SMALLVILLE
SCRIPT VF
SAISON 1 ÉPISODE 09
« SUR LE FIL DU RASOIR »
A Métropolis, dans un gala de charité d'un musée, Clark et Lex admire une cuirasse orné de pierres précieuses ayant appartenu à Alexandre le Grand.
LEX : C'est la cuirasse d’Alexandre Le Grand. Il parait que ces ornements symbolisent la force et le courage.
CLARK : Je me vois mal sur un champ de bataille avec ce truc là sur le dos.
LEX : Autre temps autre mœurs, comme on dit. Ça faisait de lui un homme invincible.
CLARK : Tu t'intéresses à l'histoire, maintenant ?
LEX : Pas du tout, seulement aux hommes qui ont régné sur le monde avant leur trente ans.
LANA : Ne t’inquiète pas, tu as encore quelques années devant toi.
CLARK : Lana ? J'ignorais que tu viendrais.
LANA : Lex ne t'a rien dit ?
LEX : Ah, ben, ça m'est complètement sorti de la tête. Bon, ben je vais vous laisser discuter tous les deux.
LANA : Tu passe une bonne soirée ?
CLARK : Ouais, bien que je ne sois pas dans mon élément.
LANA : Si ça peut te consoler, j'en connais un autre qui n'a pas l'air plus à l'aise.
CLARK : Ah, tu n'es pas venue seul.
LANA : Installe toi à notre table. Moi je vais chercher Nell, qu'on puisse enfin commander.
CLARK : Ouais, d'accord.
LEX : Clark ! Où est ce que tu vas ?
CLARK : J'ai besoins de prendre l'air.
LEX : C'est pas en fuyant devant l'ennemi que tu vas la conquérir.
CLARK : C'est Whitney l'ennemi ?
LEX : Oh, oui, et tant que tu n'aura pas compris ça, tu n'aura aucune chance avec Lana. Un ami, il faut en être proche, et un rival faut le coller au corps.
UNE FEMME : Quel indécrottable romantique.
LEX : Victoria ?
VICTORIA : Je ne vous dérange pas j'espère ?
LEX : Clark, je te présente Victoria Hardwick. Une amie de long date.
CLARK : Bonjour.
UN SERVEUR : Champagne.
VICTORIA : Oui, merci.
CLARK : Le genre d'amie à être proche.
LEX : On se retrouve plus tard, tu veux bien. Une petite visite guidé ?
VICTORIA: Je n'osais pas le demander.
A EXTÉRIEUR
Dehors deux hommes se battent.
UN POLICIER : Tu vois ce badge, si tu n'es pas en taule, c'est grâce à moi. Je veux que tu ailles à l'inspection général de la police me chercher ces dossiers.
UN DÉTECTIVE : Pourquoi, il vous colle au train.
LE POLICIER : Tu as 24 heures pour trouver un moyens d'y entrer. Alors creuse toi les méninges.
Clark s'est éclipsé dehors.
CLARK : Bienvenue à Métropolis, ville lumière. Enfin si on veut.
Il descend les marches du musée lorsqu'un bus arrive. Le conducteur vient d'avoir un infarctus, il perd alors le contrôle du bus qui se dirige droit sur un SDF et son chien qui dorment sur un banc. Clark intervient juste avant que le bus ne percute le SDF. Le bus s’est encastre dans Clark qui sort indemne de cette situation. Clark quitte les lieux avant que les gens qui se trouvaient dans le musée s’agglutine autour de la scène de l'accident. Le policier s'approche du bus et se doute que c'est Clark qui est à l'origine de l'arrêt brutal du bus.
GÉNÉRIQUE SMALLVILLE
CHEZ LES KENT
Clark arrive dans la grange lorsque son père est sur le point de soulever un imposant générateur.
CLARK : Attend papa je vais t'aider.
JONATHAN : Ne force pas trop surtout.
MARTHA : Alors l'oiseau de nuit. Cette soirée à Métropolis ?
CLARK : Pas mal.
MARTHA : Tu es invité à un cocktail au musée de Métropolis et tu trouve ça, juste pas mal.
CLARK : L'expo, tout ça, c'était bien.
JONATHAN : Mais… parcequ'il y a un mais, n'est ce pas ?
CLARK : Il y a eu un accident.
MARTHA : (Qui lit le journal) Un bus s'écrase juste devant le musée.
CLARK : ça aurait été pire si je n'avais été là.
MARTHA : Oh, et toi ça va ?
CLARK : Oui, ça va.
JONATHAN : En pleine rue, on aurait pu te voir.
CLARK : ça ne risquait rien, personne ne m'a suivie dehors.
MARTHA : Je crois qu'on ne craint rien. Nul part il n'est fait mention d'un témoin.
CLARK : Bon, on m'attend en cours.
JONATHAN : Clark ! Sache que je suis très fière de ce que tu as fait.
MARTHA : Oui, moi aussi.
DEVANT LE MUSÉE DE MÉTROPOLIS
Une voiture avec un homme assit dedans attend. Le policier vient à sa rencontre.
LE POLICIER :Alors ces photos ?
UN VIGILE: Je n'ai pas le droit de faire ça et vous le savez.
LE POLICIER : Vous êtes fiché pour conduite en état d'ivresse, ça aussi je le sais. C'est fou le nombre de vigiles il oublie de mentionner qu'il ont un cassier judiciaire au cour de leur entretien d'embauche.
Le vigile fini par céder et donne les photos de la scène de l'accident.
AU MANOIR
Lex se sert un verre de jus fruit.
LEX : Alors que pense tu de Smallville ?
VICTORIA : Ça me rappel le village de mes grand parents au pays de Galle. Un petit village tranquille au charme désuet. Le dernier endroit ou je l'attendais à trouver Lex Luthor.
LEX : Mais d'ici 2 ou 3 ans, mon père me renverra à Métropolis.
VICTORIA : Il n'en fera rien.
LEX : Je le sais.
VICTORIA : Tu mérite cent fois mieux que ça.
LEX : C'est pour me faire cette révélation que tu as traversé l'Atlantique ?
VICTORIA : Ne peut tu accepter, l'idée que ce soit pour te revoir.
LEX : J'aimerais bien, ça flatterait mon égaux. Mais les filles de grand capitaine d’industrie ne parcourt pas le monde dans l'unique but de raviver de vieille passion. Surtout lorsqu’elle son vice-présidente.
VICTORIA : Tu es au courent...
LEX : Que tu travail pour ton père. Disons que je m'informe. Où en est sir Harry ?
VICTORIA : Il est distant, inaccessible, et très riche. Un peu ton genre finalement.
LEX : Qu'est ce qu'il me veut ?
VICTORIA : Il lui a sembler comprendre que tu aurais, des relations, plutôt tendu avec ton père.
LEX : Sir Harry a toujours eu une grande acuité pour ce qui crève les yeux.
VICTORIA : Il se dit que peut-être que c'est une situation qui pourrait nous servir l'un et l'autre. Il aimerais que tu réfléchisses à d'autres options de carrière.
LEX : Alors il t'envoie comme une cerise sur le gâteau.
VICTORIA : Tu m'as manqué Lex.
LEX : Ah, je suis très touché. Tu as une offre à me faire ?
VICTORIA: Oui, mais on verra ça… un peu plus tard.
A LA TORCH
Chloé montre son éditorial à Clark, lorsque le proviseur Kwan arrive pour lui faire part de son mécontentement.
CLARK : Encore un éditorial cinglant.
CHLOÉ : C'est redondant, non ?
LANA : Clark ? Tu as disparu hier soir.
CLARK : Ça ne me disait rien de rester. Je ne suis pas un rat des villes.
CHLOÉ : Le garçon peut partir de la ferme, mais son cœur y restera à jamais.
KWAN: Sullivan ? Encore une de vos plaisanterie douteuse ? Des parents inquiet mon appelé toute la mâtiné.
CHLOÉ : Et qu'avez vous répondu ?
KWAN : Ce que l'agence de la protection de l'environnement dit depuis le début ; que les météorites ne représentent aucun danger.
CHLOÉ : Smallville est le théâtre d’événement curieux. Il est normal d'informer les gens.
KWAN : C'est un journal d'école, mademoiselle, pas votre propre organe de presse.
CHLOÉ : Vous essayez de me censurer ?
KWAN : On vous demande de vous en tenir uniquement aux informations relevant de la vie scolaire, les rencontres sportives, les soirées, les animations. Je vous relève donc de vos fonctions. Et on arrête le tirage, jusqu'à ce que je désigne un nouveau rédacteur en chef !
CHLOÉ : C'était quoi tout ce bruit?
PETE : Le bruit de quelqu'un qui te vire.
CLARK : Il y a sûrement moyen de rattraper le coup.
LANA : Je vais parler à Kwan.
CHLOÉ : Je ne veux pas avoir l'air ingrate, mais je ne vois pas ce que tu peux y faire.
LANA : Moi non, plus. Mais laisse moi au moins essayer.
AU CAFÉ BEANERY
Lex rencontre le policier Sam Phelan.
SAM : Bonjour Lex, ou dit-on monsieur Luthor, ici à Smallville ?
LEX : Phelan. Si je ne m'abuse, Samllville est largement en dehors de votre juridiction.
SAM : Les visite aux amis sortent du cadre juridictionnel.
LEX : Nous n'avons jamais été ami. Si vous voulez me voir appeler ma secrétaire.
SAM : Elle est belle la gratitude.
LEX : J'ai une dette envers vous ?
SAM : Vous avez la mémoire drôlement courte. Combien de fois je vous ais sortie de situation délicate ? Si vous êtes en vie aujourd'hui, c'est grâce à moi.
LEX : Mon père vous payais pour faire ce boulot. Vous étiez son homme de main.Vous étiez payé pour régler les problèmes. Alors ne venez pas me dire que vous le faisiez par altruisme.
SAM : Vous menez une vie agréable ici, ça me ferait de la peine de tout compromettre.
LEX : Vous ne pouvez strictement rien contre moi.
SAM : Je recherche un témoin ,Je crois qu'il a vue l'accident hier soir devant le musée.
LEX : Et en quoi cela me concerne ? Désolé je ne connais pas ce garçon.
SAM : Moi j'aurais pariez le contraire.
LEX : Votre instinct n'est plus ce qu'il était. Il serait peut-être temps de penser à la retraite.
CHEZ LES KENT
Clark arrive dans la grange.
CLARK : Papa? Où tu es ? Il y a quelqu'un ?
Clark entend du bruit.
CLARK : Tu es là ? Papa c'est toi ? Police de Métropolis.
En regardant le sol, Clark aperçoit un badge de policier qui est sur le point de ramasser, juste au moment ou le groupe électrogène lui tombe dessus. Pour se dégager il jette ce dernier loin dans la grange.
SAM : Bravo mon garçon. Je ne sais pas avec quoi on te nourrit, mais c'est impressionnant. Moins spectaculaire qu'hier soir, sûrement. Mais au moins me voilà fixé.
CLARK : Qui êtes vous ?
SAM: Moi ? Ton nouveau meilleurs ami, Clark.
CLARK : Qui vous a dit comment je m'appelais ?
SAM : J'ai mené mon enquête. Ce qui est bien dans les petites villes, c'est de voir à quel point les gens sont heureux de rendre service. Pas comme à Métropolis.
CLARK : Qu'est ce que vous attendez de moi ?
SAM : Un coup de main. Vois tu je ne peux pas me permettre de perdre le combat que je mène contre le crime. Sinon ce sera le chaos, et toi tu peux m'aider avec… ce… ce don que tu possède.
CLARK : Ne comptez pas sur moi !
SAM : Ton petit secret est là, tu ne voudrais pas qu'il s'ébruite. C'est pour ça que tu es parti avant que les caméras arrivent, hier soir. Si tu ne veux pas de publicité, tu as intérêt à faire ce que je dis. Bon, demain après midi, tu vas te pointé dans ce café branché en ville et on parlera de ton avenir. Ah, joli coup.
DANS LA CUISINE DES KENT
JONATHAN : Il t'a carrément fait tomber le groupe électrogène dessus.
MARTHA : Comment il a deviné que ça ne te tuerais pas ?
CLARK : Il m'a vu avec le bus hier soir.
MARTHA : On ferait mieux d'appeler la police.
JONATHAN : Ouais.
CLARK : Il est policier. Il porte un badge de… Métropolis. Papa. Je regrette que les choses en soit arrivée là.
JONATHAN : Ce n'est pas de ta faute. Tu n'as rien à te reprocher.
CLARK : Je dois le retrouver au café Beanery demain.
JONATHAN : Je ne veux plus que tu t'approches de ce type. J'irais à ta place. Je tâcherais de voir ce qu'il veut.
CLARK : Et en attendant, je fais quoi …
JONATHAN: En attendant tu continue de voir tes copains, tu vis ta vie. Je ne veux pas que ça change quoi que ce soit à notre existence.
DANS LE LOFT
LEX : On dirait que tu portes le poids du monde sur tes épaules. Désolé de t'avoir fait sursauté, mais je...je n'aie pas trouvé la sonnette.
CLARK : Oh, c'est bon. Encore merci pour l'invitation, hier soir.
LEX : Première excursion à Métropolis et te voilà déjà impliqué dans une enquête policière. Là franchement tu bats tout les recors.
CLARK : Comment tu l'as su ?
LEX : J'ai reçue une petite visite de l'inspecteur chargé de l'enquête.
CLARK : Qu'est ce qu'il t'a dit ?
LEX : Rien, des banalités. Mais c'est pas ça qui me perturbe.
CLARK : Alors c'est quoi ?
LEX : Les inspecteurs de police, ont autre chose à faire qu'à enquêté sur de simple accidents de la circulation. J'ai donc passé un petit coup de fil. Il s'avère que l'enquête officielle est déjà bouclée. Clark. Je te conseil d'éviter Sam Phelan, autant que tu le peux.
CLARK : Tu le connais ?
LEX : Malheureusement oui. J'ai eu mon lot de problème avec la justice de Métropolis.
CLARK : C'était grave ?
LEX : C'était ruineux. Mon père voyait en Phelan, le genre de flic qui pouvait nous rendre quelques petits services.
CLARK : Tu veux dire que c'est un ripoux ?
LEX : Je veux dire qu'il ne recule devant rien pour atteindre son but. Falsifications de preuves, faux rapports. C'est pas le genre d'homme à lâcher prise, lorsqu'il trouve un os à ronger.
CLARK : Il est venue juste pour discuter.
LEX : Alors tu n'as aucun soucis à te faire.
AU CAFÉ BEANERY
Jonathan rencontre l'inspecteur Phelan.
UN JEUNE HOMME : Ça va monsieur Kent ?
JONATHAN : Ouais.
SAM : Monsieur Kent ? Sam Phelan police de Métropolis. Je m'attendais à ce que se soit vous.
JONATHAN : Qu'est ce que vous voulez à mon fils ?
SAM : Nous sommes deux adultes responsable, asseyez vous.
JONATHAN : Parce que laisser tombé un groupe électrogène sur un adolescent, pour vous c'est une attitude responsable.
SAM: Nous savons tous deux qu'il ne risquait rien.
JONATHAN : Bien. Qu'est ce que vous voulez ?
SAM : Que Clark me donne un coup de main.
JONATHAN : Pourquoi faire ?
SAM : Regardez autour de nous. Que voyez vous ? Une apparence de sécurité. C'est le rôle du policier de la préserver. D'un côté, on a d'honnête citoyens comme vous, de l'autre des criminels. Moi je suis entre les deux. Votre fils à un...don. Maintenant ce que je veux, c'est mettre ses talents à contributions, pour servir ma cause.
JONATHAN : Je ne laisserais personne se servir de mon fils.
SAM : J'ai passé la mâtinée à feuilleté des rapports de police. Le nom de Clark Kent revient très souvent.
JONATHAN : Clark, n'a jamais eu le moindre ennuie avec la police.
SAM : Il n'a jamais été arrêté. Mais on l'a souvent vu sur les lieux du crime. Il peut s'agir de coïncidence. Il se peut aussi, qu'il est un tendance naturel à ce trouver là où il ne faut pas.
JONATHAN : Bon, d'accord, je vous donnerais tout ce que vous voulez. Mais ne touchez pas à ma famille.
SAM : Je veux votre fils.
JONATHAN : Hors de question.
SAM : Réfléchissez. Si vous me refusez son aide, je me verrais forcer de dévoiler ce que je sais. Au mieux on l'étudie à la loupe, au pire il devient un monstre de foire. Dans les deux cas, terminé sa petite vie paisible.
Jonathan s'énerve et colle Phelan sur la table.
JONATHAN : Ne jouez pas à ce petit jeux.
SAM : Oh,oh, allons du calme monsieur Kent. On a juste eu un petit différent. Si j'étais vous je ferais attention excès d'humeur, çà ne vous apportera que des ennuies.
LYCÉE DE SMALLVILLE A LA TORCH
Clark est sur l'ordinateur de Chloé, lorsque celle-ci arrive.
CHLOÉ : Bonjour, Clark. Tu vas bien.
CLARK : Oh, oui. Je fais quelques recherches.
CHLOÉ : Lana est pas encore rentrée de son rendez vous avec Kwan ?
CLARK : Je suis sûr que ça va marcher.
LANA: Bonjour.
CLARK : Quel est le verdict ?
LANA : Hé, bien on s'en sort pas trop mal.
CHLOE : Va droit au but ! On la sort quand la prochaine édition ?
LANA : Dans 48 heures.
CHLOÉ : Super !
LANA : Seulement… Kwan veut que ce soit moi qui assure la rédaction.
CHLOÉ : Une seconde. Revient en arrière, c'est surtout la fin qui m'intéresse.
LANA : J'ai mis tellement de passion et de conviction quand j'ai plaidé ma cause, qu'il a suggéré que je reprenne le journal.
CHLOÉ : C'est une plaisanterie ?
LANA : Chloé, c'est le moyens de sauvé la Torch.
CHLOÉ : Pom-pom girl, ça ne te suffit pas! Peut-être que rédactrice en chef, ça aura plus de valeur sur ton CV.
LANA : L'idée, c'est que tu continues à écrire en douce, le temps qu'on obtienne que tu sois réintégré.
CHLOÉ : Ce que tu veux c'est que j'écrive sous ta coupe.
LANA : Mais ce serait toujours ton journal.
CLARK : Bon, ça va , ça va, arrêtez ! Chloé réfléchie un peu, c'est un bon compromis.
CHLOÉ : Je vois que tu as choisie ton camp.
CLARK : Je suis, ni dans un camp, ni dans l'autre.
CHLOÉ : C'est ça, tu es toujours très objectif, pour tout ce qui concerne Lana !
CLARK : Bon, ben, je dois y aller !
CHLOÉ : Ah, tu peux rester, Clark ! Installe toi à mon bureau !
LANA : Écoute ! Ce n'est pas du tout ce que tu crois.
CHLOÉ : Tu sais as ce qui me fait le plus mal ? C'est que pendant une seconde, j'ai cru que tu avais fait tout ça par amitié.
DANS LA RUE
Clark marche dans la rue, lorsque Phelan arrive en voiture.
SAM : Monte dans la voiture !
CLARK : Qu'est ce que vous me voulez ?
SAM : L'autre jour j'ai rencontré ton père. Il m'a l'air d'un brave homme. Un homme pour qui la famille compte plus que tout le reste. Si j'étais toi, je prendrais exemple sur lui.
AU MANOIR
Lex et Victoria sont entrain de dîner.
VICTORIA : Je suppose que tu as eus le temps de lire la proposition de mon père ?
LEX : Ah, c'est n'est pas la peine.
VICTORIA : Aurais-tu en plus de tes multiples talent, celui de lire dans les pensées ?
LEX: Je sais pourquoi tu es venue ici. Sir Harry voudrait absorber Luthorcorp et pour cela il a besoins de mes parts. Mais ce n'est pas ton père qui a mit au point ce petit scénario. Si tu arrive à tes fin en rachetant Luthorcorp, tu crois que ton petit papa t’accordera le respect que tu mérites. Tu rêves Victoria.
VICTORIA : Que me suggère tu , alors?
LEX : Tu as spéculé sur la haine que je voue à mon père. A mon tour de spéculé sur la tienne. Pourquoi racheter une seule compagnie , lorsqu’on peut avoir les deux.
VICTORIA : On signe notre arrêt de mort, si ont fait ça.
LEX : C'est possible, oui. Mais c'est ce qui met du piment à la vie.
MÉTROPOLIS
Phelan et Clark arrive en voiture devant un bâtiment.
CLARK : Qu'est ce qu'on fait là ?
SAM :Tu sais ce qu'il nous met des bâtons dans les roues, dans notre boulot, Clark ? Ce ne sont pas les criminels. C'est la bureaucratie. Comment je peux faire respecter l'ordre, si je suis pieds et poings liés.
CLARK : Vous disiez vouloir faire un peu de ménage.
SAM : Du ménage, oui, au sein des services généraux de la police. Et il se trouve que leur patron habite, juste là au cinquième étages.
CLARK : Je vous prévient je ne fait de mal à personne !
SAM : T’énerve pas ! Je veux simplement que tu me rapportes des dossiers. Ces types des services généraux, ils n'ont plus confiance en personne, et leur patron est même si parano, qu'il conserve les dossiers les plus brûlant chez lui, dans un coffre fort. Je te demande de le trouver, de l'ouvrir, et rapporter ce qu'il y a l'intérieur. Si tu me rend ce service, je te promets de ne plus jamais revenir d'ennuyer.
CLARK : N'essayez pas de me mener en bateau. Lex Luthor, m'a parlé de vous.
SAM : Ah, oui. Ton copain Lex, n'est pas tout à fait un ange. Il a ses petits secrets, lui aussi. Tout comme toi. Appartement 17 cinquième étages.
Clark fracture la serrure de a porte d'entrée de l'appartement, visionne aux rayons X les murs et trouve le coffre. Il l'arrache du mur et le jette sur la voiture de Phelan.
CLARK : Hé Phelan ! Vous vouliez ses dossiers ? Il sont à vous.
SAM : C'est toi qui a appelé les flics ? Je te promets que t'en mordra les doigts.
CHEZ LES KENT
Clark arrive dans la cuisine.
CLARK : Bonjour.
MARTHA : Tu es rentrée tard hier soir. On a rien entendue.
CLARK : Oh, oui assez tard. Lana avait besoins d'aide au journal. J'ai perdus la notion du temps.
JONATHAN : Clark, est ce que...est ce que Phelan a cherché à te voir ?
CLARK : Papa oublie le. Je crois qu'on en est débarrassé.
Quelqu'un frappe à la porte, c'est le shérif qui vient avec un mandat de perquisition.
JONATHAN : Ethan, Bob. Que ce passe-t-il ?
ETHAN : Nous avons un mandat. C'est un ordre de perquisition.
JONATHAN : Une perquisition ? Entrée je vous en pris. Pourquoi ?
ETHAN : On a eut un tuyaux de la police de Métropolis.
UN POLICER : Venez voir, j'ai trouvé quelque chose.
DANS LA GRANGE
Un homme est allongé sur le sol de la grange.
ETHAN : Il a reçue une balle en pleins cœur. Vous pouvez m'expliquer ce que, ce cadavre fait dans votre grange ?
JONATHAN : Je n'en ai aucune idée, je n'aie jamais vu cet homme...
UN POLICIER : Ethan, on vient de trouver ceci caché sous un siège, dans sa voiture.
JONATHAN : Cette arme ne m'appartient pas et j'ignore ce qu'elle fait dans ma voiture.
ETHAN : Navré Jonathan, mais on doit vous mettre en état d'arrestation.
CLARK : Papa !
JONATHAN : Non, non, ça ne fait rien. Appel Bill Ross, qu'il me rejoigne à la prison.
CLARK : Vous ne l’emmènerez pas !
JONATHAN : Clark ! Clark ! J'ai besoins de toi ici et j'ai besoins que tu tienne le coup !
MARTHA : Je vais le suivre en voiture.
Clark revient dans la maison en colère, il casse une poutre en deux, lorsque Phelan arrive derrière lui.
SAM : Voilà ce que tu as gagné, à vouloir jouer les héros. Tu es peut-être très futé pour ton âge, mais tu as oublié une chose. Je ne suis pas un novice. Ça fait longtemps que je nage en eau trouble.
CLARK : Cet homme c'était qui ?
SAM : Tu croyais sincèrement que toi, tu allais pouvoir me doubler ? Dans ce genre de boulot, on passe son temps à échafauder des scénarios. Des portes de sortie, il faut en avoir chaque fois au moins 10, c'est comme ça qu'on survie. Dans le cas présent, tu ne m'as pas tellement laissé le choix, Clark !
CLARK : Je veux que mon père soit relâché !
SAM : Tu as voulu me compliquer la vie ! Et bien je vais faire pareil avec la tienne !
Clark énervé empoigne Phelan et le colle contre une poutre.
CLARK : Vous allez les appeler et leur dire la vérité !
SAM : Qu'est qu'il y a Clark ? Tu as envie de me tuer ? Tu penses que ça résoudrait tous tes problèmes.
CLARK : Je veux que vous l’innocentiez !
SAM : Maintenant, on veut tous les deux quelque chose. Sauf que toi, tu as beaucoup plus à perdre. Ne t'avise plus de jouer au plus malin, avec moi. Je vais te laisser méditer sur ce qu'il c'est passé hier. Ne t'envole pas, je t'appel bientôt.
LYCÉE DE SMALLVILLE A LA TORCH
Lana est totalement perdu avec l’imprimante qui ne fonctionne pas.
LANA : Clark ? Tu cherches quelque chose ?
CLARK : Un coin tranquille.
LANA : J'ai appris la nouvelle. Je sais qu'il est innocent.
CLARK : Merci. Tu t'en sors ?
LANA : Pour être franche, je ne sais plus où donner de la tête. Tu se que je voulais c'était aider Chloé. Maintenant j'ai l'impression d'avoir tout gâché. Ça m'apprendra à vouloir jouer les héros.
CLARK : Je sais ce que sait. Tu crois que ta tante aurait eut une vie moins compliquée, si elle ne t'avais pas adopté ?
LANA : Clark, qu'est ce qu'il y a ?
CLARK : Je pense à mes parents, je fait rien d'autre que de leur compliquer l’existence.
LANA : Tu n'es pas responsable de ce qui arrive à ton père. Toutes les familles traversent des épreuves. Moi à 10 ans j'ai fait une fugue. Je voulais aller à Métropolis. Nell m'a retrouvé à l'arrêt de bus. Il gelait, je suis monté en voiture avec elle et là tu sais ce que je lui aie demandé ? Si elle regrettait de m'avoir adopté. Elle à arrêté la voiture, les larmes aux yeux, elle m'a dit, que c'était la meilleure chose qu'elle ait jamais faites. Qu'on aime pas moins un enfant que l'on a adopté, mais qu'on s’inquiète plus pour lui.
CLARK : Il faut que j'y aille.
LANA : Ne t'en fait pas. Tout va s’arranger.
EN PRISON
Clark rend visite à son père en prison.
JONATHAN : Salut fiston. Ta mère n'est pas là ?
CLARK : La police l'interroge. Je t'ai mentis.
JONATHAN : De quoi est ce que tu parle ?
CLARK : J'ai revue l'inspecteur Phelan.
JONATHAN : Et tu l'as revue quand ?
CLARK : Hier soir. Je suis allé à Métropolis avec lui et je me suis introduit dans un appartement et j'ai.. et j'ai volé des dossiers confidentiels.
JONATHAN : Oh, Clark.
CLARK : Je n'avais pas le choix.
JONATHAN : Tu te trompe, ça c'est ce qu'il t'a fait croire. Mais dis toi bien qu'on a toujours le choix.
CLARK : Je voulais vous protéger. Je croyais…
JONATHAN : C'est sûrement pas en nous mentant que tu nous protège de quoi que ce soit !
CLARK : Et c'est pas tout. Phelan est repassé juste après ton...ton arrestation. J'étais dans un tel état de rage, que je l'ai attrapé par le col et… et l'espace d'une seconde, j'ai cru que j'allais… j'ai eus, j'ai eus envie de le tuer.
JONATHAN : Mais tu ne l'as pas fait. N'est ce pas ?
CLARK : Je sais, mais j'étais à deux doigts.
JONATHAN : Moi qui m'emporte comme un rien, je suis mal placé pour te donner des leçons. Mais tu comprends que tu ne peux pas te le permettre. Phelan a trouvé la corde sensible. Il va jouer sur tes peurs, sur ta colère, mais il faut que tu résistes. Ne rentre pas dans son jeux.
CLARK : Ça m'est égale. Je ne laisserais jamais personne vous faire de mal.
JONATHAN : Et il le sait, mais une fois la franchie la ligne, on ne revient jamais en arrière.
AU CAFE BEANERY
Lex est assit à une table, il aperçois Clark qui passe devant le café, il se précipite dehors pour lui parler.
LEX : Clark ! Je viens d'apprendre ce qui est arrivée à ton père.
CLARK : Il est en taule.
LEX : C'est une histoire complètement dingue. Ton père n'a rien d'un meurtrier. Laisse moi cinq minutes et je te trouve les 10 meilleurs avocats du pays.
CLARK : Ça ne résoudra pas notre problème.
LEX : C'est Phelan, hein, c'est ça ? Comment est-ce qu'il te tient ?
CLARK : Reste en dehors de ça. S'il te plaît !
LEX : Écoute moi Clark ! Tu crois savoir comment fonctionne un gars comme Phelan ? Mais tu te trompes.
CLARK : Tu a l'air de bien le connaître.
LEX : Je connais les lois de ce milieu.
CLARK : Ouais. Il paraît que tu me caches des choses.
LEX : Il y a des parts d'ombres dans ma vie dont je ne suis pas très fière. Je ne veux pas qu'il t'arrive malheur. Laisse moi d'aider.
CLARK : Je suis assez grand Lex. Et de toute façon tu ne peux rien n'y faire !
DANS LE LOFT
Clark est assit sur les marches, quand Phelan arrive.
SAM : Alors on rêve ?
CLARK : Qu'est ce que vous me voulez ?
SAM : C'est un peu compliqué. Depuis hier, les services généraux me pose un tas de questions auxquelles, je n'ai pas envie de répondre.
CLARK : C'est votre problème !
SAM : Non, c'est notre problème. On va travailler ensemble une dernière fois.
CLARK : Vous n'avez qu'a crier sur les toits ce que vous savez ça m'est égal !
SAM : Tu te moque de ce qu'il peut d'arriver. Mais pense à tes parents. Ton père est en prison, accusez de meurtre. Alors même s'il en réchappe, les frais de justice vont engloutir tout ses biens. Surtout sa ferme. Je peux tout régler d'un claquement de doigt. Tout dépend de toi.
Phelan et Clark quittent la ferme sous les yeux de Lex qui est planqué au bout du chemin de la ferme. Lex démarre sa voiture et les suit, jusqu'à Métropolis.
MÉTROPOLIS MUSÉE
La voiture de Phelan s'arrête devant le musée.
CLARK : Qu'est ce qu'on fait là ?
SAM : Comme je ne peux plus récupérer les dossiers qui me compromettre. Je vais retirer de quoi assurer mes vieux jours.
CLARK : Vous me demandez de… d'aller voler la cuirasse.
SAM : Je me fiche pas mal ce bout de taule. Je veux simplement les 10 millions de dollars de bijoux qui sont dessus. Allez.
DEVANT LA BOITE DE DÉRIVATION
CLARK : Comment on va faire pour entrée ?
SAM: La police de Métropolis possède les plans des systèmes de sécurité de tous les immeuble. Alors je connais celui-là par cœur. Les systèmes de sécurité sont relié à cette boite de dérivation. Ouvre là !
CLARK : Il n'y a pas d'alarme ?
SAM : Il ne mette pas d’alarme au endroit qu’il présume inviolable. Je sens que je commence à perdre patience. Tu veux retrouver une vie normale ? Alors bouge toi !
Clark s'exécute, et ouvre le panneau du système de sécurité.
CLARK : Vous oubliez un détail. Les vigiles du musée.
SAM : Il n'auront pas le temps de s'occuper de nous. (Au téléphone) Oui, musée de Métropolis, il y a une bombe dehors au pieds des marches. Elle est prête à exploser.
Lex arrive au musée et touche le capot de la voiture Phelan, lorsqu'il voit les vigiles sortir du musée.
UN VIGILE : On a 10 minutes avant qu'elle explose. Il faut la trouver.
DEVANT LA BOITE DE DÉRIVATION
SAM : Toutes les caméras de LuthorHall sont coupés.
DEVANT LE MUSÉE
Lex est devant un petit paquet qui se trouve dans un distributeur de journaux. Il met une pièce et ouvre la boite et récupère le petit paquet.
DANS LE MUSÉE
SAM : Clark. Allez montre moi ce que tu sais faire.
Clark écarte les barreaux où se trouve la cuirasse, et casse la vitre.
A L’EXTÉRIEUR
Lex ouvre délicatement le petit paquet.
UN VIGILE : Attention ! Tenez vous prêt à intervenir.
Lex découvre alors, un réveil.
DANS LE MUSÉE
Sam Phelan prend la cuirasse dans ses mains et la dépose dans un sac.
SAM : Nous deux, on va former une super équipe.
CLARK : On ne sera jamais dans le même camp.
Clark arrache le sac de la main de Phelan et lance le sac au travers d’une vitre, le sac atterrit aux pieds des vigiles et de Lex. Lex regarde le contenue du sac.
CLARK : Je ne sais pas ce que vous leur avez dit pour le coffre. Mais la cuirasse est couverte de vos empruntes.
SAM: Tu as peut-être une force colossale, mais voyons si tu résistes aux balles.
Phelan tire, mais Clark avec sa super vitesse les évites.
SAM : D'où est ce que tu sors ?
Les vigiles arrivent dans le musée. Phelan se met à tirer sur eux.
UN VIGILE: Par ici. A terre! Planquez vous !
Un des vigiles réplique et touche Phelan qui,s'écroule au sol.
UN VIGILE : Il est touché.
Lex se précipite sur Phelan.
LEX : Où est Clark ? Je sais que vous êtes venue ensemble.Qu'est ce que vous savez sur lui ?
SAM : Va en enfer.
CHEZ LE KENT
Clark est assit dans la cuisine, lorsque son père rentre.
JONATHAN : Je suis lavé de tout soupçon. Avec les excuses conjointe et appuyé de la police locale et celle de Métropolis.
MARTHA : Enfin de compte tout s’arrange.
JONATHAN : Oui, pour cette fois. Malheureusement je ne crois pas que Phelan soit un cas isolé dans le monde.
CLARK : Et si ça se reproduit ?
JONATHAN : Et bien on verra. On avisera le jour où ça se présentera.
CLARK : Je pourrais cessé de me servir de mes dons, ça résoudrait tout nos problèmes.
MARTHA : Ça ne résoudrait rien. Tes dons font partis de toi. Il faut que tu vives avec.
JONATHAN : Néanmoins, une plus grande prudence serait la bienvenue.
MARTHA : Clark ? Es tu sûr que personne ne t'a vu, hier soir ?
CLARK : Absolument.
LYCÉE DE SMALLVILLE A LA TORCH
Lana est sur l’ordinateur, quand le proviseur Kwan arrive.
KWAN : Mademoiselle! Qu'est ce que c'est que ça ?
LANA : C'est un nouvel édito.
KWAN : C'est tout bonnement inacceptable.
LANA : Pourquoi ? L'article répond à vos critères. Il y est question d'une de nos élèves. La Torch parle de la vie scolaire, de mutant aucune trace.
KWAN : C'est pour que je réhabilite Mademoiselle Sullivan que vous faites cela ?
LANA : Je l'aie écris parce qu'il me paraissait juste. Chloé est faite pour le journalisme.
KWAN : La passion qui l'anime est admirable en soit, mais ses articles manquent de rigueur.
CHLOÉ : Ça, ça peut se corriger.
KWAN : Je vous réintègre à votre poste, à une condition. Ne publiez rien sans preuve. Vous acceptez ?
CHLOÉ : Ouais. Merci monsieur Kwan.
KWAN: De rien. Ce n'est pas moi qu'il faut remercier. C'est mademoiselle Lang.
LANA : Félicitation. Tu l'as mérité.
CHLOÉ : Merci. Tu sais je voudais m'excuser pour la scène que je t'aie faite l'autre jour. Mais ce journal, c'est un peu mon bébé, c'est très personnel et c'est la seule chose que je fais en commun avec Clark. Alors quand je t'ai vu là…
LANA : Tu as cru que je m'interposais entre Clark et toi ?
CHLOÉ : C'est pas très rationnel, je sais.
LANA : J’apprécie beaucoup ton amitié. Mais si je représente un obstacle entre toi et Clark…
CHLOÉ : Oh, non, t'en fait pas. Il n'y a rien de sérieux entre nous. C'est un bon copain c'est tout. Et vous deux ?
LANA : C'est pareil. C'est un bon copain.
CHLOÉ : Bon parfait. Au moins maintenant les choses sont claires. Bon alors, voyons ce que tu as fait comme dégât depuis que je t'ai laissé les rênes.
AU MANOIR
Lex visionne les images des caméras du musée où l'on voit une ombre se déplacer à grande vitesse, lors qu'arrive Victoria.
VICTORIA : Lex. Tu ne viens pas te coucher ?
LEX: Je te rejoint.
FIN