a une heure qui t’arrangerait ? Je vois que tu n'es pas encore inscrit. Tu veux venir quand ?
CLARK : Oh, ben, je sais pas trop. Je te dit ça plus tard.
LANA : D'accord, comme tu veux , c'est pas grave.
CLARK : Et si tu as besoins d'aide, n'hésite pas, je peux faire, signer des papiers, distribuer des croissants.
LANA : Marché conclu. Merci.
CHLOÉ : Au revoir. Tu t'en ai bien sortie. Mais tu ne propose pas ton aide, par pur grandeur d'âme. Tu as une arrière pensé à mon avis, hein.
CLARK : Je le fait par pur amitié.
CHLOÉ : Je vois.
AU MANOIR
VICTORIA : Oui, papa ça avance. Lex ne me facilite pas la tâche, mais je devrais pouvoir le ramener à de meilleurs sentiment. Au revoir papa. Il veut savoir si tu vendra ton manoir, une fois qu'on aura mit ton père hors jeux.
LEX : Pourquoi ? Il veut le rapatrié pierre par pierre en Écosse ? Amy. Où est ta mère ?
AMY : Euh ? Elle m'a demandé de la remplacer. Elle a attrapé froid, je crois.
LEX : Tu connais Victoria.
AMY : Non, on a pas été présenté.
LEX : Elle va resté avec nous au manoir.
AMY : Oh, je vous pris de m’excusez !
VICTORIA : Donnez moi ça.
AMY : Je vais chercher de quoi nettoyer.
VICTORIA : Elle a renversé le plateau exprès.
LEX : C'est une simple maladresse. N'est ce pas Amy ?
AMY : Bien sûr.
VICTORIA : Ça crève les yeux qu'elle est amoureuse de toi.
LEX : Tu te mets à jouer les femmes jalouse. Ses parents font partis des meubles. Je les ai ramener de Métropolis.
VICTORIA : Et bien réexpédié les !
Amy travers en courent le jardin du manoir.
SA MÈRE : Qu'est ce que tu es allée faire au manoir ? Amy ? Amy, qu'est ce que tu faisais encore chez les Luthor.
JEFF : Qu'est ce qu'il y a ?
LA MÈRE : Ta sœur est retourné embêter monsieur Luthor.
AMY : C'est faux, je ne l'embête pas, contrairement à l’autre pouffiasse. Depuis qu'elle est là, c'est l'enfer, elle fait tout pour s’approprié...
LA MÈRE : Nous vivons peut-être sur les terres appartenant au Luthor, mais nous ne faisons pas partis de leur monde. Il est important que vous sachiez où est votre place, et je parle pour vous deux.
JEFF : Ne t'inquiète pas on s'est exactement quel est notre place.
AMY : Merci, Jeff.
JEFF : Fait attention.
Jeff et sa mère quitte la chambre d'Amy. Seule Amy reste, elle embrasse une montre en or, puis la passe à son poignet.
CHEZ LES KENT
Clark est assit à la table de la cuisine.
MARTHA : Qu'est ce que c'est que ça ?
CLARK : C'est pour une collecte de sang à l'école.
JONATHAN : Tu sais que tu ne peux pas donner ton sang.
CLARK : Je sais, oui. Mais je vais leur dire quoi ?
MARTHA : Et bien, tu n'as qu'a dire que tu crains les piqûres. Tu ne sera pas si loin de la vérité.
CLARK : Ah, oui, super ! Je leur ment et en plus je passe pour une chochotte.
JONATHAN : Clark. Je n'aurais jamais cru qu'un jour que je te dirais une chose pareille. Mais je crois que tu sera souvent obliger de mentir aux gens. C'est le prix à payer pour tes dons exceptionnels.
CLARK : Je me dédouane en les aidant.
MARTHA : Et le fait que la collecte soit organiser par Lana n'y est pour rien, bien sûr.
CLARK : Whitney, n'était pas intéressé.
MARTHA : Alors tu as sauté sur l'occasion.
CLARK : Il ne se rend pas compte de la chance qu'il a d'être avec elle.
AU MANOIR
Lex cherche sa montre, lorsque Clark arrive, avec des tulipe blanche.
CLARK : Tu as perdu quelque chose ?
LEX : Ouais, ma montre. Des tulipes blanches.
CLARK : Tu nous as dévalisé. Si tu en veux d'autre, faudra les faire venir directement de Hollande.
LEX : Victoria adore les fleurs blanches.
Soudain les tulipe tombent.
LEX : Tu as vu ça ?
Pendant ce temps Victoria est dans la bibliothèque et consulte l'ordinateur de Lex.
VICTORIA : Mont de passe d'aujourd'hui.
RETOUR AU BUREAU DE LEX
CLARK : Tu t 'entends bien avec Victoria.
LEX : On dirait que ça t’étonne.
CLARK : C'est pas tellement ton genre de femme.
LEX : Avec les femmes, je n'ai pas que des relations amoureuses. On peut avoir un intérêt commun, par exemple. Elle ne sont pas toute comme Lana Lang.
CLARK : Tu as raison, ça ne me regarde pas.
LEX : Néanmoins sache que j'admire ton sens des valeurs. Garde le intacte, surtout.
Lex reprend ses recherches pour retrouver sa montre.
CLARK : Je vais essayer de me battre pour Lana.
LEX : Ah, ben, c'est une bonne nouvelle. Pourquoi ce revirement ?
CLARK : J'ai décider de suivre les conseils d'un ami. Tu n'as pas une montre de rechange ?
LEX : J'en ai même des centaines. Mais cela, j'y tiens particulièrement, ma mère m'en a fait cadeau, juste avant de mourir.
Clark visionne les murs aux rayons X, mais n'y trouve rien.
CLARK : Je ne la voit pas.
LEX : Tu retrouves les objet au flaire, toi.
CLARK : Non, je vis dans une ferme,alors je sais ce que sait, que, que de chercher une aiguille dans une meule de foin. Je vais jeter un coup d’œil dans la bibliothèque.
Lorsque Clark entre dans la bibliothèque il surprend Victoria sur l'ordinateur de Lex.
VICTORIA : Clôture de cession Lex Luthor.
Un bruit étrange attire l'attention de Clark qui retourne auprès de Lex, Victoria le suit.Les trois personnages montent les escaliers. Ils arrivent à l'étage et s'arrête à quelque mètre d'une porte qui tremble et d’où sort une lumière blanche.
VICTORIA : Qu'est ce qui se passe ?
LEX : Reste là.
Lex avance jusqu'à la porte et lorsqu'il met sa main sur la poignée de la porte, tout cesse.Lex insiste et ouvre tout de même la porte, une lumière vive le projet sur Clark, qui le retient. Ils entrent tous dans la pièce, et Lex allume la lumière. Toute la chambre de Victoria est saccagé.
LYCÉE DE SMALLVILLE A LA TORCH
CHLOÉ : Partez ! Le message A le mérite d'être claire.
CLARK : C'était drôlement bizarre. La porte tremblait toute seule et puis au moment où Lex s'en est approché, elle s'est ouverte. Il a sentit comme une présence le frôler
CHLOÉ :Peut-être que le manoir a été livré clé en main avec un esprit vengeur.
CLARK : D'après la police, c'est du vandalisme. Ce qui tague les murs ne sont pas des fantôme d'habitude.
CHLOÉ : Au fait ça avance cette collecte?
CLARK : Je vais chez Lana ce soir, faire le point.
CHLOÉ : Juste vous deux ?
CLARK : Ouais.
CHLOÉ : C'est très romantique. Une fois le pas franchit, n'oublie pas que l'amitié ne pourra plus te servir de paravent. Fait attention où tu mets les pieds.
AU MANOIR
LIONEL : Lex ! Tu me déçois énormément.
LEX : Papa. Moi aussi je suis contente de te revoir.
LIONEL : Ça t’ennuierais de me dire ce qu'elle fait ici ?
LEX : Mais pas du tout. Là tu vois, elle me masse la nuque, mais comme je la connais, ça m'étonnerais qu'elle s'arrête en si bon chemin.
LIONEL : Tu te serais donné toute cette peine, dans le seul but d'attirer mon attention. J'ai mordu à l’hameçon, bravo.
LEX : Je sais que ça va te causer un choc, mais je n'organise pas toute ma vie en fonction de toi.
LIONEL : Oui, je vois. Tu te fait juste rouler dans la farine. Vous pourriez nous laisser mademoiselle Hardwick. J'aimerais revoir avec mon fils le concept de loyauté filiale.
VICTORIA: Mais bien sur. Je nous fait couler un bain.
LEX : Je n'en ai pas pour longtemps.
VICTORIA : Je transmettrais, mon bon souvenir à sir Harry.
LIONEL : Faites dont.
LEX : Ce qu'on fait ensemble, me parait claire, non ?
LIONEL : Des générations de Luthor, doivent se retourner dans leur tombes. Parce que chez nous travail et vie privée sont toujours étroitement lié, surtout quand il s'agit des Hardwick ! Lex. Ne vois tu pas qu'on l'a envoyer pour détourner ton attention. Ça fait des mois que son père grignote peu à peu des parts de Luthorcorp.
LEX : C'est ta compagnie pas la mienne. Je n'en suis qu'un employé interchangeable, comme les autres ! Ainsi que tu le l'as si bien fait comprendre, quand tu m'a envoyé dans ce charment trou perdu.
LIONEL : Les empires ne s’effondre pas sous la poussé de force extérieure. L'ennemi trouve toujours une faiblesse qui les mines de l'intérieur. Lex, souvient toi ce que je t'ai dit. Smallville est un test et pour l'instant tu n'es pas à la hauteur.
LEX : Merci de me mettre les points sir le I, mais je sais ce que je fait.
LIONEL : Oh, non je ne crois pas ! Elle abat la seule carte qu'elle a en main et toi tu es là et tu gobes tout la bouche ouverte.
LEX : Ma vie prive ne regarde que moi.
LIONEL : Quand elle a des répercutions sur ma firme, elle me regarde aussi. Lex, écoute moi bien. Si tu trahie ta famille, tu n'aura plus personne au monde sur qui compter.
De l’autre côté de la porte, Victoria écoute, lorsqu'elle est surprit par Amy.
AMY : Oh, pardon. Je ne voulais pas vous… Il est trop bien pour vous.
Amy travers le jardin du manoir.
JEFF : Amy. Ça va ? T'en fait une tête.
AMY : Devine à qui la faute.
JEFF: Amy. Amy !
CHEZ LANA
Sur le perron.
CLARK : J'ai un créneau à 5 heures.
LANA : Si je déplace mon rendez vous à 16 heures 30, je peux y être aussi. Il nous reste encore…
CLARK : Fini !
LANA : Quoi déjà ? On a tout fini ?
CLARK : Ouais, c'est nous les meilleurs.
LANA : Waouh ! Au fait, quand est ce que tu vas donner ton sang ?
CLARK : Justement, j'ai une confession à te faire. Je n'aime pas les piqûres. Je n'osais pas te le dire.
LANA : Te t'inquiète pas, j'emporterais ton secret dans la tombe. Aaaahhh, faut dire que tu m'as sauvé la vie.
CLARK : Tu investies dans beaucoup de domaine.
LANA : Disons que je cherche ma voie, c'est tout. Je te remercierais jamais assez.
CLARK: N'importe qui en aurait fait autant.
LANA : Il n'y a qu'a voir Whitney, il a… en ce moment ce je ne sais pas ce qu'il a.
CLARK : En fait, si tu tiens vraiment à me remercier. Ne parle pas de Whitney.
LANA : Bon, comme tu veux.
CLARK : Ça ne te fait pas bizarre de savoir, que mon père et ta tante sortait ensemble.
LANA : Nell, n'aborde presque jamais le sujet. J'ai cru comprendre que ça l'avait beaucoup affecté.
CLARK : Je suis content qu'on s’entende bien, tous les deux.
LANA : Moi aussi. J'ai une bonne définition de Clark Kent. Il n'est pas toujours là où on l'attend, mais il est toujours là quand on a besoins de lui.
CLARK : C'est une nuance qui compte.
LANA : Tu es celui qui tient toujours ses engagements.
CLARK : Ouais.
LANA : Tu es celui qui écoute.
CLARK : C'est vrai.
LANA : Tu es celui qui es là.
CLARK : Ouais.
NELL : Lana tu n'as pas encore finie… Oh ! Clark ! Tu as l'heure ?
CLARK : Non. Je suppose qu'il est tard.
NELL : Bien, tu es perspicace.
LANA : Bon, ben à demain.
CLARK : A demain. Lana? Tu as déjà assisté à un couché de soleil dans mon loft.
LANA : Oui. Oh, oui, mais ils sont tous si différent, c'est ce qui fait leur charme. Ils se suivent mais ne se ressemble pas.
CLARK : Oh, alors ça te dit demain soir ?
LANA : Je veux bien, oui. Bonne nuit Clark.
DANS LES COULOIRS DE LYCÉE
PETE : Viens voir un couché de soleil dans mon loft. Tu lui as vraiment dit ça ?
CLARK : Ouais
PETE : Je paris que tu as eus l'estomac noué tout du long.
CLARK : Ouais.
PETE : Tu devrais préparer à l'avance une liste de tous ce que tu diras.
CLARK : Non, je vais improviser. Faire confiance à mon instinct.
PETE : Clark, dans ton cas, vaut mieux pas. Fait toi une anti-sèche.
La conseillère d'orientation, arrive vers Whitney.
LA CONSEILLÈRE D’ORIENTATION : Whitney. Ta mère à appelé et m'a mise au courent.
WHITNEY : Elle n'aurait pas dû.
LA CONSEILLÈRE D’ORIENTATION : Elle se fait beaucoup de soucis. Je ne suis pas là pour te harceler. Si tu veux me voir, mon bureau est au bout du couloir. D'accord ?
WHITNEY : Ouais.
Whitney ferme son casier, puis fait tombé son sac à dos au sol, Clark vient l'aider à ramasser ses affaires et tombe sur un sac en papier de la pharmacie.
CLARK : Excuse moi. Pas de quoi.
Clark regarde à l'intérieur du sac de Whitney avec sa vison à rayon X, Il découvre un flacon de médicament.
AU BEANERY
Clark consulte l’ordinateur de Chloé pour trouver des information sur le médicament de Whitney.
CLARK : Qu'est que l'amlodipine et comment l'utiliser.
AMY : Salut Clark.
CLARK : Bonjour. Ça à pas l'air d'aller.
AMY : Oh, c'est rien. Il y a juste une drôle d’ambiance au manoir. Tout allait bien, jusqu'à l'arrivée de Victoria. Tiens au faite, toi qui est un ami de Lex. Qu'est ce que tu penses d'elle ?
CLARK : Je là connaît pas si bien que ça.
AMY : Tu sais je crois savoir pourquoi elle s'incruste. L'autre jour je l'ai surprise dans la chambre de Lex. Elle fouillait dans ses affaires.
CLARK : Et toi pourquoi tu étais présente ?
AMY : J'aidais ma mère.
CLARK :Victoria ne t'a pas vu ?
AMY: Non. A vrai dire, Lex est le seul pour qui je ne sois pas transparente.
AU MANOIR
Victoria se fait couler un bain et entre dans la baignoire.
DANS LE BUREAU DE LEX
Lex consulte son ordinateur lors que Clark arrive.
LEX : Clark. C'est une visite bien tardive. Tu viens chasser les fantômes ?
CLARK : Non, je suis venue, pour te parler de Victoria.Où est-elle ?
LEX : Elle prend un bain. Pourquoi , il y a un problème ?
CLARK : Lorsque je suis venue hier soir...je l'ai vu qui… c'est un peu délicat à dire.
LEX : Elle parcourait mes fichiers informatiques ?
CLARK : Tu étais au courent ?
LEX : Je suis au courent de presque tout ce qui se passe entre ces murs.
CLARK : Ça n'a pas l'air de beaucoup te contrarier.
LEX : C'est comme une partie d'échec, on s'amuse. Elle et moi on se connaît depuis toujours.
CLARK : Tu n'en ai pas amoureux et elle joue un double jeu. Pourquoi tu la laisse rester ?
LEX : C'est compliqué. Merci pour l'info.
CLARK : Un ami ça sert à ça. Quand au sentiments d'Amy à ton égare il tourne à l'obsession.
LEX : Ce n'est qu'une amourette d'adolescente, rien de plus. Et toi avec Lana tu en es où ?
CLARK : J'ai appris une chose sur Whitney. Il a des médicaments dans son sac. De l' l'amlodipine, c'est…
LEX : Un traitement pour le cœur. Ma mère en a prit avant de se faire opérer.
CLARK : Et c'est ce qui l'a… Je te demande pardon.
LEX : Sa maladie à duré des mois. Cette montre que j'ai égaré. Ma mère me l'a offerte quand la fin était proche. Elle avait fait monté un franc à l'effigie de Napoléon 1er sur le cadran de la montre.
CLARK : Pourquoi Napoléon ?
LEX : Tu ne connaît pas le tableau de David sur le couronnement de Napoléon ?
CLARK : Non.
LEX: La mère de Napoléon n'a pas pu assisté à son sacrement. Napoléon demanda à David de peindre sa mère dans l'assemblé comme si, elle avait été là, au milieu de tous. Vu qu'elle ne pouvait être physiquement présente, il y a amené par la force de sa volonté, pour qu'elle assiste à sa gloire.
CLARK : C'est une belle histoire.
LEX: C'est une belle montre.
AU MANOIR A L’ÉTAGE DANS SALLE DE BAIN
Victoria est dans son bain lorsqu'une bougie s'éteint. Elle se fait soudainement agressée par quelque chose d'invisible qui lui plonge la tête dans l'eau. Elle se relève, mais son assaillant invisible lui remet la tête sous l'eau. Une bouteille se casse, ce qui alerte Clark qui est sur le point de partir, il fait demi tour, monte rapidement à l'étage, lorsqu'il arrive, un pied de Victoria dépasse de la baignoire. Il se précipite et la sort de la baignoire, la dépose délicatement sur le sol et la recouvre de son peignoir,Victoria revient à elle.
CLARK : Chut, vous ne craignez plus rien, maintenant.
Clark est également agressé par l'individu invisible. Avec sa vision à rayon X, il trouve l'agresseur qui s'en fuit. Mais ce dernier se coupe le pied, avec un morceau du miroir qui a été cassé lorsqu'il a poussé Clark.
LYCÉE DE SMALLVILLE LA TORCH
Clark montre le morceau du miroir qui est couvert de sang de l'agresseur, à Chloé.
CLARK : Aucun doute, c'est du sang.
CHLOÉ : Ce qui élimine d’emblée l’hypothèse du fantôme. Autrement dit vous avez été tous les deux agressé par un… un homme invisible. C'est quoi cette substance verte ? Parfum de rose. Euh… Clark ?
CLARK : Comment tu as fait ça ?
CHLOÉ : Je l'ai à peine touché. Cette fois, j'ai vraiment des hallucinations. Mais… mais qu'est ce que c'est que ce truc ?
CLARK : Je n'en sais rien, mais si tu t'en met de la tête au pied, tu peux devenir…
CHLOÉ : Ridicule.
CLARK : Plutôt invisible.
DEVANT LE LYCÉE
CHLOÉ : Alors maintenant, qu'est ce qu'on fait? On appel la police ?
CLARK : Pour rechercher un homme invisible. On a pas de vrai suspect.
CHLOÉ : Bon, qui ne peut pas blairé la copine de Lex.
CLARK : Amy Palmer.
CHLOÉ : Ses parents font parti des domestique, non ?
CLARK : Amy dit avoir vu Victoria fouiller la chambre de Lex. Victoria ne l'a pas vu.
CHLOÉ : Et pour cause. Mais attend, Amy à déjà donné son sang ?
CLARK : Oui, à 11h20 hier matin.
CHLOÉ : Oh, quelle mémoire. Tu sais que tu es flippant. Je vais essayer de comparer le groupe sanguin d'Amy avec le sang qui se trouve sur le miroir.
CLARK : Super. Tu m'appel ?
CHLOÉ : Promis, juré.
LYCÉE DE SMALLVILLE AU RÉFECTOIRE
Clark passe devant le réfectoire et aperçois Whitney assit à une table. Il décide d'aller parler avec lui.
CLARK : Whitney ?
WHITNEY : Te fatigue pas, ça ne m’intéresse pas.
CLARK : Ce qui concerne Lana. Ça t'intéresse ?
WHITNEY : Tu peux me dire ce que tu fiches avec Lana ?
CLARK : Rien. C'est une copine.
WHITNEY : Je vois bien les regard que tu lui lance.
CLARK : Moi au moins, je lui accorde un peu d'attention. C'est une fille formidable et toi tu es là et tu t'en rend même pas compte. C'est quoi ton problème ?
WHITNEY : Je n'ai de leçon à recevoir de personne. C'est moi que sa regarde ! Moi seul !
CLARK : Je sais que tu as des médicaments pour le cœur dans ton sac. Tu peux me dire ce qu'il y a ?
WHITNEY : C'est mon père. Ça fait une semaine qu'on lui fait des examens à Métropolis
CLARK : Et que disent les médecins ?
WHITNEY : Ils ne se prononcent pas encore.
CLARK : Tu n'as toujours rien dit à Lana.
WHITNEY : Après ce qu'elle à vécue avec ses parents. Je ne me sentais pas le droit de lui faire revivre ça avec moi.
CLARK : Tu te trompe. Tu la sous estime. Elle a du cran. Elle comprendrais sûrement mieux que personne.
AU CAFÉ BEANERY
CLARK : Salut. Comment va Victoria ?
LEX : Elle se repose un jour ou deux à Métropolis, le temps que je trouve des réponses à certaines questions. Et toi ça va ?
CLARK : Il y a des choses que tu préférerais ignorer.
LEX : L'expérience, m'a apprit qu'il vaut mieux en savoir trop, que pas assez. Tu faisais référence au footballeur ?
CLARK : Son père est malade.
LEX : Dur pour lui.
CLARK : Je me vois mal tenter ma chance avec Lana, maintenant.
LEX : Tu craindrais d'abuser de la situation ?
CLARK : Ouais. Toi tu ferais quoi ?
LEX : Qui, moi ? J'aurais pas de scrupule. C'est justement ce qu'il me plaît chez toi. Que tu en ais.
AMY : Bonjour Lex.
LEX : Amy. En voilà une surprise.
AMY : J'ai vu votre voiture dehors, alors, je suis entrée vous dire un petit bonjour.
LEX : Ah, ben c'est très gentil à toi, Amy.
Clark utilise sa vision à rayon X pour scanner le poignet d'Amy et y découvre la montre que Lex à égaré.
AMY : Bon, maintenant que mademoiselle Hardwick est partie on va retrouver nos petites habitude.
LEX : Victoria reviendra dans quelques jours.
AMY : Oh.
LEX : Elle n'est pas aussi mauvaise que tu le pense.
AMY : Oh, mais, je n'ai jamais pensé ça, d'elle. Au revoir.
LEX : Quoi ? Qu'est ce qu'il y a ?
AU MANOIR CHAMBRE D'AMY
LA MÈRE D'AMY : Je ne sais pas quoi vous dire monsieur Luthor. Amy a eue quelque problème à l'école, mais, je la voit mal agresser quelqu'un comme mademoiselle Harwick.
CLARK : J'espère que je me trompe.
Lex ouvre une petit armoire et y découvre des coupures d'article de journaux.
CLARK : On dirait que pour elle, tu es un objet de collection.
LEX : Tiens, ma montre.
LA MÈRE D'AMY : Je vous assure, que je ne me doutais de rien. N'appeler pas la police.
LEX : Je ne suis pas du genre à châtier les gens, ou cloué au piloris, mais, Amy à besoins de se faire soigner. Séance de Psy, traitement médicaux, faites ce qu'il faut et envoyer moi la facture. Dans notre intérêt à tous, je vous demanderais aussi de quitter le manoir ce soir.
LA MÈRE D'AMY : Oui, bien sûr.
AU LOFT
Clark arrive et trouve Lana au bord de la fenêtre admirant le paysage.
LANA : Enfin te voilà.
CLARK : Je suis un peu en retard.
LANA : Tu arrives juste au bon moment. Qu'est ce que tu en dis ?
CLARK : J'en dis , que c'est une beauté à couper le souffle.
LANA : L'autre soir chez moi, il m'a semblé que tu essayais de me dire quelque chose.
CLARK : C'est vrai. Mais Nell a surgit à point nommé, comme toujours.
LANA : Mais cette fois on est seul.
CLARK : Oh, oui. En faite, ce que j'essayais de te dire… voilà, il faut que tu saches que… je ne te ferais jamais souffrir.
LANA : Ça je le sais.
CLARK : Et c'est pourtant ce qui se passera si je te dévoile ce que je voulais te dire. Tu en souffrira.
LANA : Vas-y essaie, on verra bien. Je sais encaisser.
CLARK : Je sais. Mais ce serait peut-être bien que Whitney le sache.
LANA : Mais je croyais qu'on ne devait plus parler de lui.
CLARK : Oui, c'est vrai, j'ai dit ça. Mais si on inversait les rôles, si il était là avec ma copine. J'espère qu'il dirait pareil. Je comprends que tu lui en veuilles, mais… mais il a besoins que tu lui parle, il a besoins de toi. Sauf qu'il ne le sait pas.
LANA : Clark pourquoi est ce que tu fais ça ?
CLARK : Parce qu'on a mit du temps à devenir ami et j'aimerais que ça continue.
LANA : Tu as vu. Je crois qu'on vient de passer à côté.
AU MANOIR
La famille Palmer déménage.
AMY : Tout ce que je voulais, c'était être plus proche de vous.
UN HOMME : Va t’asseoir.
LA MÈRE D'AMY : Jeff est resté pour emballer nos affaires. Mon mari passera les récupérer demain matin. Encore une fois je suis navré.
LEX : Ne vous en faites c'est oublié. Soyez prudent sur la route. (Au téléphone) Oui, j'aimerais laisser un message pour Victoria Hardwick.
Soudain le téléphone portable de Lex tombe violemment sur le sol.
LEX : Qui est là ? Allez montrez vous !
Lex subit une agression de l'homme invisible. Il lui assigne un coup de point.
AU LOFT
Martha vient voir Clark.
MARTHA : Alors ce rendez vous avec Lana.
CLARK : On reste bon ami.
MARTHA : Et sa te convient ?
CLARK : Non. Mais c'est ce qu'il y a de mieux pour l'instant.
CHLOÉ: C'est moi ! Bonsoir madame.
MARTHA : Bonsoir, Chloé. Bon, je vais vous laisser.
CHLOÉ : Alors mauvaise nouvelle, sur le front Dracula, le sang prit sur le miroir appartient au groupe A. Amy Palmer est du groupe O
CLARK : Elle vénérait des reliques, appartenant à Lex Luthor.
CHLOÉ : Elle est peut-être obsédé par Lex, mais elle n'a pas agressé Victoria. Voilà la preuve.
CLARK : Le groupe sanguin d'Amy ne correspond pas, mais celui de Jeff oui.
CHLOÉ : Son frère. Il est plutôt du genre calme.
CLARK : Il passe tellement inaperçue, qu'il pourrait être invisible. Reste là, je reviens.
AU MANOIR
Lex est allongé sur le sol, les mains attachées derrière le dos.
JEFF : Vous ne comprenez dont pas. Elle vous aimait. Comment avez vous pu la chasser d'ici !
LEX : Qui êtes vous ?
JEFF : Vous êtes plus attentif tout à coup, monseigneur Lex, avec son manoir, son usine, ses voitures de luxes. Avez vous jamais prêté une oreille attentive aux gens.
LEX : Jeff. Où êtes vous ?
JEFF : Je suis surpris que vous connaissiez mon nom. Avez vous oublié la règle d'or. Les serviteurs doivent se rendre invisible. On a essayé de se faire tout petit, de se fondre dans les boiserie. Mes parents ont apprit à vivre avec, ils disaient qu'ils s'en fichaient, mais Amy voulait plus et pour moi, fini la comédie !
LEX : Je peux savoir ce que je t'ai fait ?
JEFF : Oh, a moi rien. C'est à Amy que tu as fait. Elle t'aimait et tu l'as jeté comme une vielle chaussette.
LEX : Elle a quand même agressée Victoria.
JEFF : C'était moi. Je voulais lui faire peur, pour qu'elle parte. Pour que tout redevienne comme avant et qu'Amy est le champ libre. Mais ça ne t’intéresse pas l'amour.
LEX : On risque la prison pour ce genre d'amour. Tu as l'air d'oublier que ta sœur est mineur.
JEFF : Tu as bousillé sa vie ! La nôtre aussi ! Je te laisserait pas la faire souffrir !
Jeff empoigne une épée qui était accroché au mur et l'envoie sur Lex, celle-ci se plante à quelques dans la bois à centimètres de sa figure. Clark arrive au manoir.
CLARK : Lex ? C'est moi. Ouvre cette porte.
LEX : Clark !
Au moment ou Clark ouvre la porte, Lex est assommé par son assaillant invisible.
JEFF : Ne t'approche pas de lui, Kent. Tout ça c'est ta faut à toi aussi.
CLARK : Jeff. Comment tu fais ça ?
JEFF : Je vais te donner un petit court de chimie. Certaines plantes n'absorbent pas la lumière, elle la réfracte. J'ai trouvé une étrange rose verte prêt d'ici. Je l'ai étudié et je me suis servie de l’essence de cette rose pour devenir ce que j'ai toujours été ! Aux yeux de Lex ! Aux yeux des autres à l'école ! Aux yeux de tous !
Jeff attaque Clark avec une boule hérissé médiéval, au contacte du jeune homme, celle-ci se brise Clark est éjecté contre le mur.
JEFF : Mais, oui, j'ai entendus les Luthor parlé de toi comme quelqu'un de vraiment à part. Et bien moi aussi je le suis.
Jeff essaye ensuite d'étrangler Clark. Ce dernier se défend et éjecte Jeff contre un échafaudage ou se trouve de la peinture, les pots se renverse sur Jeff qui est désormais hors course. La police est au manoir avec une ambulance, cette dernière prend en charge Jeff.
CLARK : A ton avis, qu'est ce qu'il vont faire de lui?
LEX : Le forcer à suivre une longue thérapie. Moi je me demande surtout comment il a fait pour se rendre invisible.
CLARK : Ça je n'en sais rien, et je crois qu'on ne le saura jamais. Ça va le crâne ?
LEX : Oh, j'en ai vu d'autre. La collection d'arme de mon père, s'en sort moins bien que moi.
CLARK : Désolé.
LEX : C'est pas grave. Ma mère détestait pas la salle d'arme. La guerre est dans notre nature, disait-elle. Pourquoi ? L’exhibé sur nos murs ?
AU LOFT
Clark est rentrée chez lui, il se trouve dans son loft et regarde dans sa lunette la maison de Lana. Whitney est avec elle.
FIN